Le pub de la Corona...

Citation de **naPOLEoN** :

Enfin ça, c'est pas Macron qu'il a demandé, c'est apparu spontanément heing.

Ce que Djardin veut dire c'est que l’hôpital public il se sauvera pas à coup d'applaudissements au balcon, spontanés ou pas. Y'a déjà pas mal de soignant.e.s qui ont exprimé le fait que les applaudissements c'est cool mais qu'iels espèrent que celleux qui applaudissent seront dans la rue dans X mois quand il s'agira de se faire lacrymogéner avec elleux.

Hôpital public : après la crise, l’austérité reprendra de plus belle


Malgré la crise sanitaire historique, la politique d’austérité qui étouffe l’hôpital public ne sera pas remise en cause ! Voilà en résumé le message que le directeur de l'Agence régionale de santé (ARS) Christophe Lannelongue vient de faire passer dans L'Est républicain. Interrogé sur l'avenir du CHRU de Nancy, dont les personnels manifestent un dévouement remarquable face aux drames de la pandémie, il a indiqué qu’une fois la crise surmontée, les orientations du Copermo (Comité interministériel de performance et de la modernisation de l'offre de soins), qui prévoient la suppression de 598 postes et 174 lits d'ici 2025 pour cet établissement, seront maintenues.


Ces déclarations ont suscité un tollé dans la région. Maire de Nancy et président du conseil de surveillance de l’hôpital, Laurent Hénart et le professeur Christian Rabaud, président de la commission médicale, ont adressé un courrier au premier ministre Édouard Philippe et au ministre de la santé Olivier Véran, les appelant « solennellement à lever toute ambiguïté sur la politique de l’État en matière de santé publique ».



En soutien aux équipes @CHRU_de_Nancy mobilisées contre l'épidémie #Covid19 et en réponse à certains propos parus dans la presse @LaurentHenart Président conseil de surveillance & Pr Christian Rabaud,Président commission médicale ont envoyé courrier à @EPhilippePM @olivierveran pic.twitter.com/IHPBgxoOZx
— CHRU de Nancy (@CHRU_de_Nancy) April 4, 2020


Commentée dans de nombreux médias locaux, cette déclaration n’est pas le seul signe que la puissance publique reste sur une doxa libérale sur le long terme, même si dans les tourmentes de la crise, elle dit pour l’heure qu’elle est attachée aux protections de l’État-providence. Récemment révélée par Mediapart, la note secrète de la Caisse des dépôts sur l’hôpital était ainsi sur la même longueur d’onde puisqu’elle prévoit d’accélérer la privatisation rampante et la marchandisation de l’hôpital public.

Actualisé: 10:06

Recup si tu veux mais sans faire l'avocat du diable, ce ne serait pas relayé, et bien y'en aurait toujours pour leur reprocher de ne pas en parler... Vive la France.

pour la faire courte, je détaillerai s'ils insistent dans cette voie, mais le déconfinement des moins de 65 ans, c'est la planification d'un meurtre de masse et la garantie d'un apartheid pour les vieux

Maire de Nancy et président du conseil de surveillance de l’hôpital, Laurent Hénart