Les conneries on stage

Mozart, c'est du Metal :

c'est l'histoire d'un mec qui s'appelle jean phi smet.

Son impresario dans les années 60 (epoque fetiche du rock a papa) lui a expliqué qu'il fallait qu'il se roule par terre dans les specctacles pour creer une sorte de show incroyable tout en faisant semblant de jouer de la guitare (air guitare avec une vrai guitare pas branchée). Un vrai guitariste devait lui par contre jouer (pour de vrai) derriere la scene et le moment venu partir en couille lors de la dite roulade.

Le pb c'est que le dit "vrai guitariste" etait sujet a des fréquentes crises d'épylepsies et sur le morceau donné brac crise avant le bon moment. Notre smet entendant le bordel dans l'arriere scene se met a se rouler par terre croyant que c'etait le bon moment et qu'il avait lupé le coup. Hors craignant le pire pour la mise en scene un roadie guitariste voyant le probleme prends la guitare de l'epileptique et se remet a jouer "correctement".

et sur scene l'autre en train de se rouler comme un con et se rendant compte que c'etait pas le moment (la musique rejouait correctement) se remet droit comme un I mais 2 mesure plus tard le bon moment . Et notre jean phi de rester sur ses guibolles pdt que l'autre se mit a faire porte nawak à la guitare, le croyant par terre....

j'aurai vraiment voulu etre là pour le voir.

C'était raconté par un autre rocker de l'époque un certain claude moine des chaussettes noires ..

 énorme!! Une scène à la Spinal Tap ça!!

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on fait pas des croisiere avec led zeppelin, on en fait avec les yéyés ... point

 

 

 

Cela n'a pa empêché Jimmy page de jouer pour des Yéyés.

Citation de Wikipédia :

(Jimmy) Page figure aussi aux côtés d'artistes venant de l'Europe continentale comme Nico, Michel Polnareff (Page joue sur La Poupée qui fait non[réf. nécessaire], sortie au printemps 1966), avec Françoise Hardy[réf. nécessaire], Eddy Mitchell (sur What'd I Say) ainsi qu'avec Johnny Hallyday pour la bande-son du film À tout casser[2].

n'empeche que j'ai pas vu jimmy page et robert plant dans la croisiere salut les copain

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(et soit dit en passant  on s'en fout tous aussi non ???

 et les yéyés c'est pas rock na ! et pis c'est tout

http://www.imca.fr/petits_ecrans/philippe%20lucas.jpg

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Bah, le "rock", ça veut tellement tout dire et rien dire, aussi...

Les "yéyés" c'était pas des groupes, mais des "chanteurs" accompagnés d'orchestre. (Les Sheila, Monty, Villard, Antoine, François, Danyel Gérard -le premier à avoir du reste "importé" le "rock" puis est resté "yéyé") et ça a sérieusement emmerdé toute la chanson française de l'époque qui balayait déjà les Mariano et autre Tino Rossi. Remarquons aussi que la notion de "chanson française" a, elle aussi, bien changé d'acception de nos jours (ils font même dans "le rock" )...

 

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C'est du reste à leur façon de dire dans tous leurs titres "yeah" qu'on le a appelés les "yéyé", Aznavour écrivit pour eux le premier alors que tout le monde se fouttait de leur gueule .

Lors d'un concert funk, je suis au plateau, tout est impécable, la scene propre et tout mais bon, la batteur a oublié un truc pratique, sa pédale de grosse caisse, et on est dans un coin bien paumé...

Citation de : NainTellectuel

Lors d'un concert funk, je suis au plateau, tout est impécable, la scene propre et tout mais bon, la batteur a oublié un truc pratique, sa pédale de grosse caisse, et on est dans un coin bien paumé...

é....nor....me!!!

y a pas eu de balance avant?

Nan on fesait pas de balances, pas de temps !

putain,c'est propre 

remarque pour du dub,y aurait eu moyen de bricoler un truc avec un métronome et un eq

oh con ça c'est l'oubli qui te met bien en rage...

manitas de la bitas!!!

et maintenant....."moby dick"!!!

Ah, j'ai vécu un peu pareil à une fête de la musique: un groupe qui devait jouer sur la même scène que nous et avant nous se pointe, on les aide à décharger, ils commencent à monter le matos pour la balance et là.... "Mais elle est où la grosse caisse ?..."

Premier concert en décembre, va y avoir de la connerie on stage :D

oui, ça arrive aussi en plein milieu du concert, quand le batteur surexcité a cassé une à une ses paires de baguettes et se retrouve comme un con après avoir pété la dernière... drame vécu, obligé de taper avec le plat des mains comme sur un djembé (au moins ça fait marrer la foule, mais alors les cymbales, qu'est-ce qu'elles prennent en sueur et donc quelques jours plus tard en belles taches de corrosion) jusqu'à ce qu'un membre du public apitoyé arrive avec deux branches arrachées au premier mûrier platane venu... tu sais, arrachées à la goullamas, toutes effilochées au bout...

Citation de : daRinze

deux branches arrachées au premier mûrier platane venu...

super pour les flas 

Citation de : daRinze

deux branches arrachées au premier mûrier platane venu... tu sais, arrachées à la goullamas, toutes effilochées au bout...

 C'est trop classe

Comme de faire changer une corde de gratte par un inconnu du public pendant que le gratteux joue sur son accoustique (vécu aussi). Ca rajoute toujours un peu d'ambiance

ouais, surtout quand t'en a s une deux fois plus longue que l'autre

Un peu de défi pour les batteurs que diable !