Les conneries on stage
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Chouby
3303
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 22 ans
Sujet de la discussion Posté le 05/09/2003 à 14:25:01Les conneries on stage
Alors voila.. ici , c est pour expliquer a la populazione de Back/on stage toute les conneries qui vous etes arrive... Faites peter !
Une par exemple : tonton chouboudou monte sur scene et commence a souffler dans le bignou....bizard, on dirait qui sors rien... discretement je sors de la scene et change les piles de mon HF. Je me rends compte alors que j avais pas mis en route mon emeteur... Quel con qd j y repense ...
Une par exemple : tonton chouboudou monte sur scene et commence a souffler dans le bignou....bizard, on dirait qui sors rien... discretement je sors de la scene et change les piles de mon HF. Je me rends compte alors que j avais pas mis en route mon emeteur... Quel con qd j y repense ...
Hit !
22740
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
3931 Posté le 27/05/2006 à 11:05:19
Tiens, Koala; en parlant de slip, il faut que je raconte l'anecdote d'une collègue qui, s'habillant en coulisses en première partie de Le Forestier remarque que sa culotte devient lâche aux entournures.
En tournée, les filles ont du rechange par valises entières; mais évidemment pas pour un soir...
Horreur ! l'éslastique du haut est carrément en train de la lâcher !
Moi qui ai toujours dans mon fourbi quelques bracelets élastiques, du Scotch -adhésif-, de l'anti-trac, des trombones et même des timbres à partager pour tout le monde, je suis cette fois complètement pris au dépourvu, et aucun de mes remèdes habituels pour remettre le bouton d'un copain, recoudre une doublure, lui soulager un mal de crâne ne peut opérer : le mot juste est celui ci : je ne sais strictement pas quoi faire.
Elle tente bien pendant ce temps un échange de collants avec Sabine, la seule nana de la région que je connaisse, mais le temps d'avoir pu la convaincre le + discrètement possible (côté public), de l'amener en coulisses par je ne sais plus combien de couloirs sombres, de commencer à procéder aux essais, j'ai beau en rire aujourd'hui, ça frisait là le méchant bordel irracontable, et "bien sûr", ça ne convient pas, pas la même taille...
Toujours est-il qu'à peine maquillée et "habillée" en chanteuse toute tourmentée de son sort, celle que je n'appellerai ici que par son vrai prénom,Josée, déclare tout haut : "bon, ben allez tant pis : je vais chanter sans culotte et puis voilà"; et c'est dans cette idée qu'elle commence d'ôter ses espèces de bottes que son nom retentit soudainement dans les enceintes, et que la voilà précipitée sur la scène, remontant donc tant bien que mal à chaque pas son linge comme elle le peut (sous les projos, la main gauche sur la guitare et la main droite serrant derrière la taille, ça donne une entrée en scène en tout point remarquée)...
Elle fait une chanson à la guitare (trois sont prévues, la suivante sur bande-son !), debout devant le pied de micro, et, évidemment... le linge qui démarre sa course en lui dégringolant par degrés le long des jambes... Une folie, ce moment là.
Que faire ?... Chanter bien ? Se concentrer sur le numéro, ou se concentrer sur la situation ? Ecarter les jmabes pour freiner la descente ? Mais non ! Ca serait pire ! Ne plus jouer de guitare et contrôler le reste ? Bordel monstrueux dans la tête, là, imaginez un peu le stress...
j'en ris d'autant + aujourd'hui qu'en cet instant je ne savais absolument pas où me fouttre; il n'y avait RIEN à faire d'autre que de participer au naufrage de cette pièce de coton que je pourrais encore malgré moi parfaitement vous décrire.
A croire que plus elle tentait de se contenir, et que plus l'inévitable dégringolade s'accentuait.
Le fin du fin est qu'au milieu du numéro le linge amorça de dépasser le bord de la robe, que le public le vit fort évidemment en dépit du fait que je sois parvenu presque dans le noir en régie lumière pour demander de focaliser le halo uniquement sur sa tête (et de demander le rideau dès la première chanson, augurant qu'elle arrêterait-là), mais elle termina bel et bien son numéro avec sa culotte couleur claire fort distinctement sur les deux chaussures noires -Pauvre Josée; elle si prude...-
Là n'était pas le pire : il fallait encore rejoindre la coulisse que je venais moi aussi de rejoindre précipitamment pour pallier à toute éventualité... OUF ! : elle réussit -par chance, je ne vois que ça- à abandonner le vêtement sur la scène d'une manière assez naturelle, en prenant son pas de manière élégante -sinon elle aurait du marcher à la façon d'un manchot pour éviter de devoir la ré-enfiler le tout devant ce parterre d'amateurs de chansons-; le temps qu'enfin le mot se soit passé en régie que le rideau fut enfin tiré sur la scène et de ce qu'il se trouvait à récupérer; OUFFFF !...
Ingérable du début à la fin.
En parfaite pro, son premier mot en coulisses fut : "j'ai pas mal chanté, hein, Toilb' ?"...
Un peu + tard, elle me confia : "J'ai pas trop stressé : je savais bien que tu ferais arrêter au premier titre".
Renversant !
En tournée, les filles ont du rechange par valises entières; mais évidemment pas pour un soir...
Horreur ! l'éslastique du haut est carrément en train de la lâcher !
Moi qui ai toujours dans mon fourbi quelques bracelets élastiques, du Scotch -adhésif-, de l'anti-trac, des trombones et même des timbres à partager pour tout le monde, je suis cette fois complètement pris au dépourvu, et aucun de mes remèdes habituels pour remettre le bouton d'un copain, recoudre une doublure, lui soulager un mal de crâne ne peut opérer : le mot juste est celui ci : je ne sais strictement pas quoi faire.
Elle tente bien pendant ce temps un échange de collants avec Sabine, la seule nana de la région que je connaisse, mais le temps d'avoir pu la convaincre le + discrètement possible (côté public), de l'amener en coulisses par je ne sais plus combien de couloirs sombres, de commencer à procéder aux essais, j'ai beau en rire aujourd'hui, ça frisait là le méchant bordel irracontable, et "bien sûr", ça ne convient pas, pas la même taille...
Toujours est-il qu'à peine maquillée et "habillée" en chanteuse toute tourmentée de son sort, celle que je n'appellerai ici que par son vrai prénom,Josée, déclare tout haut : "bon, ben allez tant pis : je vais chanter sans culotte et puis voilà"; et c'est dans cette idée qu'elle commence d'ôter ses espèces de bottes que son nom retentit soudainement dans les enceintes, et que la voilà précipitée sur la scène, remontant donc tant bien que mal à chaque pas son linge comme elle le peut (sous les projos, la main gauche sur la guitare et la main droite serrant derrière la taille, ça donne une entrée en scène en tout point remarquée)...
Elle fait une chanson à la guitare (trois sont prévues, la suivante sur bande-son !), debout devant le pied de micro, et, évidemment... le linge qui démarre sa course en lui dégringolant par degrés le long des jambes... Une folie, ce moment là.
Que faire ?... Chanter bien ? Se concentrer sur le numéro, ou se concentrer sur la situation ? Ecarter les jmabes pour freiner la descente ? Mais non ! Ca serait pire ! Ne plus jouer de guitare et contrôler le reste ? Bordel monstrueux dans la tête, là, imaginez un peu le stress...
j'en ris d'autant + aujourd'hui qu'en cet instant je ne savais absolument pas où me fouttre; il n'y avait RIEN à faire d'autre que de participer au naufrage de cette pièce de coton que je pourrais encore malgré moi parfaitement vous décrire.
A croire que plus elle tentait de se contenir, et que plus l'inévitable dégringolade s'accentuait.
Le fin du fin est qu'au milieu du numéro le linge amorça de dépasser le bord de la robe, que le public le vit fort évidemment en dépit du fait que je sois parvenu presque dans le noir en régie lumière pour demander de focaliser le halo uniquement sur sa tête (et de demander le rideau dès la première chanson, augurant qu'elle arrêterait-là), mais elle termina bel et bien son numéro avec sa culotte couleur claire fort distinctement sur les deux chaussures noires -Pauvre Josée; elle si prude...-
Là n'était pas le pire : il fallait encore rejoindre la coulisse que je venais moi aussi de rejoindre précipitamment pour pallier à toute éventualité... OUF ! : elle réussit -par chance, je ne vois que ça- à abandonner le vêtement sur la scène d'une manière assez naturelle, en prenant son pas de manière élégante -sinon elle aurait du marcher à la façon d'un manchot pour éviter de devoir la ré-enfiler le tout devant ce parterre d'amateurs de chansons-; le temps qu'enfin le mot se soit passé en régie que le rideau fut enfin tiré sur la scène et de ce qu'il se trouvait à récupérer; OUFFFF !...
Ingérable du début à la fin.
En parfaite pro, son premier mot en coulisses fut : "j'ai pas mal chanté, hein, Toilb' ?"...
Un peu + tard, elle me confia : "J'ai pas trop stressé : je savais bien que tu ferais arrêter au premier titre".
Renversant !
Anonyme
521410
3932 Posté le 27/05/2006 à 11:10:45
Je croyais que les chanteuses n'avaient PAS de culotte...
sade
3221
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 21 ans
3933 Posté le 27/05/2006 à 11:21:04
En tout cas, bravo à cette jeune femme qui a su rester concentrée malgré cet incident extrêmement gênant.
pulvonium
6782
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
3934 Posté le 27/05/2006 à 14:09:26
Citation : de l'anti-trac
Est-ce une substance licite
worC
932
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 18 ans
3935 Posté le 27/05/2006 à 14:44:48
En tout cas j'aurais bien voulu être tout tout tout devant pour apprécier le spectacle que les gens devaient avoir ;)
KoalaMan
19513
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
3936 Posté le 27/05/2006 à 15:32:20
Rho le plan galère !
Dans le même genre, y'a l'épisode de ma jeune chanteuse, au bal (donc entourée de vieux loups affamés dans le public), qui ouvre à un moment grand les bras, et qui voit avec horreur sa robe tomber au sol...
La salle s'est immédiatement divisée en deux parties opposées : les hommes qui faisaient semblant de ne rien voir, et les femmes qui faisaient semblant de ne pas voir que leur homme faisait semblant...
Dans le même genre, y'a l'épisode de ma jeune chanteuse, au bal (donc entourée de vieux loups affamés dans le public), qui ouvre à un moment grand les bras, et qui voit avec horreur sa robe tomber au sol...
La salle s'est immédiatement divisée en deux parties opposées : les hommes qui faisaient semblant de ne rien voir, et les femmes qui faisaient semblant de ne pas voir que leur homme faisait semblant...
On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.
msam
1105
AFicionado·a
Membre depuis 22 ans
3937 Posté le 27/05/2006 à 16:56:41
Toilb, j'envie ta belle maière de raconter les zistoires !!
---------------
www.zebulonregie.com
www.kalen.org
worC
932
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 18 ans
3938 Posté le 27/05/2006 à 16:59:02
C'est vrai qu'il raconte bien, y'a pas de fautes de français pis tout reste cohérent, quoi
Hit !
22740
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
3939 Posté le 27/05/2006 à 18:56:11
Hors sujet : Si vous êtes friands d'anecdotes bien racontées, je vous recommande vivement la lecture du thread : "les conneries.publiques", que j'ai eu le plaisir de débuter il y a quelques temps.
A quelques rares exceptions, tous les participants ont mis un soin particulier dans la rédaction du récit de leurs bourdes et autres mésaventures, ce qui rend si j'ose dire -et j'ose !- leurs conneries "attrayantes", la plupart irrésistiblement hilarantes.
Le tout, pratiquement sans faute(s) d'orthographe :
/le-pub-des-gentlemen/forums/t.156310,les-conneries-publiques.html
Pour répondre à l'ami pulvo : rien d'illégal naturellement : il s'agit tout simplement de remèdes homéopathiques.
S'lut !
pulvonium
6782
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
3940 Posté le 27/05/2006 à 22:42:49
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