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Sujet Commentaires sur la news : Togu Audio Line émule le Jupiter 8 de Roland

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1 Commentaires sur la news : Togu Audio Line émule le Jupiter 8 de Roland
togu-audio-line-tal-j-8-298660.jpg
Découvrez TAL-J-8, le nouveau synthétiseur virtuel de Togu Audio Line, émulé à partir du Jupiter 8 de Roland.


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Ce thread a été créé automatiquement suite à la publication d'une news pour ce produit. N'hésitez pas à poster vos commentaires ici !
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J'ai constate des problemes d'optimisation en mode dual avec unisson et chorus (craquement, perte de son), la ou j'arrive sans probleme a faire tourner plusieurs instance du Roland Jupiter 8 Expansion Model

[ Dernière édition du message le 20/12/2020 à 21:55:50 ]

42
Citation de Gam :
J'ai constate des problemes d'optimisation en mode dual avec unisson et chorus (craquement, perte de son), la ou j'arrive sans probleme a faire tourner plusieurs instance du Roland Jupiter 8 Expansion Model


Ok. Il suffit d'envoyer un mail aux devs avec ta config!:?!:
Perso, je n'ai aucun blème. Mais la vérité informatique est tellement aléatoire.:oo:
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En attendant une video comparant les sons du J-8 par rapport à un vrai Jupiter 8, j'ai comparé la version de tal avec celle d'Arturia v4. Une fois en commençant par l'Arturia, ce fut mes premiers commentaires ici et une autre hier en commençant par le Tal J-8.
Les 2 sonnent très bien. L'Arturia semble plus versatile. Niveau conso CPU, çà se vaut.

J'ai fait des recherches concernant les utilisateurs du JP-8 et je suis tombé sur un commentaire d'Harold Faltermeyer qui disait avoir utilisé ce synthé pour tous les thèmes du Flic de Beverly Hills, en utilisant le layering.8 voix, 16 oscillateurs et un mode split/Dual/Whole qui permet de superposer 2 presets l'un sur l'autre (layers) en detunant un peu, on obtient un son énorme sans utiliser le mode unisson qui est plutôt brutal, particulièrement en mono (les 16 oscillateurs jouent en même temps et le release est bloqué par le déclanchement d'une autre note).
Ce type de layering est possible sur le J-8, mais avec Arturia,il faudrait ouvrir une 2 ème instance du VST.
Avec le J-8, on obtient rapidement le résultat, c'est simple. Un copier coller et hop.
En tous cas, 2 super VST. Un petit coup de cœur pour le J-8, avec un gui qui colle à mon laptop et un prix plus qu'abordable. Autre point: J'adore modifier les paramètres avec la roulette de la souris, chose impossible chez Arturia, la molette fait défiler le synthé.


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Pour du layering avance, il y a Unify, un hote vst avance. Il va plus loin qu'un simple dual mode limite

[ Dernière édition du message le 28/12/2020 à 12:09:35 ]

45
Citation :
Pour du layering avance, il y a Unify, un hote vst avance. Il va plus loin qu'un simple dual mode limite


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Hors sujet :
J'ai du mal à trouver des renseignements sur le net concernant Unify, est-ce uniquement pour mac? Car j'utilise Win10.

46
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Hors sujet :
Oui je l'ai sous Win 10

Pour comprendre le plug, il permet de spliter, layer, gerer la velocite par layer, assigner des effet d'insert, des effet de bus, des effet midi, des effet master. Faire jouer un synthe mono en poly. Faire du motion sequencing.. Assigner des cc potard macro.

En gros une sorte de worksation.

[ Dernière édition du message le 29/12/2020 à 09:49:24 ]

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Toujours pas prévu pour iOS?

Plaisir d'offrir, joie de recevoir.

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Personnellement il y a une autre raison pour laquelle j'évite d'utiliser des synthés à tout faire : l'encouragement à maintenir le marché dans le temps.

Je raisonne :
Si tout le monde achète des synthés à tout faire (genre Diva) on décourage totalement les développements de nouveaux produits. Imaginez ce qui peut se passer dans la tête de nombreux développeurs : "A quoi bon développer des émulations d'Oberheim, de Moog, de Roland, etc. si un développeur les rassemble tous dans une même émulation ?". Résultat : quantité de développeurs finiront par mettre la clé sous la porte. Et finalement même le développeur du synthé à tout faire s'il ne crée pas en parallèle d'autres synthés plus simples. En effet s'il ne crée pas d'autres plus petits synthés en parallèle il va se retrouver lui aussi en manque de clients vu qu'ils auront tous acheté son synthé à tout faire. En manque de clients... dont en manque de recettes entrantes, et donc au final avec lui aussi des problèmes de trésorerie mettant son entreprise en difficultés. Résultat : si les clients se ruent sur les synthés à tout faire, quelques années plus tard non seulement le marché se sera fortement raréfié mais en plus les quelques développeurs restants n'auront même plus assez d'argent pour continuer à rechercher et mettre en oeuvre de nouvelles idées. Conclusion, si les développeurs se lancent dans la réalisation de synthés du genre Diva, (et même Massive, Serum, etc.) ils ne se contentent pas de tuer le marché mais en plus ils préparent leur propre suicide ! Et quinze ou vingt ans plus tard il ne reste plus grand chose de la créativité faute d'argent pour imaginer et développer de nouvelles idées et il ne reste plus grand chose de l'évolution de la musique logicielle.

Donc quand il s'agit d'émulations je n'achète aucun synthé logiciel qui émule plus de deux synthés au maximum (et encore c'est rare que j'achète un synthé qui émule plus d'UN modèle intégralement dédié), je préfère largement acheter plusieurs synthés qui émulent chacun UN modèle, un et un seul dans chaque émulation. Je choisis le développeur à chaque fois, par comparaison avec d'autres émulations ou par comparaison avec le modèle hardware d'origine : U-He pour le Repro, Xils pour le VCS, le RS-505, le Synthex et le PolyKobol, Arturia pour le Solina, TAL pour le Jupiter-8, le SH-101 et le Juno-60, GForce pour l'Oscar et l'Odyssey, Gunnar Ekornas pour le CS80, Cherry Audio pour le Quadra et le Memorymoog, Synapse pour le Minimoog, SonicProjects pour l'OB-X, Korg Collection pour le Polysix et le Mono/Poly, etc. Et ainsi j'ai le plaisir de varier ma relation avec les instruments à travers leurs interfaces différentes ET j'ai aussi le plaisir d'encourager le développement de nouvelles émulations, d'encourager la créativité des développeurs en maintenant leurs recettes financières, ET d'encourager le maintien de la musique logicielle dans le temps en évitant que les développeurs se raréfient en mettant la clé sous la porte de sorte que dans quinze ans il n'en restera presque plus. Est-ce qu'on veut que les petits développeurs disparaissent ou se fassent bouffer par quelques gros qui vont s'accaparer tout le marché ? C'est une question importante à se poser. La musique qu'on entend sur les radios est en train de s'uniformiser à vitesse grand V depuis quelques années parce que tous les producteurs majors utilisent les mêmes matériels à tout faire et n'ont plus aucune créativité (la vraie créativité étant maintenant reléguée dans des marchés secondaires loin de l'industrie). Est-ce aussi ce qu'on veut obtenir dans le marché de la musique logicielle dans quelques années ?

Se contenter d'acheter deux ou trois VST qui émule trente-six modèles ce n'est pas seulement faire des économies (à moins d'être vraiment fauché) en croyant qu'un seul VST/AU émule parfaitement tout (quelle illusion !) mais c'est aussi décourager les développeurs à maintenir le marché du VST/AU faute de rentrées d'argent pour les encourager à continuer (il faut bien qu'ils mangent eux aussi) et pour les encourager à créer de nouveaux produits pour notre plaisir.
"Il était à ce point économe qu'il avait fini par contracter l'avaricelle."
San-Antonio, dans Tarte aux poils sur commande

[ Dernière édition du message le 30/05/2022 à 14:47:17 ]

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Diva a 10 ans, on a vu un paquet d'émulation Roland, Oberheim, Moog, des MS20
Tuer le marche du dev, c'est un faux débat