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Test de l'Akai MPK Mini IV - Control freak

8/10

Le MPK Mini IV modernise la populaire série de mini-contrôleurs MIDI d’Akai. Avec son clavier amélioré, de vraies molettes pitch/mod, un arpégiateur enrichi et un bundle logiciel complet, il offre un contrôleur compact, polyvalent et inspirant.

Test de l'Akai MPK Mini IV : Control freak

Depuis plus de 15 ans, le MPK Mini est un acteur incon­tour­nable dans le paysage des petits claviers contrô­leurs MIDI. Popu­laire chez les débu­tants, compa­gnon des produc­teurs nomades, outil d’ap­point pour les compo­si­teurs aguer­ris, il s’est imposé comme l’un des contrô­leurs les plus diffu­sés au monde. Mais il traî­nait aussi quelques casse­roles : un joys­tick discuté, un clavier souvent critiqué, une absence de MIDI Out qui commençait à faire tache, et un design vieillis­sant face à des concur­rents deve­nus très sérieux. Avec cette quatrième itéra­tion, Akai propose un renou­vel­le­ment, sans renier l’es­prit compact et direct qui faisait le succès du modèle.

Présen­ta­tion du MPK Mini IV : design compact, fini­tion et look vintage

MPK Mini IV 1Au débal­lage, le premier contact surprend un peu par l’as­pect très plas­tique du contrô­leur, très éloi­gné des machines Akai des années 80, construites entiè­re­ment en métal comme des tanks, auxquelles ce joli bi‑ton gris clair fait réfé­rence. Même si nous appré­cions beau­coup ce look au goût vintage, le MPK Mini IV est égale­ment dispo­nible dans un colo­ris noir plus conven­tion­nel. Alors, OK, le côté plas­tique pourra déce­voir certain·e·s utili­sa­teur·­ri­ce·s, mais il convient de le rela­ti­vi­ser au regard du prix et de la gamme du MPK Mini IV. Et si sa résis­tance dans le temps reste à véri­fier, il ne paraît pas fragile. Les dimen­sions du MPK Mini IV sont de 347,5 × 192 × 45,7 mm et il pèse 1,05 kg. Par rapport au MK3, il est légè­re­ment plus grand et un peu plus lourd, mais reste extrê­me­ment compact. Il s’in­tègre sans diffi­culté dans un sac à dos, se glisse sur un bureau encom­bré et peut accom­pa­gner sans souci un setup nomade. Sa porta­bi­lité fait toujours partie de sa nature, et, même si le gaba­rit a timi­de­ment augmenté, l’es­prit nomade est donc intact. 

Au niveau des contrôles, quelques chan­ge­ments sautent aux yeux. Si l’on retrouve les huit pads et les huit enco­deurs sans fin, l’an­cien joys­tick de pitch, qui divi­sait les utili­sa­teur·­ri­ce·s depuis des années, laisse place à un duo beau­coup plus conven­tion­nel : une molette de pitch bend et une molette de modu­la­tion. Elles ne sont pas très grandes, mais leur prise en main est nette­ment plus agréable que celle du joys­tick, et surtout beau­coup plus précise. Ce chan­ge­ment, à lui seul, rend le MPK Mini IV plus natu­rel à utili­ser, notam­ment pour celles et ceux habi­tué·e·s à des claviers plus tradi­tion­nels.

Les commandes de trans­port (lecture, stop, enre­gis­tre­ment, boucle) consti­tuent l’autre nouveauté visible et appré­ciable. Ce n’est pas une révo­lu­tion, mais dans l’usage quoti­dien, c’est un vrai plus, surtout dans un setup compact où l’on cherche à rester concen­tré sur la créa­tion sans multi­plier les allers-retours vers l’or­di­na­teur. Akai propose égale­ment un ensemble de scripts pour les prin­ci­paux logi­ciels du marché (Able­ton Live, Cubase, Logic Pro, Gara­ge­Band, FL Studio) afin d’as­su­rer une inté­gra­tion rapide et une corres­pon­dance cohé­rente entre les contrôles du MPK Mini IV et les fonc­tions du DAW utilisé. Ils permettent de pilo­ter les fonc­tions essen­tielles sans toucher au clavier ni à la souris. On notera toute­fois l’ab­sence de script dédié pour Studio One, un oubli récur­rent que l’on retrouve malheu­reu­se­ment aussi chez la concur­rence.

Akai Professional MPK Mini IV : MPKMINIIV-gray backLa connec­tique mérite un mot parti­cu­lier, car elle marque une rupture avec les versions précé­dentes. Si la prise pour la pédale de sustain est toujours présente (sur jack 6.3 mm), l’ap­pa­ri­tion d’une véri­table sortie MIDI Out change profon­dé­ment la nature du MPK Mini IV. Là où les anciens modèles se canton­naient à un usage stric­te­ment infor­ma­tique (même si, bien sûr, certains synthés modernes proposent une prise MIDI via USB), ce nouveau venu peut pilo­ter direc­te­ment des synthé­ti­seurs maté­riels, des boîtes à rythmes ou des modules externes. Pour un contrô­leur de cette taille, c’est un ajout déter­mi­nant et parti­cu­liè­re­ment bien­venu, qui permet au MPK Mini IV de se hisser au niveau de la concur­rence, notam­ment l’Ar­tu­ria Mini­lab 3. La connexion USB-C, quant à elle, suit l’évo­lu­tion logique du marché et garan­tit une compa­ti­bi­lité opti­male avec les ordi­na­teurs actuels. Avec un adap­ta­teur, il est égale­ment possible d’ali­men­ter le MPK Mini IV via secteur, sans avoir besoin de l’or­di­na­teur.

On regret­tera en revanche l’ab­sence persis­tante de bouton on/off, un détail qui agace. Ce n’est pas un cas isolé sur ce segment, mais on ne peut s’em­pê­cher de penser que les fabri­cants gagne­raient à réin­tro­duire cette fonc­tion pour­tant basique.

Le MPK Mini IV est livré avec un câble USB-C et un petit guide de démar­rage rapide imprimé. Pour le reste de la docu­men­ta­tion, il faut la télé­char­ger au format PDF sur le site d’Akai.

Clavier, pads et contrôles du MPK Mini IV : prise en main et ergo­no­mie

MPK MINI IV 13Sans bien sûr riva­li­ser avec les écrans plus larges d’autres produits de la marque, le nouveau petit écran couleur se révèle très lisible et permet d’ajus­ter rapi­de­ment des para­mètres, de navi­guer entre les modes, de visua­li­ser certaines valeurs et de véri­fier la confi­gu­ra­tion en cours sans passer par l’or­di­na­teur. Surtout, grâce aux scripts de contrôle DAW, il affiche un retour d’in­for­ma­tion prove­nant du logi­ciel hôte. L’en­semble fonc­tionne très bien (testé ici sur Able­ton Live et Stein­berg Cubase) et apporte un confort d’uti­li­sa­tion très appré­ciable.

Le clavier lui-même béné­fi­cie d’une vraie amélio­ra­tion. Les touches sont plus agréables, l’ac­tion plus réac­tive, le rebond mieux dosé et la sensa­tion géné­rale beau­coup plus agréable que celle du MK3. On ne parle évidem­ment pas ici d’un clavier haut de gamme, les mini-touches restent des mini-touches, et certains claviers concur­rents, comme ceux d’Ar­tu­ria, conservent une supé­rio­rité en confort et en subti­lité. À notre goût, en tout cas. Néan­moins, la progres­sion est indé­niable. Là où les anciennes versions lais­saient une impres­sion parfois trop légère, cette nouvelle mouture offre une réponse bien plus convain­cante. Après, bien sûr, en ce qui concerne le jeu au clavier, les sensa­tions restent très subjec­tives d’un utili­sa­teur à l’autre, mais, dans l’en­semble, le clavier fran­chit une étape impor­tante dans la qualité de jeu offerte par le MPK Mini.

MPK Mini IV 2Les pads, de leur côté, restent fidèles à la répu­ta­tion d’Akai. Réac­tifs, précis, agréables sous les doigts, ils consti­tuent toujours l’un des atouts majeurs de la série. Sensibles à la vélo­cité et à la pres­sion, ceux du MPK Mini IV semblent légè­re­ment plus réac­tifs que ceux du modèle précé­dent, avec une meilleure détec­tion des nuances de frappe, même si la diffé­rence n’est pas radi­cale. Leur rétroé­clai­rage RGB reste effi­cace et permet de garder une bonne lisi­bi­lité, même dans des envi­ron­ne­ments sombres.

Les huit enco­deurs rota­tifs sont corrects, même si l’on remarque un très léger jeu sur certains axes, mais rien de drama­tique. L’ab­sence de faders, quant à elle, peut frus­trer certains utili­sa­teurs orien­tés vers le live ou l’au­to­ma­tion en direct. Les faders servent souvent à mani­pu­ler plusieurs para­mètres simul­ta­né­ment d’une seule main, ce qui est moins évident avec des knobs. Mais, compte tenu de la surface déjà très dense du MPK Mini IV, il est diffi­cile d’ima­gi­ner où Akai aurait pu les inté­grer sans sacri­fier d’autres éléments essen­tiels ou sans compro­mettre la compa­cité du contrô­leur.

Arpé­gia­teur, modes Scale et Chord : les outils créa­tifs du MPK Mini IV

MPK Mini IV 8Le MPK Mini a toujours été appré­cié pour son arpé­gia­teur simple et effi­cace, et cette version IV le renforce encore. Celui-ci a été large­ment amélioré et adopte une approche plus ambi­tieuse. Akai le présente comme un véri­table « Sketch­pad » pour créer riffs, grooves et idées inat­ten­dues. Les nouvelles options, telles que les modes Pattern, Freeze et Mutate, permettent de géné­rer et de faire évoluer des séquences, se révé­lant de véri­tables outils créa­tifs. Et effec­ti­ve­ment, le mode Pattern auto­rise la créa­tion de motifs d’ar­pège person­na­li­sés, Freeze permet de bloquer un motif pendant que l’on impro­vise ou joue par-dessus, tandis que le mode Mutate injecte auto­ma­tique­ment des varia­tions ryth­miques ou mélo­diques, comme des sauts d’oc­taves ou des chan­ge­ments de rythme, rendant l’ar­pège plus vivant et moins statique. Tout cela s’ajoute aux fonc­tions clas­siques d’un arpé­gia­teur, telles qu’elles étaient décrites dans le test de la version 3.

MPK Mini IV 4Comme les notes arpé­giées sont trans­mises en MIDI, il est facile de récu­pé­rer le motif généré pour l’édi­ter et l’uti­li­ser à diverses fins. À l’usage, tout cela se révèle plai­sant, poly­va­lent et très créa­tif. Les huit enco­deurs permettent de contrô­ler les para­mètres de l’ar­pé­gia­teur, et même si la touche Shift est souvent solli­ci­tée, ce qui vaut pour l’en­semble des fonc­tions du MPK Mini IV, l’er­go­no­mie est bien pensée, et les commandes s’as­si­milent en un rien de temps.

En plus de cet arpé­gia­teur plutôt doué, les modes Scale (Gamme) et Chord (Accord) s’avèrent égale­ment des outils pratiques pour la compo­si­tion et le jeu. Le mode Scale verrouille le clavier sur une gamme choi­sie, et sera bien utile à ceux qui ne maîtrisent pas encore parfai­te­ment leurs gammes ou ne sont pas des pros du clavier. Le mode Chord, quant à lui, trans­forme une seule note jouée en un accord complet, simpli­fiant la créa­tion de progres­sions harmo­niques.

Instru­ments virtuels et DAW : l’offre logi­cielle du MPK Mini IV

MPK Mini 4 SoftLa partie logi­cielle mérite une atten­tion parti­cu­lière, car elle évolue nette­ment par rapport aux versions précé­dentes. Là où le MPK Mini MK3 s’ap­puyait sur un ensemble distinct de plugins AIR (Hybrid 3, Mini Grand, etc.), le MPK Mini IV adopte une approche diffé­rente, plus moderne et cohé­rente. Le cœur de l’offre est désor­mais la Studio Instru­ment Collec­tion, un instru­ment virtuel unique regrou­pant plus de 1000 sons prove­nant d’AIR, d’Akai Pro et de Moog. Cette collec­tion consti­tue une palette sonore unifiée couvrant pianos, synthés, cordes, basses et percus­sions, avec tous les para­mètres d’édi­tion prémap­pés aux huit knobs du MPK Mini IV. Ce type de solu­tion se géné­ra­lise dans l’in­dus­trie et semble séduire de nombreux utili­sa­teur·­ri­ce·s, car elle permet d’ac­cé­der rapi­de­ment à une large palette de sons avec un mini­mum d’édi­tion, à l’ins­tar de ce que propose Analo­gLab d’Ar­tu­ria.

Cette formule présente plusieurs avan­tages : elle est plus simple à instal­ler, plus légère pour les débu­tant·e·s et mieux inté­grée que l’an­cien système d’ins­tru­ments sépa­rés. On perd certes en possi­bi­li­tés de sound design et de synthèse, mais on gagne en effi­ca­cité et en acces­si­bi­lité. Pour quelqu’un qui débute dans la produc­tion, dispo­ser d’une large biblio­thèque cohé­rente dans un seul instru­ment consti­tue un vrai atout.

CouvMPK 3À cela s’ajoute une licence d’Able­ton Live Lite 12, permet­tant de démar­rer immé­dia­te­ment dans un envi­ron­ne­ment de produc­tion complet. Il s’agit d’une version limi­tée du célèbre logi­ciel d’Able­ton, par exemple avec seule­ment huit pistes, mais elle suffit large­ment pour apprendre les fonda­men­taux, réali­ser des arran­ge­ments simples et se fami­lia­ri­ser avec le work­flow Live. Akai inclut égale­ment une période d’es­sai pour Melo­dics, un logi­ciel propo­sant des exer­cices inter­ac­tifs pour progres­ser en rythme, en drum­ming et au clavier. L’ac­cès tempo­raire à Splice complète l’offre, permet­tant de télé­char­ger des échan­tillons de bonne qualité, qui peuvent servir de base à des projets plus ambi­tieux.

Akai ajoute la possi­bi­lité d’uti­li­ser certains plugins AIR en stan­da­lone, sans passer par un DAW. Les versions stan­da­lone des plugins Elec­tric, Huge et Essen­tial Keyboards s’ins­tallent via l’in­Mu­sic Soft­ware Center et permettent de jouer immé­dia­te­ment avec le MPK Mini IV. Aussi, il reste toujours possible d’ins­tal­ler MPC Beats et ainsi de profi­ter de cette MPC virtuelle, parfai­te­ment compa­tible avec le MPK Mini IV. Quant au logi­ciel de confi­gu­ra­tion du MPK Mini IV, il n’ap­pelle pas de commen­taire parti­cu­lier, il fait ce qu’on lui demande et se révèle effi­cace.

L’en­semble de cette propo­si­tion logi­cielle est clai­re­ment orienté vers les nouveaux utili­sa­teur·­ri­ce·s, mais elle demeure suffi­sam­ment solide pour inté­res­ser des musi­cien·­ne·s plus expé­ri­men­té·e·s souhai­tant un setup mobile. Akai semble avoir compris que la multi­pli­ca­tion des plugins sépa­rés dans les offres précé­dentes créait parfois plus de confu­sion que de valeur, et ce nouveau pack paraît bien plus homo­gène.

Notre avis : 8/10

Le MPK Mini IV repré­sente une étape cohé­rente dans l’évo­lu­tion de la série de petits contrô­leurs Akai. La marque a résolu des problèmes histo­riques, notam­ment en amélio­rant sensi­ble­ment la qualité du clavier et en remplaçant le joys­tick décrié par des molettes de pitch bend et de modu­la­tion stan­dards. L’in­té­gra­tion de la prise MIDI DIN et des commandes de trans­port apporte de réelles avan­cées, faisant de cette version un contrô­leur à la fois effi­cace pour les logi­ciels et suffi­sam­ment poly­va­lent pour les confi­gu­ra­tions de studio hybride.

L’ar­pé­gia­teur est l’un des plai­sirs immé­diats du MPK Mini IV. Simple à utili­ser et créa­tif, il peut rapi­de­ment deve­nir un moteur d’ins­pi­ra­tion. Il suffit parfois de quelques minutes pour élabo­rer un motif inté­res­sant, qui pourra ensuite servir de base à une compo­si­tion complète.

Le MPK Mini IV s’im­pose comme un concur­rent très sérieux dans le segment des 25 touches. Pour son gaba­rit et son prix, il offre un éven­tail de fonc­tions très complet (arpé­gia­teur, modes Chord et Scale, contrôle de DAW…), et l’en­semble se révèle très agréable à l’usage, rappe­lant l’im­por­tance d’un work­flow inspi­rant. L’offre logi­cielle incluse est égale­ment complète et bien pensée, ce qui ne gâche rien.

Cepen­dant, l’im­pres­sion plas­tique, de même que le léger jeu des knobs, rappelle les compro­mis faits pour main­te­nir le prix. De même, l’ab­sence de faders peut être un véri­table frein pour les utili­sa­teur·­ri­ce·s habi­tué·e·s à mani­pu­ler plusieurs para­mètres d’une main.

Aujour­d’hui, l’offre en petits contrô­leurs-clavier abor­dables et complets est solide, et quel que soit le choix, il ne sera pas mauvais. L’Akai MPK Mini IV devrait offrir entière satis­fac­tion, à condi­tion d’éva­luer clai­re­ment ses besoins avant l’achat.

  • Nouveau clavier de meilleur qualité
  • Molettes de pitch bend et de modu­la­tion
  • Arpegiateur très créatif
  • Prise MIDI Out
  • Commandes de transport
  • Pads réactifs
  • Offre logicielle

  • Pas de bouton on/off
  • Pas de faders
  • Pas de script pour Studio One
Pays de fabrication : Philippines
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  • slave1802 5561 posts au compteur
    slave1802
    Je poste, donc je suis
    Posté le 26/12/2025 à 18:23:04
    Pour l'absence de bouton M/A :

    shopping
  • Hermon de Vinon 4499 posts au compteur
    Hermon de Vinon
    Squatteur·euse d’AF
    Posté le 26/12/2025 à 19:21:45
    Et quand il y a un bouton M/A il y en a qui se plaignent qu'il faut allumer et éteindre l'appareil...

    Quant aux faders il n'y en a jamais eu dans la série MPK ni dans les autres modèles équivalents d'autres marques, pourquoi en faire un point négatif ?
    Seule exception: le Minilab d'Arturia mais qui ne possède pas la moitié des fonctionnalités du MPK.

    Pour ceux qui ont besoin de faders, il y a une gamme appropriée d'appareils.
  • Coramel 7452 posts au compteur
    Coramel
    Administrateur·trice du site
    Posté le 26/12/2025 à 19:41:00
    Pour les faders, c’est vrai, je pense que la conclusion explique bien cela. Mais c’est vrai, mettre en point négatif n’était pas une obligation

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