Avis sur les compos Inclassable

Technique :

Bien :
La ressort bien du mix en début du mix, petit stéréo qui lui va bien, mais... même si parfois la saturation sonne métallique.
Caisse claire à sa place.

Moins biens :
Le volume au début est très bas, du coup un petit moment à se demander si c'est bien commencé (30s du début).
La voix, saturation qui sonne un peu métallique comme à 3:30 sur 'die?.', parfois un peu trop derrière à 3:50, parfois la saturation mode vocodeur mangent les mots.
A 2:13, il y a une résonnance cyclique voulu, mais un poil fort.
A 2:25, l'orage sonne un peu trop chelou, tellement l'habitude d'un son de déchirure.

Artistique :

A 2:25, j'aurai bien vu un coup de tonnerre plus fort durant le temps des 2 petites coups pour laisser reposer et boom la voix.
A 4:25, il y a un chuchoté, dommage que derrière rien ne le mettent en valeur, genre guitare un peu moins fortes ou changement de jeu sur 2 mesures.
A 4:44, j'ai un peu de mal avec ce tonnerre mode boucle uniforme, mais bien vu le petit coup de guitare ensuite
Concernant la première partie, je la trouve globalement dommage qu'elle soit si moins forte, car le simple fait de la terminer avec l'orage et d'attaquer en saturé suffit à lancer la seconde partie.

Ça fait plaisir à écouter, le cheminement est top. la voix est devant en générale. Le mix est lui aussi bien réaliser même si j'ai quelques petites remarques.
Aller je me la relance.

Technique :

Du bon du tres bon dark metal vraiment bien amene et la surprise est totale. Ca debouche les oreiles . Hellfest inside

Artistique :

Je suis vraiment pas fan du dark metal mais il fallait oser et la c est tout a fait l opportunite de le faire et c est dans le ton.
A la premiere ecoute c est la surprise et a la 2 eme c est encore mieux. C est rudement bien pense et comme le dark et assez court on ecoute encore jusqu'a la fin... bravo comment as tu eus l cette idee si decallee !

Technique :

Excellent.
Le son des grattes, le piano, la batterie qui fait clairement le job
sans compter la basse qui sait parfaitement se mixer afin de ne jamais etre trop en avant, j'adore ce type de subtilité ceci dit.
Je n'ecris rien sur la voix, je te laisse seul juge en la matiere...

Artistique :

L'ambiance qui se degage de ce titre est un pur regal.
T'enchaine bien les parties de grattes, les claviers arrivent comme il faut la ou il faut au moment où il le faut,
Belle mise en place

Technique :

Joli jeu d'orgue, j'adore, avec un son bien drivé.
Les montagnes russes et moulinets sont énormes.
La batterie, effectivement, sonne un peu dry, surtout comparé au son d'orgue qui lui très "roomy".
Fin vraiment brutale !

Artistique :

J'ai un peu de mal à voir le côté (o)rageux de la performance, par contre le jeu est très très très très bon. Peut-être est-ce la réincarnation de Keith Emerson qui veut faire venir la pluie en invoquant les dieux de son instrument diabolique ?
Ce n'est pas qu'un jam, c'est un morceau à réécouter plusieurs fois pour en saisir l'essence.
Par contre Greg Lake est absent de la formation, sinon c'était 5 étoiles assuré !

Technique :

Joli panning des instruments.
Beaucoup de dynamique dans l'ensemble, l'ensemble est pêchu, il y a eu du travail sur les transitoires ou bien est-ce seulement le signe de très bonnes prises de son.
Musique un tout petit peu répétitive, il manque par exemple un gros solo qui nous colle au fauteuil comme un éclair qui vient frapper l'arbre juste en face de nous.

Artistique :

Belles interactions harmoniques entre les guitares et le piano électrique (qui ferait éventuellement penser au début aux Doors, mais en fait non, il a sa propre personnalité, c'est juste que cet instrument est complètement approprié à cette ambiance).
La voix chaude nous conte l'infiniment petit et grand, ce qui se passe au coeur des nuages et de nos coeurs quand ça s'électrise dans nos p'tites têtes.
Peut-être mon préféré de la saison :)

Technique :

Rien à redire sur la partie technique, tout me semble OK, je suis simplement surpris par l'écriture, je trouve que l'insertion du passage métal de 2:29 à 5:03 n'est pas vraiment appropriée,même si elle est bien réalisée.

Artistique :

Je comprend l'intention de dépeindre une certaine violence d'un phénomène naturel, mais là, le contraste avec l'intro est trop exagéré, c'est dommage, c'était bien parti. Enfin, ce n'est que mon avis, c'est vrai que je n'affectionne pas ce style d'une manière générale.

Technique :

Je rejoins l'avis d'autres personnes à propos de la batterie, ça manque de présence, de punch. Le reste est bien construit, les passages lents et creux sont là où il le faut. La voix comme d'hab, passe toujours bien, en anglais de surcroit, bien vu la réverb lointaine sur la voix à 2.47. bonne écriture dans l'ensemble pouvant coller à un scénario post-apocalyptique d'un blockbuster.

Artistique :

On est dans les "clous" avec ce morceau, mission accomplie. Beaucoup d'efforts fournis dans la recherche des ambiances tout en réussissant à ne pas tomber dans le piège des clichés.

Technique :

Le texte est d'à propos sur une musique plutôt "country/blues". C'est un choix. La voix est légèrement sous-mixée. Mélodie et arrangements bien construits.

Artistique :

Avec cette interprétation à la façon "Stéphan Eicher" dans un style country/blues, je visualise un cowboy fatigué en fin de journée, assis sur une chaise basculante, un banjo dans les mains, scrutant un ciel sombre et grondant, oui je sais, ça fait cliché, mais je décris ce que je ressens à froid dès la première écoute, alors oui, on peut dire que c'est en rapport avec le thème mais dans ce contexte Américain là.

Technique :

Je ne trouve pas qu'il manque de la réverb sur la batterie. Le mix est correct. Le timbre de l'orgue "façon Hammond" et le motif mélodique en boucle sont très appropriés à l'ambiance demandée. La fin aurait pu être plus présente et soignée.

Artistique :

Pas vraiment original, mais je salue tout de même l'effort qui a été fourni pour la recherche du motif à l'orgue.

Technique :

Belle maîtrise de l'ensemble. Très bon passage calme au piano (d'excellente qualité sonore au passage). La reprise est splendide.
Les voix donnent du coffre et du style, c'est indéniable, mais je ne les trouve complètement réalistes, c'est un détail.

Artistique :

Tu es le maître incontesté des ambiances cinémascopiques. Entre Bravehart et Requiem for a Dream, il suffit de fermer les yeux et d'imaginer traveling sur le champ de désolation laissé par l'orage. Petite effet répétitif à un moment, on s'attend à une montée finale encore plus grandiose, mais non en fait c'est juste bien comme ça. Mais le 5 étoiles est là.