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Les conneries. publiques !

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Sujet de la discussion Les conneries. publiques !
S'lut !

Fan assidu des rubriques "les conneries on stage" et autres "en home-studio", j'ai pu remarquer cependant qu'il n'éxiste pas de topic dédié aux anecdotes familiales ou amicales que le destin nous avait pourtant réservées.
Il en est pourtant de croustillantes, et qui divertiront + d'un musicien souhaitant faire... un break.

A cet effet, je propose donc que nous racontions ici toutes nos histoires sans rapport direct avec la musique (genre conneries lors du baptème du petit dernier etc).

A vos marques... Feu !
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401
:8) Je me douté bien quand mettent des connerie sur le qui vive vous alliez foncer dans le panneaux.
hi hi hi. :mdr:
PEACE " faites l'amour pas la guerre ".
402
Hi hi hi.

Quand t'auras traduit en français, je comprendrai peut-être ce qu'il y a de drôle. :furieux:
403
Rien. Mais c'est peut être ma traduction qui déconne.

La vie, c'est comme un train de montagne

404
Comment j'ai crée un accident à lage de douze ans ...


à proximité de chez moi un centre pour handicapé , en face leurs ateliers protégés ( leur boulot quoi ;) )

pour les faire traverser un feu rouge pour pieton mais , dés qu't'appuies il passe au rouge ( j'en savais rien moi !!)
là j'me dis tiens si j'apuies il se passe quoi?? ben une beheme qui freine sec et une fiat uno qui vient bien gentillement lui defoncer l'arriere train, sur ce ,logan , lui il a pris son velo et il a pedalé le plus qu'il a pu !!! quand aux 2 voitures , je les ai plus jamais revue :8O:

allez je :fleche:
Si j'etais une femme , je ne pourrais qu'aimer un homme comme moi !
405
Il y a quelques années, un ami qui aurait largement pu devenir Afien m'a raconté la honte de sa vie.
On est quadra aujourd'hui, il en avait donc 16 ou 17 au moment des faits.

Début des années '80. Pour mémoire : pas d'internet. Ni même d'ordis à la maison. Epoque bénie.
Pour les trucs un peu roses, le minitel sévissait à plein tubes.
C'était à grands coups de "3615 contacte-moi-chéri" et de "3615 Rendez-vous" que ça se passait, exclusivement.

Il y avait aussi des numéros voisins sur lesquels des nanas vous racontaient leurs prétendues sportives exhibitions.

C'est l'un de ces numéros qu'il avait composé depuis l'appartement familial.
Mais, en vue de ne pas se faire éventuellement repérer par ses parents à cause de factures trop salées -ses parents étaient certes de vrais moulins à parole, et n'avaient pas fait la demande du détail (alors payant) des communications, mais bon...- il avait cette technique d'enregistrer en leur absence des petits bouts de ces précieux récits sur une cassette, au moyen d'un microphone qu'il plaçait sur l'ampli du téléphone, et qu'il enregistrait donc directement via l'ampli "hi-fi" familial.
Il pouvait ainsi, d'enregistrement en enregistrement, se ré-écouter les bandes (bah vii...) aux voix suaves sans trop se soucier du coût des communications (sur-taxées bien évidemment).

Fort bien.

Tard un soir, lors d'un week-end d'absence de ses parents, il s'adonna évidemment à son exercice favori et, comme d'habitude, plaça son micro sur l'ampli du téléphone, ouvrit la chaîne, plaça sa cassette dans l'appareil et ses casques sur les oreilles, régla le son fort comme à son habitude et débuta dans sa coupable débauche...

"Cinq à dix minutes d'apaisement plein", me confia-t-il...
Jusqu'à ce que ses voisins directs viennent interrompre le bien solitaire exercice, en tambourinant sur la porte (leur sonnette n'a jamais fonctionné). Si fort qu'il les entendit frapper à travers le casque, un boucan à réveiller l'ensemble de l'immeuble (l'alcool ayant "aidé" un peu, il prenait ça au début pour des bruits de fond !...).

Vite ! rengainons, vite, un peignoir... Il ôte son casque et s'aperçoit à cet instant qu'il avait complètement oublié de couper le son de l'ampli hi-fi : le récit érotique était toujours en train certes de s'enregistrer, mais surtout aussi d'être diffusé à bonne puissance sur les enceintes à proximité non seulement du mur mince mais aussi des fenêtres ouvertes du premier étage !... ce qui empêchait les voisins de trouver le sommeil !

Par le fait que la pièce où se trouvait le téléphone était séparée par une cloison du salon familial -où était la chaîne-, le larsen n'avait, lui, aucune chance d'intervenir...


Jamais il n'y eut de suite à l'histoire.
Ni du voisinage, ni des parents...
406
Bon allez une petite qui nous rappelera à tous ces années d'innocence...
on me l'a tellement contée, quelle est gravée en moi...

je devais avoir 4 ou 5 ans, je tronais fierement sur les epaules de mon père, et nous allions en famille, en cette belle journée dominicale, faire le tour de l'absolument-méconnue-et-on-se-demande-pas-pourquoi "Foire au biquet" de Louestault(37)

Hors sujet : la specialité etant toutes sortes de specialités culinaires d'un gout douteux du fait de la preparation en grandes quantités, le tout à base de chevreau (mort)



nous voici dans les méandres des rues du bledicule paumissimme engorgées de populasse avide de pacotilles...
quand soudain mon père (qui n'était pas avare d'une galejade en pareilles circonstances) lança un "Tiens là-bas y'a les poulets!" en apercevant à 20m devant nous une brochette de représentants de l'ordre des campagnes (des gendarmes quoi)... ce qui me plongea dans une grande perplexité...

Arrivés à leur hauteur, toujours aussi sceptique quant à la remarque de mon père, et afin de rassurer toute la famille je dis :" non c'est pas des cocottes, c'est des monsieurs!"....
les gendarmes n'ont pu retenir leurs rires... mes parents n'étaient pas plus à l'aise que ça...
Wallace pour les intimes, -W- pour ceux qui parlent majuscule couramment, aka pour ceux qu'ont rien compris
407
Je saute du poulet au canard.

Comme je vous l'ai déjà raconté, j'ai passé mon enfance en Belgique.
Et en Belgique, un journal s'appelle... un journal. Pas un canard.

Aussi, un jour que je vins manger dans la famille en France, avais-je entendu dans la matinée la maîtresse de maison demander à son époux allant avec moi "au pain" (?!) : "Georges, n'oublie pas de ramener le canard" !...

Vous devinez la suite : j'étais insupportable sur le chemin du retour : je n'en démordais pas : "Si, je t'assure : Denise a demandé que tu ramènes un canard"... Le brave homme savait pourtant que rôtissait déjà autre chose dans la cuisine, et qu'il était rigoureusement impossible que sa femme lui eût fait pareille demande.
Il a fallu me menacer d'une sévère baffe pour me faire taire, tant j'étais absolument certain de ce que j'annonçai...

Je me souviens qu'au retour ils s'interrogèrent longuement, mais sans trouver l'origine de "ma" crise...

Ce n'est que bien plus tard, un jour où par mégarde ils se dirent anodinement : "t'as lu le canard ?..." que ça leur fit enfin "tilt" dans leur 'tite tête...
408
A l'inverse, si ma mémoire est bonne, la Belgique francophone a aussi ses particularités linguistiques.
Lors de vacances outre-Quiévrain, une épicière avait plongé ma mère venue au ravitaillement dans des abîmes de perplexité en lui disant : "Tu me rapporteras les vidanges".
:?!:
:?!:
:?!:
...eh ben en Belgique, c'est les bouteilles vides :idee:
409
Oui, comme ça existait en France pour le vin, mais je crois que, comme nombre de choses, ce n'est que le long de la frontière qu'on emploie ce terme.
Tout commes les chicons (= les endives); les casseroles qui sont des poèles ou des poêlons et réciproquement, les torchons qui deviennent des serviettes, des serpillères des "wassingues", les Bulex qui sont (une marque de) des chauffe-eau -mon dico ne me dit pas comment l'écrire au pluriel !-comme les "Mobylette(s)" françaises sont, elles aussi, une marque de motocyclettes ( anciennement "pétrolettes" ), et ainsi de suite.

Parmi les célèbres et constants décalages belges et français qui me font souvent rire, il y a le coup magistralement classique de :

B : "Venez diner samedi à la maison"
F : "OK, à quelle heure ?"
B : "Euh; allez; venez vers 11 heures pour l'apéritif "
F : ":8O: Ouh là ! C'est beaucoup trop tard !"...
B : ":???:"

Bah évidemment; en Belgique -tout comme au Québec, du reste- le "diner" est le repas de midi. Le soir, c'est le "souper"...

Autre anecdote croustillante :

Un jour, à la frontière -avec le Georges dont je parlai tantôt (= tout à l'heure) pour l'histoire du "canard"-, le douanier lui demande de réciter par coeur sa plaque minéralogique -un véhicule du genre ayant été volé, c'était un "truc" pour vérifier à la va-vite : si le conducteur n'hésitait pas une seconde, on le laissait souvent passer sans autre forme de contrôle les jours d'affluence.
Le Georges en question, je m'en souviens 35 ans plus tard, répond sans broncher au douanier son "numéro" de plaque : "3010 FA 59".
Mais, pour "3010" il prononce distinctement "30-10", afin d'éviter de dire "Trois mille dix", qui est, de fait, un peu + confus...
Le douanier (belge) : "Comment, ça "30-10" vous voulez dire "40" ?...
Georges : ":oo:"...

70 = septante: 90 = nonante.
Certains anciens, et en Suisse aussi, prononcent encore "octante" pour 80.
Ce qui est ma foi, beaucoup + logique que "quatre vingts" !

Hors sujet : N'oublions pas qu'avec raison, de la même façon les mois de Septembre, Octobre, Novembre et Décembre étaient autrefois respectivement les 7,8,9 et 10ème mois de l'année.
Et non pas comme aujourd'hui les 9,10,11 et 12 ème...

Mais la logique, de nos jours...



Wouaf !
410
Toilb > c'est vrai que octente etc... c'est plus logique que quatre-vight dix la je suis d'accord