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Stress, pression, culpabilité, perdition : pas facile de faire avec... Et vous ?

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Sujet de la discussion Stress, pression, culpabilité, perdition : pas facile de faire avec... Et vous ?
Un petit topic thérapie de plus...

Je ne sais pas trop pour vous mais moi dans mon boulot j'ai beaucoup de stress et de pression, à tel point que parfois je culpabilise, et quand ça arrive trop souvent, je me sens impuissant, perdu face à l'avenir immédiat, mes missions, même ma vie privée.

Ca vous arrive ? Quand ? Comment ? Vous faites quoi ?

En général, pour ma part il s'agit souvent de stress de l'inconnu : la peur du risque que l'on prend en allant sur un terrain pas toujours maîtrisé ou alors le stress de ne pas pouvoir avancer fautes de retours ou d'infos manquantes que d'autres sont sensés nous fournir, ou encore le manque de directives précises de la part de mon boss...

La pression, elle, c'est plutôt quand on me donne trop de responsabilité, je la gère mieux maintenant, avec l'expérience.

La culpabilité, elle, vient parce que je suis un peu trop "honnête", du coup même après avoir fait mes 35h + des heures supp dont je ne verrai jamais la couleur, je me retrouve le soir à la maison à me dire des trucs du genre : "j'aurais pu faire encore ça aujourd'hui, je pourrais commencer plus tôt demain, etc." et je n'arrive plus à sortir du taff, à me faire plaisir en faisant un truc qui me plait, à glander un peu, etc.

Dans certains moment tout ça se cumule avec une intensité assez perturbante et je passe des moments assez difficiles, par exemple depuis 2 semaines j'en chie à donf, ça m'obsède et je ne fais plus rien, on me croirait en dépression...

Bien sûr tout ça joue sur l'humeur, le couple, et tout...
Problème supplémentaire : dans mon boulot, mes collègues et patrons sont tous des amis donc je n'arrive pas à leur en parler de peur que ça leur en rajoute ou qu'ils me sous-estiment, ce genre de truc...

Et vous alors ?

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

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Saint avold, je suis prêt a t'offrir la cartouche de 9mm que tu t'expedieras dans le gosier au bout de deux mois
782
Ah, je dis pas de conneries, c'est un des bleds les plus déprimants que j'aie vu. Ex aequo avec Bitche peut être.
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bitch ? :-D
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En même temps, j'aurai environ 900 boules par mois, le logement, et pas mal de possibilités de se barrer de là-bas le week-end venu, donc ça me va! Au pire je m'improviserai blogueuse mode sur youtube pour combler mes longues soirées d'hiver.

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

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Bon, je change de taf dans un mois, c'est offichiale

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

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Eh beh. Ca allait moins bien puis mieux puis là non pouf tu changes?

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

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Ben ouais. Mais j'ai toujours eu un nez pas mal pour flairer les opportunités qui valent le coup et la chance suffisante pour parvenir à les provoquer, du coup, là, j'en ai une, j'ai fait le tour, je tente le coup.

Je suis bien dans mon taf actuel, ce qui est chiant c'est qu'un jour t'es à +15 000 et le lendemain - 15 000, mais le boulot en dehors de cette contrainte bien chiante est super.

Là j'ai un pote qui a une boite dont le CA double chaque année, qui bosse sur des projets un peu dingos (Darinze l'a rencontré d'ailleurs quand il est venu à la maison), qui gagne gros mais s'en branle totalement et me propose d'être son bras droit (en gros il joue de son coté fou et bien mais a besoin d'un mec qui fasse sérieux à coté pour rassurer certains de ces clients), j'ai toutes les compétences et ça promet si on bosse ensemble, j'en suis convaincu.

Bref je fais ce que j'ai toujours fait et qui m'a chaque fois réussi : je saisi une opportunité... Quand tu penses qu'à la base j'ai un diplome d'ingé en gestion des risques:-D

Après, je garde mes parts dans la boite actuelle hein, mais je cède mon poste.

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

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Cette semaine j'ai accepté, sur le principe, de rejoindre mon père dans sa grande aventure industrielle. Je suis actuellement régisseur son et lumière dans une petite salle de spectacle pour une communauté de communes. Je vais d'ici quelques mois devoir dirigé la mise en place et l'exploitation d'un site d'extraction d'huile de poisson, un léger changement de carrière en somme...

Je vais devoir quitter la France pour probablement aller travailler au Samoa Américaine, les autres destinations possible sont l'ile Maurice et la Tasmanie, après avoir passé plusieurs mois à me former aux Seychelles au côté de mon père qui lui fait ça depuis 10 ans.

J'ai pas encore donner ma démission, j'ai pas encore de dates pour mon futur départ et je flippe déjà à l'idée des responsabilités que je vais devoir endossés... Je parle d'un investissement non négligeable, de la gestion d'une équipe, de la maintenance de machines et de touts les petits avantage de travailler sur une ile loin de tout... :surpris:

Le plus dur c'est pas la chute... C'est l'impact!!!! 

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Le plus dur n'est pas le décollage... C'est l’atterrissage....:-D
Splotch, quel âge as-tu? As-tu une chérie qui va t'attendre près de Villedieu-les Poêles? Connais-tu la différence entre un hareng et une baleine?
Mon père m'aurait proposé la même chose quand j'étais jeune (lui était dans le poulet, pas dans le poisson), j'aurais signé tout de suite.
Si ton père te le propose, c'est qu'il t'en sent capable.
Si tu as envies de découvrir les mers chaudes, c'est maintenant, tu n'auras peut-être pas d'autres occasions.
Au pire, tu auras fait un beau voyage.
Parles-en à ton employeur, explique-lui. Il va t'en vouloir de le quitter, mais quand dans dix ans, tu reviendras, il te dira : Alors? :8O: et te rembauchera (si ce n'est lui, ce sera un autre).

Fonce...:bravo: