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Sujet Café des sports: analyse et commentaire de l'actualité sportive

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Sujet de la discussion Café des sports: analyse et commentaire de l'actualité sportive


La saison de L1 reprend bientôt, y'aura les mondiaux d'athlé, et plein d'autres évènements sportifs, alors si vous avez une tite chronique à faire, ou tout autre connerie à raconter en rapport (ou non) avec le sport, c'est ici que ça se passe!!
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L’entraîneur de l’Olympique de Marseille José Anigo a expliqué vendredi sur le site officiel de l’OM que le retour de Marcel Desailly à Marseille n’avait « jamais été à l’ordre du jour ». Contrairement, à ce que Pape Diouf, directeur sportif de l’OM avait laissé entendre récemment.


Ce n’est pas encore la saison prochaine que Marcel Desailly portera de nouveau les couleurs de l’Olympique de Marseille. Contrairement à ce qu’avait laissé entendre récemment le directeur sportif marseillais Pape Diouf, le retour du défenseur des Bleus à l’OM n’aurait « jamais été à l’ordre du jour ». C’est ce qu’a fait savoir vendredi sur le site officiel de l’OM l’entraîneur marseillais José Anigo. « Marcel a un bon club, Chelsea, et il n'a pas besoin de l'OM. Sa venue n'a jamais été à l'ordre du jour. Pour ce qui est de Lizarazu, il y a effectivement des contacts avec lui, mais il est aussi en contact avec beaucoup de clubs et il n'y a rien de garanti » a déclaré José Anigo, très déçu de voir Mathieu Flamini, proche du club anglais d’Everton, lui glisser entre les doigts.

De Flamini, Anigo, toujours sur le site de l’OM, a déclaré : « Il ne sera pas présent à la Commanderie (centre d'entraînement de l'OM) lundi pour la reprise. Comme quoi, on peut former les jeunes et ne pas toujours les connaître. Je suis déçu, car je pense que s'il en est là, c'est en partie grâce à l'OM (...). Mais à un moment donné, il a oublié de renvoyer l'ascenseur. Ce n'était pas la faute du club, car je peux vous dire qu'en terme de contrat, il n'était pas malheureux.

Au cours du même entretien, l’entraîneur de l’OM a clairement indiqué que Didier Drogba serait toujours à l’OM la saison prochaine.


Heuresement pour Marseille par contre c'est quoi ce truc de Flamini? je sais qu'il était stagiaire l'année derniere et là donc il va signer son premier contrat pro a Everton?
putain les jeunes...
Audiofanzine Football Club
8512

Citation : c'est Vikash Dhorasso... alors bien fait pour vos gueules



Oh, le petit Vikash on l'aime nous aussi, on le voulait au PSG mais bizarrement il a préféré Milan :pong:
Il est clair que Dhorasso ou Giuly auraient fait du bien, peut-être même Govou pour animer le côté droit déserté.
Ce qui m'énerve, ce n'est pas la défaite justifiée mais l'absence de réaction de Santini qui a pourtant vu sur les 3 premiers matchs que ça n'allait pas, surtout Henri + Trezeguet. Il aurait du jouer avec un seul en pointe commen en 1998 et 2000


Citation : putain les jeunes...


c'est l'amour du maillot ça.
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CAHIERS DU FOOTBALL : Mangés a la sauce blanche

Vainqueur sur le score de 1-0, des Grecs bien organisés ont réalisé le coup parfait et sortent les Bleus de l’Euro 2004. Une conclusion à la fois triste et nostalgique pour une génération dorée.
"Il est probablement temps de se rappeler qu’entre la descente des Champs-Élysées et la sortie de route sur une départementale portugaise, la plus forte probabilité reste celle d’un parcours interrompu dans les matches couperets qui succèdent aux poules", prophétisions-nous dans l’édito de notre numéro 7.

Ainsi, hier soir, les Bleus se sont donc inclinés 1-0 en quarts de finale de l’Euro face à de surprenants Grecs, comme ça ne leur était plus arrivé depuis 1996. La déception est forcément immense pour un groupe qui semblait être reparti sur de bonnes bases après l’échec coréen. Et cette défaite, contre un adversaire qui n’avait pas la renommée des Pays-Bas ou du Portugal, suscitera probablement bien des commentaires acerbes de la part de la presse spécialisée, qui ne manquera pas de souligner que les Bleus ont manqué à leur statut, ou qu’ils se sont peut-être vu trop beaux... On cherchera des responsabilités chez les uns ou chez les autres, dans le coaching de Jacques Santini, la méforme des joueurs, l’état de la pelouse ou la mauvaise préparation… Nous nous contenterons pour ce soir de rappeler, comme en 2002, que ce genre de défaites sont aussi le lot de toute compétition de haut niveau.

Quelles que soient les raisons de cette élimination, cette dernière marque en tout cas la fin d’un cycle. Celle de la génération "Zidane" née au niveau le plus élevé huit ans plus tôt en Angleterre. Plus qu’en 2000, avec les départs de Blanc et Deschamps, plus qu’en 2002, avec ceux de Petit et Dugarry, 2004 sonne ainsi le glas des aventures footbalistiques de la bande des trentenaires : on ne sait pas encore quels seront ceux qui quitteront le navire dans les jours qui viennent, mais de Thuram à Lizarazu, en passant par Desailly ou Barthez, la liste est longue des cadres susceptibles de tirer un trait sur plus de dix ans de carrière sous le maillot bleu.

Le futur sélectionneur, qui ne sera donc pas Jacques Santini — il avait annoncé son départ avant le début de l’Euro — repartira sur de nouvelles bases. A l’image de ce qu’avait dû réaliser Aimé Jacquet en 1994… Comme il y a dix ans, le public français devra s’habituer à de nouvelles têtes, à de nouvelles méthodes. Redécouvrir l'équipe de France ou la laisser à ses véritables aficionados.
Les Bleus sont morts, vive les Bleus.


La brève nalyse
Perdu par la plus petite des marges, ce match est finalement assez représentatif du parcours des Bleus depuis leurs débuts dans la compétition le 13 juin dernier: moins brouillons que face à la Suisse, mais aussi moins combatifs que contre les Anglais, ils ont en revanche été constants dans leur incapacité à accélérer le jeu, à donner du rythme, à percuter la défense adverse. Les occasions les plus dangereuses ne sont donc pas venues de mouvements en passes courtes, comme ils nous en avaient donné l’habitude depuis de nombreux mois, mais par des centres ou des frappes à mi-distance. En face, les Grecs, solides et généreux, ont répondu présents durant tout le match, sans trop reculer comme avaient pu le faire les Anglais au Stade de la Luz, mais sans le génie qui avait habité les Croates pendant une vingtaine de minutes à Leiria. Dangereux sur coups de pied arrêtés, ils ont en revanche abusé des longs ballons.
Paradoxalement, leur (superbe) but est intervenu dans la phase la plus prometteuse des Bleus depuis le début de l’Euro portugais: une entame de deuxième mi-temps faite d’engagement, marquée par une grosse pression sur le porteur du ballon et par une présence constante sur le but grec. Las, une succession de fautes défensives françaises, et un superbe enchaînement grec (un quasi-coup du sombrero, un centre parfait, une tête puissante dans la lucarne) ont douché l’enthousiasme retrouvé des Bleus, qui ont ensuite baissé de pied… sans, cette fois, obtenir le coup de pied arrêté salvateur qui aurait pu leur permettre de revenir à la marque comme lors des rencontres précédentes.
Il est à noter que pour une fois, les Bleus n’ont pas eu l’imposante possession de balle qu’on leur connaît habituellement : en ce sens, les Grecs, particulièrement joueurs, n’ont pas usurpé leur victoire.


Les gars
Dans les cages, Fabien Barthez a commencé par un arrêt étrange : sur un coup-franc grec ressemblant comme deux gouttes d’eau à celui de Zidane contre la Croatie, le portier marseillais a dû maîtriser un ballon sans grande vitesse qui avait décidé de venir s’écraser sur son poteau gauche. Le stade a d’ailleurs cru un instant — mais à tort — au but. Le reste du match a été propre, avec des interventions sûres et un but encaissé sans réellement pouvoir s’opposer à la tête de Charisteas.

Derrière, c’est probablement Lizarazu qui a été le plus sollicité : très volontaire dans son couloir gauche, le petit Basque a essayé d’apporter du jus et du tranchant aux offensives bleues. Une performance plutôt réussie, avec un excellent centre sur la tête de Henry en première mi-temps, et une percée incroyable dans la défense grecque en seconde, qu’il aurait peut-être dû conclure d’une frappe du droit. Il a malheureusement été mystifié par son vis-à-vis sur le but grec (un petit lob précédent un centre parfait).

Dans l’axe, Thuram et Silvestre ont montré une certaine fébrilité en début de match, le second oubliant par exemple de récupérer le ballon sur une relance de Barthez. Mais dans l’ensemble, leur match a été efficace, même si les deux joueurs commettent une énorme faute de marquage sur le but de Charisteas, seul au point de penalty.
A droite Gallas, a été propre, mais victime du penchant naturel des Bleus à jouer côté opposé. Il a par ailleurs souffert de la comparaison avec Thuram, lorsque ce dernier, en toute fin de match, est venu apporter son grain de sel dans le couloir droit, délivrant un centre parfait sur la tête de Henry à trois minutes de la fin du temps réglementaire. Il a sans doute manqué un spécialiste dans le couloir droit pendant la compétition…

La paire de milieux récupérateur, très affairée, a alterné le bon et le moins bon. Dacourt a néanmoins semblé très limité techniquement, et mal à l’aise dans son positionnement, tandis que Makelele, plus efficace, a connu du déchet dans ses transmissions. Les deux compères ont par ailleurs réalisé un nombre de fautes beaucoup trop important, ce qui a eu pour conséquence de hacher le jeu.

Que dire de Zidane, si ce n’est que l’idolâtrie dont il a été l’objet depuis le début du tournoi était évidemment déplacée, comme nous l’avions déjà indiqué dans nos parutions précédents... Perdu sur le terrain, en manque d’inspiration, le Madrilène n’a jamais réussi à créer des décalages, a perdu plusieurs ballons, et a même abusé des tentatives d’éliminer ses adversaires en solo. Une performance dans la lignée des trois précédentes, en pire, puisque cette fois, il n’a pu apporter son toucher de balle sur les coups de pied arrêtés.

Pires, très bon en début de match, comme à l’accoutumée, a apporté la vitesse qui faisait défaut à son acolyte du milieu de terrain. Souvent à gauche, un peu à droite, il a essayé de multiplier les provocations, mais s’est éteint progressivement… comme à l’accoutumée.

Enfin, en attaque, Trezeguet a été fidèle lui-même dans cet Euro : transparent, il n’a strictement rien apporté au collectif français, même s’il a semblé plus enclin à travailler la récupération et le pressing que lors de ses précédentes sorties. Ne lui jetons tout de même pas trop la pierre (la presse — et les Guignols — s’en chargeront sufisamment) et n’oublions pas ce que la France doit à son goleador d’origine argentine…

Quant à Henry, il a été volontaire, se repliant plusieurs fois pour essayer de partir de loin (une position qui lui avait réussi contre la Suisse), frappant au but sans réussite. Le gros point noir reste évidemment cette imprécision dans le jeu de tête (une par mi-temps): le Gunner n’en aura pas cadré une seule du tournoi, après ses ratés contre les Helvètes lors du précédent match.

Les remplacement consécutifs au but grec ont été intéressants : Saha, très vif, a une fois de plus montré en quelques minutes que son apport au groupe et ses qualités techniques pouvaient être positifs pour les Bleus. Wiltord et Rothen, moins en vue, ont essayé d’apporter le déclic sur les ailes. En vain.


Les observations
> C’est quand même rafraîchissant de retrouver le Zidane de 1996
> En fait ce n’est pas Trezeguet qui a joué l’Euro, mais Deivid, l’attaquant brésilien des Girondins de Bordeaux.
> L’an prochain, Djibril Cissé va pouvoir défier Thierry Henry dans le championnat anglais au challenge du nombre de buts marqués de la tête.
> Personne dans le public n’a hurlé "Santini démission !"
> Silvestre aurait peut-être dû commettre une erreur grossière en défense, au moins ça réussissait aux Bleus.


Les titres auxquels vous avez échappé
Les Grecs fritent les français
Dellas, ton univers impitoyable
Naufrage à la Grecque
Kafes un peu trop court
L’Hellène s’égara
Le Gyros phare
L’Alvalade des gens heureux
Audiofanzine Football Club
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C'est quoi votre nouvelle nationalité à vous ?
Moi j'attends le résultat du match de demain soir pour me décider. Tchèque ou danois, je m'en fous, l'important, c'est de gagner.

Une chose est sûre : ON VA GAGNER L'EURO !!
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Citation : Une chose est sûre : ON VA GAGNER L'EURO !!



:ptdr:

moi maintenant l'euro c'est fini, la france et l'angleterre dehors... vivement le championnat!
je vais surement bouger voir des matchs amicaux de Lyon je vous tiendrai au courant je sais que vous attendez tous des infos. :mdr:
Audiofanzine Football Club
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Portugal, Tchèques , Pays bas
Là au moins y'a du jeu
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Citation : Place aux jeunes, Place a Tigana


Hors contexte, c'est marrant :ptdr:.
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Au champ de mars, hier soir, on devait etre 5 000. Les gens n'en avaient rien de fouttre de perdre...
Belle demonstration de la fin d'une epoque...
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Citation : Citation :pas d'accord pour Liza. C'est le seul qui montre qu'il en veut sur le terrain quitte à faire des fautes.

+1
le mec qui critique Liza sur ce match, c qu'il a de la merde dans les yeux !
Mais de tt façon il me semble que Liza arréte l'EDF !



certes, de l'engagement mais une grosse absence fatale en defense...
et je ne soutiens plus liza depuis la corée.
aujourd'hui, ya evra qui est largement à son niveau, offensivement ET defensivement.

les seuls anciens (+30 ans ) qui tiennent la corde: barthez et thuram...Les autres ont plus rien à faire là, si ce n'est zidane mais pas plus de 60 minutes et apres, micoud ou mallbranque, ou giuly...
je reste persuadé que des joueurs comme rothen , pedretti et, evidemment, saha (mais aussi luyindula et dhorasoo ;) ) aurait apporté à cette equipe...

wiltord, marlet, govou, zidane, desailly, rezeguet, dacourt etaient en meforme depuis plusieurs mois...Que quelqu'un me rapplele la fin de saison de zizou!!!
sylvestre, makelele, henry,vieira, pires etaient fatigués (tiens? quel est le rapport avec tous ces joueurs, à part le fait qu'ils jouent dans un championnat qui ne fait jamais de pauses et ne gagne pas une coupe d'europe, malgré les equipes les plus riches et les plus fortes sur le papier,?)

je suis pas amer, mais realiste...
comme beaucoup ici, je ne pleure pas (comme j'ai pleuré en 82 ou 86, voire 2000): je constate qu'on a été tres mauvais...à peine moins que les allemands ou les italiens, dont on se gaussait ya pas si longtemps....
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Quand même...11 matchs sans un but et là 5 buts en trois matchs :noidea: ?