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Sujet Derniers films vus

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Sujet de la discussion Derniers films vus
Pour ma part ce w-e, c'est 'les invasions barbares' (d. arcand) et 'goodbye lenin!' (w. becker)

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?

Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
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17911
Lemming avec Charlotte Gainsbourg, Charlotte Rampling, André Dussolier et Machin.
Par le réalisateur de "Harry, un ami qui vous veut du bien".
Un couple qui s'aime et se porte bien découvre que l'évier est bouché à cause d'un lemming. A partir de la, la vie des deux protagonistes va tomber dans le cauchemard suréaliste.
Y'a pas tellement de violence, très peu de sang, mais c'est le genre de film qui perturbe. A voir.
Perso, j'ai mal dormi après.
17912
Je plussois, lemming. Au début j'ai eu un mauvais a priori de par les acteurs(trices) mais en définitive bon.

Citation : A voir.


Oui
17913
Paris, Texas : :aime2:
Et cette photo, c'est dinguos :aime2:
17914
365 jours in Clichy montfermeil - production Kourtrajmé toukos

sympa, un autre regard quoi...

en tout cas y'a de bonnes images qu'on voit jamais au JT...
17915

Citation : Quant à Di Caprio, je ne sens pas de réelle implication de sa part dans les personnages qu'il incarne. Il m'apparait comme un dilettante doué, mais qui se contente du minimum syndical.


Je comprends qu'on soit parfois moyennement convaincu du talent de Di Caprio. Effectivement, son physique de minet ado attardé le dessert probablement. S'il avait une gueule au lieu d'une bouille, on n'aurait probablement pas cette impression.

Citation : Di Caprio le faisait plutôt bien dans Catch me if you can. Genre de rôle qui lui correspond bien.


+1
Personnellement, j'ai été définitivement convaincu avec ce film. Il y est énorme. Une palette de jeux et d'expressions impressionnante. Le tout avec une sacré justesse et subtilité.

Hier soir, je me suis maté Un condamné à mort c'est échappé de Rober Bresson.
Une merveille old school (1956)

Ma douce, elle, s'est endormie (comme quasiment à chaque film qu'elle mate la tête sur mon épaule :mrg: ), mais a déclaré que cette fois ci que c'était parce qu'elle s'était ennuyée.

Je comprends un peu. L'action est pas violente. Ça raconte la tentative d'évasion (véridique) d'un lieutenant français condamné à mort sous l'occupation en 43. On suit simplement tous ses préparatifs. C'est à priori long et pas exitant. Pourtant, l'atmosphère de la prison (très sobre), la solitude, les micro évènements qui amènent espoir ou désespoir sont super bien rendus. Le besoin vital de communiquer, de fraterniser avec les autres prisonniers en volant des moments de paroles (interdites) dans les escaliers ou à la toilette, ou à travers les bareaux des fenêtres et la méfiance, la crainte de mouchards. Et le mélange de détermination et d'hésitations et tergiversations du personnage.

>>>>>>> La fabrique du crétin digital ? <<<<<<<<<

======== Peut-on planer sous terre ? =========

===== des drones et des leds pas vilaines ======

17916
Le petit lieutenant

Avec Nathalie Baye, très bon film sur les flics, presque un documentaire.

Pas de complaisance, pas de parti pris, bon rythme, bonne réalisation, pas de sauce exagérée. A voir.

Les particules élémentaires

Basé sur un bouquin de Houellebecq, j'ai bien perdu mon temps, sans interet, plat, téléphoné, acteurs transparents. A éviter.
17917
Je vines de voir LE PARFUM.
Bon visuellement c'est la grosse claque. Des décors somptueux, des ambiances et lieu nauséabonds excellement bien fichues, des costars et des gueules au poil, une chouette photo, un nombre de figurants époustouflants etc...
Mais en dehors de ça (c'est déjà pas mal faut dire), il ne reste qu'une histoire sans queue ni tête.
Je n'ai pas fini le bouquin (me suis un peu fait chier) mais de ce que j'avais lu, y'avait une vraie prouesse littéraire sur la manière d eparler des odeurs. Là, rien du tout. C'est pas des plans saccadés stroboscope (comme au début) façon thriller moderne qui arrivent à retranscrire la moindre odeur. En même temps, comment peut on arriver à faire en image ce q'un écrivain fait avec les mots, j'ai bien conscience que c'ets pas facile, mais bon, là c'ets vraiment raté. Enfin, c'ets surtout très cliché quoi.
Et puis la trame, façon film de sérial killer US... On croirait un Seven bis parfois.
La palme du portnawak est evidemment la scène de partouze finale. Notez d'ailleurs que sous des faux airs de provocs, cette scène est très conventionnelle : il n'y a aucun rapport homo entre hommes, alors que ça se gouinne à tous les étages. Un peu de cul, entre vieux et jeunes, entre hommes et femmes, entre femmes, mais entre hommes rien ! Sans parler de l'abscence d'enfants dans cette scène. Provoc complètement convenues finalement. Toute cette fin faussement onirique est complètement pitoyable.
Et ça dure 2h20 de surcroit !

Alors soit y'a un message que j'ai pas saisi (à part l'eternel et rabaché complexe d'oeudipe/syndrome peter pan, capturer la parfum des femmes pour retrouver une mère et l'enfance qu'il n'a pas eu) soit c'est vraiment un délire sans queue ni tête.
17918

Citation : Mais en dehors de ça (c'est déjà pas mal faut dire), il ne reste qu'une histoire sans queue ni tête.



meme en dvd je veux pas le voir ...le roman de suskind n'est pas adaptable au cinema
myspace sounclick
17919

Citation : La palme du portnawak est evidemment la scène de partouze finale. Notez d'ailleurs que sous des faux airs de provocs, cette scène est très conventionnelle : il n'y a aucun rapport homo entre hommes, alors que ça se gouinne à tous les étages. Un peu de cul, entre vieux et jeunes, entre hommes et femmes, entre femmes, mais entre hommes rien ! Sans parler de l'abscence d'enfants dans cette scène. Provoc complètement convenues finalement. Toute cette fin faussement onirique est complètement pitoyable.



C'est d'autant plus extraordinaire que cette scène n'est pas dans le livre !! :8O:
"C'est blazman legacy ici" (Apocryphe) / Live music / Soundcloud
17920
Si, si, ele est dans le livre, les deux dernieres pages.


sinon, pareil que sol, j'ai zappé la première patie en fait ( une première partie de 2 heures 10 ) pour voir comment ils ont fait la scène finale, et c'est effectivement du grand guignol, faut dire cependant que c'etait un peu la scène où ils devaient se casser la gueule, et ça n'a pas raté.

suskind a dû mettre des années à transcrire sur papier les emotions olfactives, à partir de là c'etait un peu impossible de faire ressortir ça sur écran géant destiné au grand public,

c'etai bien tenté : les images sont vraiment belles