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Café de l'ovalie

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Sujet de la discussion Café de l'ovalie
Alors, est-ce que vous allez suivre la coupe du Monde de Rugeuby ?


Lebenn

 

 

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331
+1

y'a 20 ans , ayé je replonge, bon, y'a 20 ans c'était souvent et partout en France

le probleme, c'est qu'ils essaient de nous vendre le rugby comme le 2ème sport co français

bah non, c'est pas avec des bastons, oui, des bastons, que les gens vont venir..

en plus les commentaires de canal sont limites limites, contrairement à ce que dit Eric Bayle

y'a des rires, on parle de bourre pif, bah on a pas les meme yeux, moi je vois des bastons méchantes, oui, méchantes sans aucun rapport avec les branlées qu'on se mettait sur les terrains y'a 25 ans

chais pas si vous vous souvenez mais ça m'avais marqué , y'a bien 20 ans sur la 2, Pierrot Albaladejo dans stade 2, qui à l'époque était une émission de sport, avait gueulé solennellement sur les actes d'anti jeux et spécialement les coups de pieds à terre

bah ce que je vois :c'est que cette année , ça dégage de partout!!

le stress?
la pression des présidents?
les nouveaux status de starlettes (t'ain, quand est ce qu'on va les faire tapiner sur les boulevards les tapettes du stade français !!)

bref, le rugby pro me dit rien de rien comme il est parti...



c'était mieux avant.


go CAB, go
332
Carrément d'accord avec toi sauf que y'a 20 ans j'ai seulement connu dans les livres ou les reportages, mais bon la "grande" époque de Lourdes ou de Béziers c'était pas tendre non plus, mais je pense que c'est pas pour les mêmes raisons.
les mecs de la vidéo, on dirait qu'ils ont pris de la coke
Ils vont complètement décapsuler, à mon avis il va y avoir des ravages parmi les rugbymen modernes, le "statut de starlette" ça leur va pas, ils tuent notre sport à faire ça.
Grâce à des gens comme Guazzini, le rugby et les rugbymen et surtout leur image ça devient un produit de grande consommation comme la merdasse d'universal qu'il passe sur NRJ...
J'ai malheureusement pas trop connu mais je pense aussi que c'était mieux avant (quand j'étais gamin et que Nîmes était en groupe A)

 

 

333
Rien à ajouter...
334
On s'en fout on ira voir les matches de promotion d'honneur :bravo2:
là où ils font encore la bringue après
bon on verra moins de chistéra ou de passes sur un pas mais c'est pas si important...

 

 

335


lebenn avec le béret à cardiff :lol:

 

 

336
INCROYABLE

j'avais pas vu sur Canal en direct, je viens de le voir sur ta vidéo


y'a des spectateurs qui filent de coups aux joueurs, tete baissée bien sur le joueur, les coups sur le crane quoi, incroyable..

t'ain pas de sanctions pour çà!!!

quand au 10 bergalien, c'est pas d'la coke qu'ilprend, c'est du crack..

tout n'est que du n'importe quoi

c'est tout simplement méchant

innadmissible dans le rugby

viril, agressif oui, mais correct


merci pour ta vidéo

je reve.
337
J'ai pas suivi mais je pense qu'il va y avoir pas mal de sanctions
en tout cas le mec qui déclenche sur le joueur qui refait son lacet lui j'aimerais qu'il prenne cher de chez cher

 

 

338
http://www.wanadoo.fr/bin/frame.cgi?service=thematique&u=http://sports.wanadoo.fr

quelques éclaircissements...

je suis partagé entre le dégout du geste de laffogue d'une violence rare quand même et le dégout encore plus grand des journaleux qui ont jamais mis de crampons et qui donnent des leçons à tour de bras...

ils font les vierges effarouchées et parlent de suite de la crédibilité du sport qui a une super exposition médiatique etc etc on en revient tjs au même probleme...

 

 

339
Pas d'accord pour le coup avec toi

une fois pour toute: c'est inadmissible

on est pas en régionale là, mais en pro et à la télé

quel exemple pour les jeunes et leurs parents


pourtant crois moi que j'ai aimé et pratiqué vraiment la baston, je m'y suis meme perdu à une époque, mais là,c'est au delà

c'est général
les spectateurs itou

on n'est pas dans une tribune de hools mais sur un terrain de sport!!!

rien à voir avec les antagonismes de clochers pissque y'a plus de joueurs locaux!

nul







Je trouve que c'est quand même beaucoup de bruit pour pas grand-chose. Cela peut être choquant de l'extérieur, mais il y a eu 30 secondes de bagarre générale et pas de coup dur. C'est un peu gros de faire toutes ces histoires pour ça." Luc Lafforgue, le trois-quarts centre et capitaine du SU Agen, à l'origine de la bagarre générale déclenchée samedi, sur la pelouse de Pierre-Rajon, au moment où l'arbitre M. Maciello, renvoyait Berjalliens et Agenais au vestiaire, a-t-il seulement pris conscience de la portée de ses actes? A lire les déclarations du Lot-et-Garonnais, qui consent tout de même à qualifier son geste "d'inexcusable" dans les colonnes du quotidien Sud-Ouest, on est en droit d'en douter...

Samedi, à Bourgoin, Pierre-Rajon, la citadelle imprenable de l'Isère, invincible depuis 41 matches, a ajouté à sa brillante réputation un aspect nettement moins glorieux. Car si Luc Lafforgue, même s'il s'en défend en affirmant avoir été provoqué par le berjallien Mickaël Forrest, a bel et bien mis le feu aux poudres à la pause en assénant deux coups de poing au demi de mêlée isérois qui avait alors un genou à terre – les images de Canal+ le confirment -, la scène vue samedi à Bourgoin, jusque dans l'implication de certains pseudo-supporters berjalliens, fait froid dans le dos. La vision de Conrad Stoltz bloqué contre la main courante et roué de coups par une partie du public isérois avait ainsi quelque chose de surréaliste.

Lafforgue: "Des rugbymen, pas des danseuses"

De tels débordements, d'une telle intensité dans la violence, le rugby français croyait pourtant ne plus y être confrontés. Si il y a trois semaines, à Aguiléra, les deux bagarres générales entre Biarrots et Parisiens avaient déjà éveillé les esprits, les «marmites» échangées «dans l'esprit», diront certains, et la maîtrise du corps arbitral – Marchois et Harinordoquy avaient tous deux écopés de deux cartons rouges – avaient circonscrit cet embrasement. Samedi, à Bourgoin, les coups de pied et les coups de poing, les sauts à pied joints sur joueurs à terre, les charges genou en avant avaient de sérieux relents du tristement célèbre 8e de finale de muerte qui avait opposé Toulon à Bègles en 1991.

"Quand on t'agresse dans ton intégrité physique, il est difficile de se contenir, poursuit Lafforgue dans Sud-Ouest. C'est idiot, je sais, mais je ne pense pas être le seul non plus. En même temps on est des rugbymen, pas des danseuses. Cela fait hélas aussi partie du jeu, même si ça n'offre pas un spectacle agréable au public. Mais ça ne choque aucun joueur de rugby." Fabien Peloux, capitaine du Stade Toulousain et du XV de France, expliquait la semaine dernière à l'aulne des incidents d'Aguiléra et avant l'affaire de Pierre-Rajon que réduire le rugby à ces seuls coups de sang serait navrant.

Sans doute, le rugby n'est pas que ça mais à l'heure de prendre un virage aussi important, alors qu'il bénéficie d'une exposition médiatique sans précédent, qu'il s'apprête à rassembler au Stade de France la plus grosse affluence jamais réunie par un championnat de France, tout sport confondu (80 000 personnes pour le match des 3 Stades samedi), une telle répétition de dérapages constitue une menace sérieuse qu'il serait suicidaire de prendre à la légère.
En des temps pas si lointains, Pierre Berbizier, confronté à ce mal endémique qui finissait par mettre en danger jusqu'à l'équipe de rance, avait pris le taureau par les cornes et avait éradiqué ces accès de violence, en faisant un devoir premier de l'international tricolore.

Un devoir d'exemplarité

Julien Bonnaire pourrait payer cher ses débordements. Sa participation à la tournée des Bleus est en jeu. Samedi, à Pierre-Rajon, devant son public, Julien Bonnaire, capitaine du CSBJ et grand espoir de l'équipe de France, en voulant se faire justice lui-même après l'agression de Lafforgue sur Forrest, en a oublié son statut de joueur international. Un oubli qui risque de lui coûter cher avec, au-delà du carton rouge reçu en compagnie de Lafforgue, un éventail de sanctions allant du sursis à la radiation. Sous la menace pour les test-matches de l'automne, le troisième ligne pourrait bien servir d'exemple et ne pas bénéficier cette fois de la clémence de la commission de discipline qui n'avait infligé à Harinordoquy et Marchois que dix jours de suspension.

Une éventualité que craint déjà Luc Lafforgue: "A priori, vu la tempête actuelle, j'ai bien peur de «charger», tout comme Julien Bonnaire. Ce sera à la commission de discipline de juger. Quand je vois que les Biarrots et les Parisiens n'ont pris que 10 jours, je ne vois pas pourquoi j'en aurais beaucoup plus." A Serge Blanco et à la Ligue de prendre leurs responsabilités: la crédibilité du Top 14 est en jeu.
340
Oué remarque j'aime tellement pas les journalistes sportifs en général que je me suis ptet un peu enflammé...
c'est vrai que les gestes craignent carrément