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Sujet Vos rèves chelous

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Sujet de la discussion Vos rèves chelous
Postez ici vos rèves vraiment bizarres.

Citation : Ptain j'ai revé de sarkozy cette nuit. Il faisait le l'aerobic en pleine rue

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641
J'étais un peu malade, je ne sais absolument pas pourquoi, mais je vais quand meme chez le docteur. Son cabinet ressemble plus a un salon de coiffure, mais avec une déco absolument 60's de toute beauté: les murs blancs, le mobilier blanc épurés assorti et deisgn 60's bien sur.
Le doc' est un vieux chinois qui pour me soigner me tend un livre illustré: il est composé de quatres chapitres et je dois en lire les deux premiers. Chaque chapitre est composé d'illustrations sur des themes differents. Je ne me rapelle malheureusement plus des themes ,sauf de celui du troisieme chapitre, que j'ai fauilleté en douce meme si'j'avais pas le droit: c'était sur le theme de la foret, ou l'on voyait une espece de grande carte qui se completait de pages en pages (environ une centaine), au dessin tres épuré, genre la carte du seigneur des anneaux version 60's japonaise. Les paysages decris étaient fantastiquement beau. Le medecin vient s'assurer que j'ai bein lu les chapitres et me pose des questions, notement sur une grenouille (??).
Viens l'heure de payer, 28 euros et quelques, et me propose si je veux payer dans la caisse noire. Ma grand mere m'apparait alors pour me dire que c'est cool de payer dans la caise noire. J'accepte et le medecin qui se transforme progressivement en bombe sexuelle me dit que grace à cela je pourrais venir travaillre et etres rémunéré quand je voudrai durant les vacances. Tres bien, je cherche la caisse noire. Cette caisse noire est en fait l'un des tres nombreux et petits aquariums qui se trouvent pres de la caisse. Je glisse les billets dans un de ces aquarium en m'interogeant sur la capacité du papier billet à resister à l'eau.
Puis je pars. En remontant les marches de mon immeuble, je me dis que j'aurais du dire au docteur que mes parents étaient de la mafia pour eviter toute entourloupe avec sa caisse noire.

642
Il y a, dans ce rêve, une part de confiance progressivement construite, à l'idée d'être enfin dans l'âge et le monde adulte.
Ici, on trouve encore les interdits d'enfance (les chapitres qu'il ne faut pas lire) ainsi que la profanation de cet interdit par l'enfant en éveil qui veut s'affirmer devant ses parents. JR plonge malgré tout dans ce 3e chapitre. S'il avait également exploré le 4e, cela reviendrait à dire qu'il veut brûler les étapes (être déjà marié, installé, dans une vie monotone et toute tracée), or il n'en est rien : il désire simplement avancer d'une façon symbolique mais conséquente par rapport au monde qui l'entoure (et qui lui est donné : et limité symboliquement par ces deux premiers chapitres).
Ce monde adulte qui l'appelle semble être à la fois un monde merveilleux, donc aux limites du réels (la beauté de la forêt nous dit-il, à la fois un monde tout à fait conscient de ses difficultés, et dans lequel rien n'est prédestiné ou tracé d'avance (les pages qui se forment peu à peu). La symbolique du "il faut se sortir les doigts du c.. pour être un homme" y est présente par cette succession progressive de cartes (de repaires dans la vie réelle), et doit certainement illustrer par ce rêve, une réflexion tout fraiche d'un parents ou d'une amie après une bonne critique de son manque de maturité (peut-être).

Mais les "adultes" le prennent encore pour un enfant, perdu dans les contes infantiles, on lui pose des questions idiotes dont il n'est pas digne (les grenouilles, belle métaphores du prince charmant en gestation, et qui n'attends que la fée pour être métamorphosé).

Il a encore un pied dans le monde parental (la grand-mère : maternité par excellence, dénuée de vie sexuelle, alors que l'on pourrait avoir les bruits des parents en pleine copulation au hasard d'une porte mal fermée) mais désire vivre l'adulte (il paie lui-même sa consultation) et pourquoi pas, avoir des échanges avec la féminité et le désir conjugué, de la façon la plus brute qui soit (la transformation en bombe sexuelle). La bombe sexuelle n'est plus seulement un fantasme, mais un personnage réel, qui a une fonction sociale également (médecin). Donc les fantasmes peuvent désormais se trouver dans notre vie réelle.
De même que sa vie réelle passe par un échange avec les personnes de l'autre sexe, il faut également "mériter" son statut d'homme par le fait de payer avec de l'argent réel. Pas fictif, qui parte en lambeau dans l'eau de l'aquarium, mais qui résiste aux éléments.
Toutefois, la protectin familiale est encore là, présente, intrinsèque, car dans le doute, il se dit toutefois qu'il aura certainement besoin de cette famille comme un symbole d'assurance (l'appartenance à une mafia imaginaire).

Il veut donc devenir autonome, indépendant, socialement intégré, mais a encore des liens parentaux qu'il désire fois quitter symboliquement, en sachant toutefois que ces liens le protègent encore de la vie réelle.

La vie, c'est comme un train de montagne

643

Flute c'est quoi le reve encore plus bizarrre que j'ai fait cette nuit...
J'aurais eu droit à une autre analyse hasardeuse.

644
Elektromove > T'es de Poitiers ?
645
L'autre jour... D'un coup je sens que ça me gratte dans l'oreille. Du coup je mets mon doigt dans l'oreille et la je ressort un ver, genre ver blanc assez fin de 3 ou 4 cm de long. Je me dis "Ah bah voilà, ça va aller mieux maintenant". Et puis juste après ca recommence à me gratter, mais cette fois dans l'autre oreille. Je repars à la rechercher d'un autre ver, mais cette fois-ci j'extrais plusieurs vers d'un coup, emmêlés un peu comme des spaghettis. Là c'est la panique, je prend conscience que les vers vont sûrement commencer à me manger l'intérieur de la tête.

Jul

646
T'es pote avec shirow?
647
Nan je devrais ? Il joue dans la même catégorie de rêve ?

Jul

648
On pourrait croire ici que la nature même de l'individu (il s'en sort avec uniquement les moyens que la nature lui a donnés : ses doigts) essaie de prendre le dessus sur quelque chose de dégoûtant perdu dans les abîmes de sa psyché.
Quelque chose qui l'obsède, mais inconsciemment, quelque chose dont il a honte, mais ne sait pas pourquoi. Ce quelque chose, souvenir peu glorieux, semble être partout dans son esprit : un coup à droite, d'autres ensuite à gauche...il ne sait plus où gratter de la tête.

On ne sait pas ce que tu as fait de mal.
Toi non plus.
Mais tu t'en veux!

La vie, c'est comme un train de montagne

649
Jujupauty > Nan, Shirow il élève des vers :oops2:
650
Il est poête ?

La vie, c'est comme un train de montagne