Vos rèves chelous
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Anonyme

Citation : Ptain j'ai revé de sarkozy cette nuit. Il faisait le l'aerobic en pleine rue

Kalawax

Comme j'avais un mal de crâne bien hard, j'étais à moitié éveillé (enfin tout le monde doit connaitre cet état) et là dans le scénario des geeks me pirataient le cerveau ce qui fait que j'avais des images de gros patés tout moche, ma couverture jouait le rôle d'une montagne bugguée.
A la fin comme je prenais de + en + de pouvoir dans ma conscience mais toujours tout embué, je coursais les geekos et les jetais dans un ravin (de mon lit).
J'en ai encore mal aux dents !

Anonyme


J'ai Brigitte Lahaie en ligne, elle pense que tu serais toi-même un geek refoulé.

Kalawax




Anonyme


" Viens chez moi, j'vais battre un boss aujourd'hui, tu verras pas ça 2 fois dans ta vie "

Kalawax


Dis comme ça c'est clair que ça fait plutôt cet effet
Pour effacer mon looserisme voilà un autre rêve qui date de la toussaint:
J'étais sous un chapiteau en plastique bleu (truc de petit festival quoi) et disputait un tournois de catch underground mais y avait un gros mec qui me coursait donc je me cachais sous le ring rectangulaire.
Quand je suis remonté le décors avait changé et là se pointe Easy-E qui était là réssucité, baraque avec une grosse voix et craint de tous.
Et ensuite je me transforme en l'ancient Easy E, je me revois en train de sauter très très haut au dessus des autres catcheurs pour venir m'accrocher au cou du nouveau easy E.
Et juste avant que je me réveille j'avais une dizaine de nain qui essayaient de me chopper et je les balançait en partout en leur faisant la moral "c'est en combattant à corps perdu que vous progresserez"
J'ai occulté des passages à références privées.

dj.Anonym67




Anonyme


Anonyme


Heldon jazzyTron

La vie, c'est comme un train de montagne

Anonyme



Clowny


Pas de gros changement, la page d'accueil reste à peu près la même, elle est juste un peu moins chargé. Il n'y avait plus le petit module en haut à droite (celui avec la recherche, le nombre de connecté, toussa...), juste un petit logo "V6" au dessus de l'onglet d'aide.
J'était content.


tihouss

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

dj.Anonym67

Citation : ça lui a plu au final?


Et la je me suis réveillé un peu en sueur, et ma petite doudoune était la a ronfler à mes côtés


Anonyme

J'etais avec ma cherie et des potes dans un escalier à colimaçon, dans une file d'attente. Et puis on grimpait, on grimpait, je ne sais pas trop où. Arrivés en haut, deux entrées de tobaggans avec de la flotte, genre Aqualand pour ceux qui connaissent. Le truc, c'est qu'en fait tous le monde etait en tenue, et ils sautent tous dans les tunels. Moi j'etais en jean/ grosse godasses...pas cool...pas moyen de faire demi tour, tout le monde qui gueule...fait chier, je prends un tapi, et je me lance.
Là ça fait deux trois virages assez rapides, et tout d'un coup je me retrouve à glisser à la vitesse d'un grand père unijambiste dans les rues de Louvain La Neuve...pourquoi Louvain La Neuve???????
C'est vraiment très lent, sur ma droite il y a les gens dans la file d'attente qui se foutent un peu de ma gueule...je leur fait comprendre qu'a cette vitesse je peux aussi me relever de mon tapis à la con, et leur claquer le beignet...mais je peux pas me relever, je sais pas pourquoi, alors je grogne, mais les gens se foutent de ma gueule de plus belle... Derriere moi arrive deux gamins qui me doublent en me foutant de la flotte plein la tronche et en se marrant. Et puis moi je glisse, toujours, lentement, comme un con...
Je me suis reveillé comme ça


Pictocube

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

Anonyme



dj.Anonym67


BlackMindWhite

Citation : vous pensez que les rêves nous parlent ?
surement mais l'imterpretation est coton
ou trés simple mais ça marche pas toujours

za-goAt

Citation : J'ai rêvé de la V6 d'AF...

çà devient vraiment malsaint ce thread !
La musique adoucit les meurtres...

Anonyme



Pere Founasse


J'ai eu tellement peur par la suite, que j'ai dormi la lumière allumée, accroché à Nounours, la peluche de mon enfance.
Provocateur d'extrême droite

Pictocube

Après la récréation nous allons au dortoir où les couverture s'imprime du motif de notre choix, la mienne et couverte de ski et dessous il y a deux filles blondes à qui je fait l'amour avant d'éjaculer sur leur visage. Le lendemain nous sommes en pleine mer sur un petit bateau et nous tentons de sauver des grenouilles de la noyade, ensuite nous montons sur le bord d'une île pour arriver à une espèce de maison de hobbit habitée par mon pote Nicolas avec sa femme et ses deux enfants (il n'en a qu'un dans la vie) et nous buvons du pastis pendant que l'eau descend et que la terre s'agrandit et de nouveau 2 femmes arrivent pour me courtiser mais cette fois ce sont des amies (de la vrai vie) et on fait plein de truc avant que la femme de mon pote nous tue tous avec une espèce de Taser géant.

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

Anonyme



dj.Anonym67



Anonyme



Je pars, et me retrouve chez moi, devant mon courrier. Je sais qu'il n'y en avait pas en partant, mais il y en a des tonnes qui m'attendent, dont des disquettes d'ordinateur. Je me demande si c'est vraiment pour moi, quand le type qui habite en bas de l'immeuble vient me parler
"Vous avez vu...
- Oui... C'est affligeant
- Mais de toute maniere, personne ne tombera d'accord sur la liste des 23
- Ben moi, je la trouve plutot pas mal. Elissalde n'a rien à faire là, et Parra est quand meme vachement doué pour son age
- Je suis d'accord, mais s'il y a bien un demi de mélée performant, c'est celui du Portugal...
- Ah bon?
- Ah oui, je l'ai vu faire une premiere mi temps incoryable contre les blacks, à la coupe du monde
- Je vais vous laisser"
Sur ce, j'emprunte l'escalier habituel, et lui en prend un autre, que je n'avais jamais vu, et où un des ses amis l'attendait. Je les voit rire en me regardant, et on se retrouve au premier étage... Manifestement, un des escalier ne sert à rien, et j'ai pris le plus long. C'est d'ailleurs pour ça qu'ils se foutent de moi.
Je monte donc au second, les joues rouges de honte, et, arrivé sur le palier, là ou n'aurait dû se trouver qu'une porte s'en trouvent 2. Elles sont ouvertes, et je vois un pote lointain couché sur un matelas, qui me dit "non ! rentre pas !"
Enervé, je rentre tout de meme, et voit 4 ou 5 matelas cote à cote, avec 2 amis et 5 ou 6 filles... On entend un couple baiser dans la chambre à coté, celle qui avait la porte ouverte sur l'exterieur.
Je demande ce que c'est que ce bordel, et me tracte à la force des bras sur la mezzanine, voir si quelqu'un y est. Je me laisse chuter, me disant qu'il n'y a personne, et finalement recommence, en doutant. Il y a une forme sous une couverture, que je commence à tirer. Un de mes amis essaie de m'en empecher, en me tirant par le pied. Je rechute, mais avec la certitude que mon plus vieux pote est sous la couverture, sans l'avoir vu pour autant.
Je me bat avec celui qui me tirait par le pied, criant qu'ils allaient tous partir d'ici.
Il appelle mon vieux pote, mais je l'étrangle. Ils ne peuvent rien faire, il tape par terre, en disant qu'il avait perdu, et je le lache. Il apparait sur le sol comme un jeu à gratter géant que j'aurais gagné, en battant mon ami. Je n'y fais pas attention, comme je ne fais plus non plus attention aux 3 copains qui squattent mon appart.
Je décide de foutre les filles dehors. La premiere est en blanc. Je ne sais plus comment, mais je la vexe, l'énerve, me moque d'elle, et elle part en courant.
Sa copine, en noir, tres jolie, me traite de sale con, et va pour s'en aller, mais je la retiens, m'accrochant à sa taille (mais restant debout), jusqu'en bas de l'immeuble. Finalement, je la lache, essaye de la raisonner (je ne sais pas pourquoi, puisque je voulais les foutre dehors), et la suit dans Montpellier, qui ressemble vachement à l'idée que je me fais des champs Elysée la nuit.
Finalement, je la reprend par la taille (de dos), et on s'assied sur le trottoir.
On discute, et il s'avere que c'est Sophie Marceau, mais qui ressemble à une amie.
Elle se calme, et on décide de repartir, chacun de son coté, mais en faisant un bout de chemin ensemble (

Je me dis que je suis en train de rever, et que de toute maniere, je me réveille quand je veux, mais je veux en acquerir la certitude avant de faire une connerie.
Je lui dis tout ça, et ajoute
"Tu sais que tu ressembles vachement à X?
- Ah bon?
- ... Tu ne la connais pas..."
Et là, je suis certain d'etre en train de rever. Soulagé, je décide de rentrer chez moi, pour voir comment ça va finir, mais ne retrouve pas le chemin.
J'arrive devant un endroit que j'ai l'impression d'avoir déja vu dans un autre reve. Des jeunes des cités sont en train de jouer à quelque chose, avec des pierres rondes, blanches ou noires. Je les ignore, et prend une rue. En me rendant compte que la rue donne sur une autre rue, 20m en contre bas, je me dis que j'ai déja fait cette erreur, et qu'on ne m'y reprendra pas.
Alors je rebrousse chemin, et glisse façon snowboard sur les pierres qui leur servent à jouer.
Un d'entre eux n'a pas l'air content du tout, et me jete une pierre dans le cou. Ils me coursent, et je pars en courant.
Là, la vue devient mi-omnisciente. Je suis le type qui court, mais je m'observe, en tant que spectateur. C'est le passage d'un personnage à un autre.
Donc, je cours toujours, et me retrouve hors de la ville, dans un endroit un peu sauvage, où une petite étendue de terre, en cercle est occupée par des hommes tres poilus (des chewbaka, à l'allure humaine), qui jouent au meme jeu des caillous. Ils me/le coursent aussi.
Là, j'occupe un peu plus le personage qui court, me sens plus concerné, mais en meme temps, je sais que ce n'est pas moi. Sensation étrange, s'il en est.
Je prend donc un petit sentier de terre, un peu boueux, façon Lozere profonde un jour de pluie, et tombe sur 2 mecs qui boivent à un robinet en ciment. L'un d'entre eux m'est inconnu, l'autre est moi. Je me retrouve donc à avoir des idées, et à parler à travers le moi qui boit, et à courir dans le corps du "lui" que j'occupe.
Je m'explique toute l'histoire, et en retour, je parle avec l'autre corps (le moi qui buvait), m'expliquant qu'en courant sur leur jeu des pierres, une regle disait qu'ils devaient me jeter un caillou dans la tronche.
Je proteste...
NB : "Je" sera le corps que j'occupe, "Moi" sera celui qui buvait au robinet en ciment
Je proteste, disant qu'ils m'avaient touché au cou, donc qu'ils avaient perdu !
Moi répond que c'est vrai, mais qu'ils m'avaient coursé parce qu'ils ne voulaient pas perdre, et qu'ils avaient eu peur des Poilus.
Comme j'avais cassé aussi le jeu des Poilus, maintenant, c'est eux qui me coursaient, mais eux sont dangereux.
Cette explication prit quelques minutes, et l'avance que j'avais sur les Chewbaka humains n'avait pas été perdue. Ils devaient etre tres fair-play, mais avaient envie de me tuer.
Nous nous mettons donc tout les 3 à courir (le 3e ne servant à rien). Là, nous arrivons en haut d'une butte, voyant une cloture et des maisons. L'organisation a l'air assez "vieux village perdu", mais c'est Montpellier, je le sais.
Je visualise le plan, me disant qu'en allant tout droit, puis en bifurquant vite à gauche les poilus ne nous verraient plus, et qu'en répétant l'opération, nous les aurons semé.
Nous faisons ça.
Malheureusement, le 3e homme ouvre un gros robinet, et l'eau commence à monter.
Les trottoirs font de meme, alors nous montons dessus.
Nous entendons les Poilus crier derriere nous, et sautons de joie, pour la victoire.
Là, une pensée nous vient... Ils savent tres bien nager... Mais le 3e homme nous dit que le courant est contraire.
Pourtant, les Chewbaka nous rattrapent. Ils doivent nager hyper bien, avec un courant de cette force !
...
Bon Dieu qu'ils vont vite...
...
"Crétin ! Ils sont dans le sens du courant"
Nous nous remettons à courir, puis quand ils arrivent à notre hauteur, nous voyons qu'ils ne sont pas tous là. Certains ont dû prendre d'autres rues....
Entre ces étranges hommes, il y a des pots de fleurs en plastique géants (les noirs, tout pourris).
Nous continuons à courir, évitant tant bien que mal que les Poilus nous attrapent une jambe pour nous noyer quand nous arrivons au bord d'un précipice, l'eau faisant labyrinthe, et nous marchant sur ses murs, nous avons un éclair de lucidité, et nous disons que comme l'eau monte, et qu'elle arrivait au meme endroit, les hommes poilus allaient s'entasse, et tomber dans le précipice quand ca déborderait !
Le 3e homme a dû se dire que si l'eau débordait, elle nous entrainerait, alors il est allé casse l'angle dans lequel se retrouvaient tout les poilus, et ils sont tous tombés dans le précipice.
Là,je décide que j'en ai marre, que ce reve est vraiment parti en live, et je me suis reveillé.
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