Le Pub de l'écologie

Malgre la fin du monde en approche, qui va se bouger pour changer ?

Tu ne peux pas enlever à l'homme ce qui fait sa spécificité, sa soif de connaissances et la transmission cumulative de celles-ci qui font que par ses créations l'humanité progresse plus vite et autrement que par simple évolution darwinienne.

Tu ne peux pas non plus reprocher à l'homme sa position d'espèce dominante et l'influence de cette position sur l'environnement, elle n'est pas la première espèce dominante à contraindre le reste de la nature par sa position. Le règne des dinosaures par exemple laissait peu de place à la concurrence. Les premiers mammifères contemporains des dinosaures en étaient réduits à vivre sous terre et à ne sortir que la nuit. Un troupeau de diplodocus traversant ton jardin laisserait peu de chances à tes salades et ta pétoire à sangliers n'y pourrait pas grand-chose.

Même une terre où la totalité de l'environnement serait contrainte par et pour l'homme, s'il ne restait plus que des espèces animales et végétales domestiquées et plus un centiare de nature sauvage, ne serait pas une "faute" en soi.

La seule chose qui puisse être reproché à l'homme c'est les limites à son intelligence et à sa sagesse qui le conduisent à poser des actes opposés à la survie de l'espèce.

Les points de bascule climatiques - trop risqués de parier contre

La menace croissante de changements climatiques abrupts et irréversibles doit contraindre à une action politique et économique sur les émissions.

Les politiciens, les économistes et même certains naturalistes ont eu tendance à supposer que les points de bascule (1) du système terrestre - comme la perte de la forêt amazonienne ou de l'inlandsis de l'Antarctique occidental - sont peu probables et mal compris. Cependant, il est de plus en plus évident que ces événements pourraient être plus probables qu'on ne le pensait, avoir des impacts élevés et être interconnectés entre différents systèmes biophysiques, ce qui pourrait engager le monde dans des changements irréversibles à long terme.
Nous résumons ici les données probantes sur la menace de dépasser les points de bascule, identifions les lacunes dans les connaissances et suggérons des façons de les combler. Nous explorons les effets de changements d'une telle ampleur, la rapidité avec laquelle ils pourraient se produire et la question de savoir si nous avons encore un contrôle sur eux.
Selon nous, la prise en compte des points de bascule contribue à définir que nous sommes dans une situation d'urgence climatique et renforce les appels lancés cette année en faveur d'une action urgente pour le climat - des écoliers aux scientifiques, des villes et aux campagnes.

(...)

Les dinosaures ( avec leurs 150 millions d'années de "règne " ( quel terme débile! ) ) ont jamais mit en danger leurs populations entières ni celles des autres ordres contemporains, plantes ou animaux hein!?

TOUTE la différence même entre des qui sont dans les processus naturels et les trous du cul qui s'en croient séparés et supérieurs.

et en plus de façon consciente...

+1
Ca sera un sujet d'études passionnant pour les sociologues de demain (s'il y a un demain bien sûr)