Le Pub de l'écologie

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Hors sujet :

En hiver ouais, mais en été c'est entre 30 et 32°C la nuit, perso je peux pas, mais je suis pas fier de mon bilan carbone.

Citation de Jackbrelle :

Concernant Homo Industrialis, la différence est de nature: Il est bien foutu de se faire disparaître lui-même et des multitudes d'écosystèmes, ce con! Et il le fait en sachant qu'il le fait. C'est là où je trouve qu'il est responsable de l'écosystème, c'est tout!

Je ne crois pas qu'on puisse reprocher à l'espèce humaine d'avoir cherché à prospérer. Et ce n'est que depuis peu à l'échelle des temps humains qu'elle commence, pour une petite partie d'entre eux, à réaliser les risques de son comportement.

Personnellement je n'ai pas de regrets de ne pas avoir grandi à une époque et dans un lieu où j'aurais été une gosse apeuré et grelottant avec plus de 4 "chances" sur 5 de ne pas arriver à l'âge de 20 ans, mort de faim, de froid, de maladie, d'une morsure de serpent ou sous les dents d'un fauve. Le monde sauvage d’antan ne me fais pas du tout rêver.

Notre responsabilité c'est la survie de l'espèce, rien d'autre. L'écosystème du monde sauvage d'avant la prolifération humaine ne reviendra de toutes façons plus à l'identique, même si nos effectifs retombaient sous le milliard d'individu. Les quelques lambeaux de ce monde sauvage qui subsistent encore ne sont que des reliques. Les parcs naturels sont comme des réserves d'indiens. La nature d'autrefois ne renaîtra pas plus que les civilisations amérindiennes. Peut-être qu'un autre monde sauvage apparaîtra quand l'homme aura cessé sa domination ou aura disparu, mais ce ne sera plus le même. Et il n'y a pas de faute humaine à ça. La faute c'est si nous disparaissons par incapacité à modifier des comportements que nous savons consciemment nocifs à notre propre survie.

La faute c'est de se croire tellement supérieur et tellement séparé du tout.
Faute ou bêtise crasse, car l'évidence est là...
Mais faute: On ne pourra pas dire qu'on ne savait pas.
Et quelque part, quand on est "outillé", la bêtise est une faute.

On est tous pareil, ici en Europe du nord, tout le monde chauffe au moins à 19-20°... On est dans la merde: on est trop douillets! ( Sauf Picto j'imagine qui casse la glace pour de baigner et Tonton Ory qui est thermonucléaire vu qu'y bouffe des sangliers crus venu de la Hague! )
...
K même, allez! 30° la nuit, on a ça chez nous aussi maintenant hein!? Je dors tout nu sur ma terrasse et ça va je trouve.

allez! 30° la nuit, on a ça chez nous aussi maintenant hein!? Je dors tout nu sur ma terrasse et ça va je trouve.

https://www.bastamag.net/agriculture-bio-locale-filieres-courtes-emplois-de-la-transition-archipel-fruitier-Loos-en-Gohelle
Nouvelle donne verte à la française...

Citation :

Pourquoi le développement de la 5G inquiète les météorologues

Suite à la Conférence mondiale des radiocommunications qui s’est terminée ce vendredi 22 novembre en Égypte, une nouvelle réglementation en faveur de la 5G a été adoptée. Elle concerne l’émission à proximité de la bande de fréquence 24 GHz. Une décision qui inquiète les météorologues.

Afin de mesurer les variables atmosphériques depuis l’espace, les satellites météorologiques utilisent de nombreuses bandes spectrales. Parmi elles, les micro-ondes servent entre autres à déduire le contenu en eau des différentes couches d’air. Lesdites molécules émettant à une fréquence centrée à 23,8 gigahertz (GHz).

Le problème est qu’avec le déploiement de la 5G, la téléphonie mobile empiète sur les fréquences utilisées par ces satellites. En particulier en ce qui concerne la mesure de l’humidité. Le risque d’interférences devient donc de plus en plus important. En conséquence, la qualité des prévisions météorologiques peut être affectée. Or, cette course des entreprises de télécommunications vers des fréquences radio plus élevées est nécessaire si elles veulent proposer des débits toujours plus rapides.

https://sciencepost.fr/pourquoi-le-developpement-de-la-5g-inquiete-les-meteorologues/

Au prix ou ils les vendent ils peuvent cotiser au GNIS et être dans la légalité...

C'est simplement le fait de clamer que les semences paysannes n'ont pas le droit d'être commercialisé ce qui est totalement faux, il suffit d'être en règle, je suis horticulteur, j'achète mes semences dans une petite boîte de l'Hérault qui a toute sorte de semences anciennes parfaitement en règle avec le gnis.

Ce n'est pas du dénigrement, c'est simplement ils font genre on est en guerre contre le système, nous n'avons pas le droit de vendre les semences paysannes... Si tu as le droit, simplement il faut cotiser aux organismes légaux ! C'est comme ceux qui râlent pour leurs petites retraites et qui ont bossé au noir la moitié du temps...

Le GNIS est un organisme de recensement statistiques et de contrôle phytosanitaires (des maladies, virus peuvent se propager par les graines et infecter des régions indemnes) d'état, comme dans beaucoup d'autres professions. Rien n'empêche les échanges gratuits entre particuliers mais si il y a business on "taxe " pour financer l'organisme de contrôle, rien de plus normal.

Kokopelli, la boite qui couine et qui se plaint depuis des années. Ouin ouin, on veut nous empêcher de vendre nos graines... Ouin Ouin... Mais pourtant ils les vendent toujours et personne ne les embête. Sacré pub qu'ils se font, une ou deux fois par an, relayée par les médias et tous ceux qui veulent bien les plaindre. Sans parler des conditions de travail. Quelqu'un a posté l'article au dessus. Ils ont attaqué leurs anciens employés mais bizarrement pas le Canard Enchainé qui a dénoncé l'affaire.

A la Réunion, on fait beaucoup d'échanges entre producteurs. Nous avons des semences anciennes, parfaitement adaptées aux conditions de l'île. En revanche, la certification bio exige une traçabilité que l'échange informel ne permet pas...

Il y a aussi Pascal Poot qui fait des semences depuis plus de trente ans, de manière totalement artisanale et bio, dans une optique de résilience... Ce monsieur a compris beaucoup de choses, ça vaut le coup de tester ses variétés très résistantes et qui ont besoin de très peu d'arrosage..

Urgence climatique, malaise chez les économistes

Recherche. Sur les 77 000 articles publiés depuis leur création par les neuf revues scientifiques les plus importantes en économie, seuls 57 portaient sur le changement climatique. Le Quarterly Journal of Economics, la revue la plus citée dans le champ de l'analyse économique, détenant le triste record de n'avoir jamais publié un seul article sur le sujet.

Voici le résultat d'une étude de deux économistes reprise par le professeur Michel Damian sur le site The Conversation. «Le changement climatique a été initialement perçu et conceptualisé comme une « externalité », un problème d'environnement classique à peu près comme les autres, donc « gérable » ; pas comme un problème structurel de modes de produire, de consommer et de styles de développement. Immense erreur de perspective», écrit-il.

Le point de vue de la communauté des économistes sur le changement climatique semble avoir évolué ces dernières années mais personne ne semble avoir trouvé comment «concilier urgence climatique (et donc réduction drastique des émissions) et croissance forte».

T'inquiète la Tour est grande, y a 96% de l'humanité qui s'est volontairement enfermée avec eux.