Sujet Facho, anti-système, autre, avez-vous un avis dieudonné?

Picto>> oui oui, bien sûr... Je suis un gros naze méprisant quand j'argumente en OSANT ne pas être sur la même ligne que toi, alors que toi par contre tu n'es pas méprisant du tout, non, jamais, et tu ne te prends pas non plus pour le centre du monde. Genre t'es pas du genre à te défouler sur ceux qui sont pas de ton avis, la preuve.

Mais sinon, tu es un modèle de tolérance et d'amour de ton prochain... Ou alors, va savoir, t'es peut-être juste un bon gros faux-cul qui se drape dans sa petite suffisance et qui n'a toujours pas compris (ou pas voulu admettre) que "je suis tellement tolérant et ouvert que je méprise ceux qui ne le sont pas autant que MOI selon MES critères" n'est pas une position humaniste mais un paradoxe assez terrible: au choix. Un côté Dr Jekyll et Mr Hyde un peu, non?...

Bref, va prendre tes cachets et lâche-moi.

Citation de oryjen :

Ce genre de remarque ne fait que relancer la production de caca. On essaie de réfléchir au problème. Il faut donc absolument éviter que ça tourne au concours d'infâmie, sinon on se retrouve toujours dans la même impasse: "oui, mais moi, les miennes de victimes...

Oui donc un sketch qui remonte ce type de remarque relance la production de caca et tourne au concours d’infamie. Faut il avoir une appartenance ethnique, religieuse, de couleur, … pour bénéficier d'une tolérance à citer des situations propre aux extrême situation rencontrée ici et là ?
Même avec une appartenance je doute que ce soit encore possible après les dernier événements.
Réfléchir au problème ? Quel problème ? Montrer du doigt la shoah, les chambres à gaz ? Il y assez de traces d'histoire pour prouver les faits, à quoi bon continuer si c'est d'entretenir des arguments chocs qui servent les racontars à diversion. Le mec qui crache le café, c'est un malade, un patient. Un patient d'un médecin juif qui n'a pas dormi pendant plus de deux ans car il a pété les plombs à soigner encore aujourd'hui les problèmes psychologique engendrés par les horreurs de la shoah, aujourd'hui il suit lui même des soins psychiatrique. Et oui, le mec a fini par crier « Heil Hitler » sur le pas de porte de son appartement à 3h du mat au milieu d'autres appartements pour la plupart logent des juifs. Autant j'évoque du caca mais aussi dje temoingne de situations qui me font très mal, pour moi ce n'est pas un problème c'est un combat. Le combat pour la liberté d'expression à travers les arts et le spectacle, à part l'expression politique et juridique je pense qu'il ne reste plus beaucoup de voix.