Sujet de la discussionPosté le 11/07/2013 à 13:19:13Facho, anti-système, autre, avez-vous un avis dieudonné?
Moi, j'en ai pas grand chose à faire.
Mais ça agace certains que "le sujet dieudonné" revienne régulièrement pourrir certains threads du pub.
Pour permettre aux pro et aux contre de débattre en toute discrétion, je vous propose ce thread.
Ca pourrait permettre d'éviter d'en causer dans d'autres threads moins chiants?
[ Dernière édition du message le 04/06/2014 à 21:07:00 ]
Jackbrelle
12035
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 16 ans
6322Posté le 04/06/2014 à 21:10:17
L'énorme différence est que tu vends rien de matériel. Le soleil déjà n'est lié à aucun pays. Et surtout, comme l'air, tu peux pas le vendre. T'en as pas moins après " achat ", donc ça tient pas debout. Les moyens d'exploitation si ainsi que de transport. La source elle-même, non.
Non mais JB, il est pas question de vendre du soleil, mais l'énergie obtenue grâce à celui-ci... Un peu comme vendre un fruit dont le mûrissement est issu de telles ou telles conditions climatiques n'est pas non plus absurde, t'vois.
JB, les pays pauvres n'auront pas plus de moyens pour exploiter le vent ou le soleil que pour le pétrole. Il n'y a pas de différence à part vaguement philosophique.Le pognon ira dans les mêmes poches. Descend de ton cocotier de temps en temps...
Si cette énergie est infinie et gratos, on voit mal comment celui qui l'exploite peut le vendre. Au mieux il peut vendre le service de son exploitation mais pas la choise elle-même. Ton fruit, quand tu l'as vendu, tu l'as plus...? Ton énergie solaire quand tu l'as vendue, tu l'as toujours...? Tu peut donc point la vendre. Vente =échange. Tu donnes un truc contre des espèces. Là tu donnes rien. Tu transmets une chose qui t'arrive sans rien faire... Ta tomate, tu l'as plantée, arrosée, caressée, toussa.
Après un échange d'idées, chacun peut repartir avec la sienne.
Anonyme
24113
6330Posté le 04/06/2014 à 21:30:01
En fait theoriquement si on absorbait trop de lumière solaire pour faire de l'électricité on réduirait de façon significative l'albedo terrestre et on irait au devant de graves changements climatiques.