café du coin : analyse et commentaire de l'actualité poliltique

Je ne tiens aucun propos raciste, tu es incapable de le démontrer ou tu es incapable de définir le racisme et tu continues de m'injurier. Donc je re-signale.

Mais l'immigré qui réussit à trouver sa place - ce que je lui souhaite - bien évidemment qu'il va consommer allègrement autant que ses moyens lui permettent et s'approprier tous les attributs du capitalisme honni. Et souvent de la façon la plus caricaturale et la plus voyante possible, pour bien montrer à la famille restée au pays qu'il a réussi, sa famille s'est saignée pour ça, ou le faire croire quitte à s'endetter pour envoyer de l'argent aux siens.

Je ne tiens aucun propos raciste, tu es incapable de le démontrer ou tu es incapable de définir le racisme et tu continues de m'injurier. Donc je re-signale.

Tu generalises à toute une population un comportement que tu as observé chez certains individus et tu la décris en plus en des termes péjoratifs.
Tu n'as aucune base factuelle pour affirmer cela hormis une observation empirique.

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Hors sujet :

C'est très cool les éoliennes

C'est pour ça que plus personne n'en veut à côté de chez soi !
Moi, je les ai en horreur ces tueuses d'oiseaux..

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Quand une expression est utilisée à la fois par des publicités Leclerc, un ministre macroniste et la CGT, c’est rarement bon signe : le « pouvoir d’achat » s’invite également dans nos discussions quotidiennes, particulièrement à cette période où les prix s’envolent tandis que les salaires, les traitements et les pensions stagnent. Du journal du PCF l’Humanité au très libéral L’Opinion, l’ensemble de la presse utilise ce terme, sans jamais l’interroger. Pourtant, n’est-elle pas bizarre cette expression ? Il y aurait un pouvoir, celui d’acheter, et ce serait ce pouvoir-là qui serait menacé par la hausse des prix. « Pouvoir d’achat » fait en réalité partie de ces expressions forgées et diffusées par la classe dominante et qui ont l’avantage de faire entrer le débat public dans un cadre étroit et contraint : celui des intérêts des actionnaires et du patronat. Il nous empêche de discuter des points qui comptent vraiment et qui, par conséquent, les dérangent.

Et si on parlait du "pouvoir de vivre" au lieu du "pouvoir d'achat" ?

Message à la modération
- Soit vous jugez mes propos racistes - propos que je maintiens et assume entièrement - ce que je continue de contester avec force.
- Soit les accusations immondes dont je fais l'objet doivent cesser.

Tu peux pas prouver que t'es pas raciste

C'est exactement pour cela que les expressions comme "faire un truc en feuj", "travail d'arabe", ou plus généralement "enculé", "pédale" ou "fils de pute" ne sont plus acceptables alors qu'elles étaient courantes il y a encore 10 ans.

Citation de kruks :

Tu peux pas prouver que t'es pas raciste

Effectivement.

On ne peut que construire sa pensée en faisant particulièrement attention à ce qu'en disent et pensent les victimes.

Comme pour toute domination.


Cela implique d'évoluer constamment et d'accepter le fait que chacun d'entre nous a un jour où l'autre tenu des propos problématiques ou eu un comportement discriminant, même sans penser à mal.

Mais ne pas penser à mal n'annule pas comme par magie la portée de nos propos ou de nos actes.

Faire une blague sur les arabes ou une généralisation autour de l'immigré, du musulman, de la femme voilée, c'est tenir des propos racistes.

Cela ne fait pas forcément de celui qui les tient un raciste.

Tous les supremacistes blancs sont des racistes mais il n'est pas nécessaire d'être supremaciste blanc pour être raciste ou contribuer au racisme ou à sa diffusion.

Que l'auteur de propos racistes ne soit pas un raciste ne change rien au fait qu'en tenant de tels propos il contribue à la diffusion du racisme dans la société.

C'est exactement pour cela que les expressions comme "faire un truc en feuj", "travail d'arabe", ou plus généralement "enculé", "pédale" ou "fils de pute" ne sont plus acceptables alors qu'elles étaient courantes il y a encore 10 ans.

Parce que, quoi qu'en pense celui qui les exprime, ces expressions, généralisations et idées reçues normalisent la haine, ce qui a des conséquences très concrète sur la vie de ceux qui sont l'objet de cette haine.

Il ne suffit pas de ne pas haïr.

C'est exactement pour cela que les expressions comme "faire un truc en feuj", "travail d'arabe", ou plus généralement "enculé", "pédale" ou "fils de pute" ne sont plus acceptables alors qu'elles étaient courantes il y a encore 10 ans.

Parce que, quoi qu'en pense celui qui les exprime, ces expressions, généralisations et idées reçues normalisent la haine, ce qui a des conséquences très concrète sur la vie de ceux qui sont l'objet de cette haine.