Les conneries on stage
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...Anonyme
757
J'ai eu ça dans un bâtiment, tout le matos branché de tous les habitants grillé, la régie de cet immeuble doit encore pleurer!!!
(Sans parler que dans un premier temps elle a tout nié bien sur
)
(Sans parler que dans un premier temps elle a tout nié bien sur
)MagicFFT
924
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 14 ans
Ça m'est arrivé aussi lors d'un festival, une table de mixage grillée.
L'année d'avant, lors du même événement, un mec de la mairie nous a débranché la terre avant le démontage.
L'année d'avant, lors du même événement, un mec de la mairie nous a débranché la terre avant le démontage.
Mieux vaut allumer des petites lumières que de se plaindre de l'obscurité. - Lao Tseu
Les chiffres ne mentent pas, mais ne disent pas tout.
Pechouland
1535
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
luciolis
6796
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
Nick Zefish
12633
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
nc333
852
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 11 ans
Pechouland
1535
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
Ça devient du Chinois pour moi ; bon tant pis, on branchera tout et on verra bien... et si ça saute, ça saute 
Anonyme
757
Anonyme
757
Hit !
22648
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
Le Tambour de la garde républicaine, acte II.
Toujours racontée par sa joviale veuve (cf. quelques jours avant la fête de la musique : on aura peut-être raté l'épisode où, à cheval, il envoie son coup de cymbale 4 mesures après (4 mesures pourtant "bien comptées"), mais après que tout le monde ait fini le morceau... Devant une délégation de hauts fonctionnaires d'un pays étranger...
Mais cette fois, Monsieur a pris sa retraite.
Et s'occupe activement de la musique dans son bled.
Après avoir préparé toute l'année une adaptation type fanfare sur une oeuvre de Verdi, voici le jour de la représentation.
Tambour certes, mais multi-instrumentiste par passion : il officie notamment au saxophone, au surcroît de diriger l'ensemble (une vingtaine de musiciens) et d'y aller de son solo de tambour, un coup de cymbales par ci etc...
Pour l'occasion, en vue de s'éviter trop de manips inutiles en se rendant d'un pupitre à l'autre, il avait décidé de s'acheter une cordelette chez son ami opticien, sur laquelle étaient donc fixées ses lunettes.
Et le voici qu'il dirige, et le revoilà saxophoniste, et enfin qui se dirige tout au fond, là-bas, sur l'estrade la + haute, là où dans quelques secondes il va (une nouvelle fois !) donner le foudroyant coup de cymbale final... Coup de cymbale "étouffé" ( = on y va un grand coup près du corps et on rapproche très vite le tout vers le corps pour que le son ne se propage plus)...
Durant les applauds, et ainsi qu'il l'a bien senti sur la seconde, il écarte ses cymbales pour constater... sa paire de lunettes broyées par le mouvement
N'ayant absolument pas l'habitude de cet ustensile (laissant à l'accoutumée des répétitions ses lunettes sur une table), il n'avait pas "calculé" le mouvement fatal et y était allé de tout son coeur
Mieux, me dit encore son épouse : le lendemain, il raconte (évidemment !) cette péripétie à son opticien d'ami... qui se retenait pour ne pas se rouler par terre dans son magasin...
Toujours racontée par sa joviale veuve (cf. quelques jours avant la fête de la musique : on aura peut-être raté l'épisode où, à cheval, il envoie son coup de cymbale 4 mesures après (4 mesures pourtant "bien comptées"), mais après que tout le monde ait fini le morceau... Devant une délégation de hauts fonctionnaires d'un pays étranger...
Mais cette fois, Monsieur a pris sa retraite.
Et s'occupe activement de la musique dans son bled.
Après avoir préparé toute l'année une adaptation type fanfare sur une oeuvre de Verdi, voici le jour de la représentation.
Tambour certes, mais multi-instrumentiste par passion : il officie notamment au saxophone, au surcroît de diriger l'ensemble (une vingtaine de musiciens) et d'y aller de son solo de tambour, un coup de cymbales par ci etc...
Pour l'occasion, en vue de s'éviter trop de manips inutiles en se rendant d'un pupitre à l'autre, il avait décidé de s'acheter une cordelette chez son ami opticien, sur laquelle étaient donc fixées ses lunettes.
Et le voici qu'il dirige, et le revoilà saxophoniste, et enfin qui se dirige tout au fond, là-bas, sur l'estrade la + haute, là où dans quelques secondes il va (une nouvelle fois !) donner le foudroyant coup de cymbale final... Coup de cymbale "étouffé" ( = on y va un grand coup près du corps et on rapproche très vite le tout vers le corps pour que le son ne se propage plus)...
Durant les applauds, et ainsi qu'il l'a bien senti sur la seconde, il écarte ses cymbales pour constater... sa paire de lunettes broyées par le mouvement
N'ayant absolument pas l'habitude de cet ustensile (laissant à l'accoutumée des répétitions ses lunettes sur une table), il n'avait pas "calculé" le mouvement fatal et y était allé de tout son coeur
Mieux, me dit encore son épouse : le lendemain, il raconte (évidemment !) cette péripétie à son opticien d'ami... qui se retenait pour ne pas se rouler par terre dans son magasin...
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