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Sujet de la discussion Compositeurs de musiques de films : aidez-moi à analyser leurs techniques (accords, mélodies.)
Salut à tous,

j'écoute beaucoup de musiques de films, et j'aimerai que vous m'aidiez à analyser les techniques de certains compositeurs.

Je sais que ma question est extrêment large, mais toutes les contributions sont les bienvenues.

Ce que je cherche à savoir, c'est la manière dont certains compositeurs construisent leurs progressions harmoniques, la manière dont est composée leur mélodie, leur rythme... bref les trucs qui dont leur particularité

Je vous met une liste d'exemples (pris complètement au hasard) :

"Hans Zimmer, dans ## exemple, utilise la progression d'accords suivante : # | # | # | #. C'est ce qui donne ce côté dramatique à sa musique."

ou aussi par exemple :

"sa mélodie (#, #, #, #, #, #) est mise en valeur car elle semble appartenir à telle tonalité, alors que c'est telle autre tonalié..."

ou alors :

"Thomas Newman utilise souvent cette méthode dans ses mélodies au piano : il décortique un accord avec main gauche la basse, et main droite une tierce ou une quarte qui joue les notes en même temps... par exemple sur telle ou telle musique"

ou bien encore :

"Danny Elfman utilise dans telle musique une progression d'accords en changeant habilement de tonalité, #mineur puis #majeur, c'est ce qui crée le côté fantastique..."

"James Newton Howard utilise du 5/4 sur telle partie pour donner un côté tribal..."

niveau mélodie / accords / harmonie, ceux qui m'intéressent le plus sont Hans Zimmer et James Newton Howard



merci à tous ceux qui contribueront à mon sujet, et qui donneront de l'inspirations à tous ses futurs lecteurs
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La pratique ? L'entraînement ? L'expérience ?

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J'y suis parvenu à plusieurs reprises entre 1998 à 2001 sans etre encore bipolaire ou schizo-affectif

(terme n'ayant rien à voir avec la schizophrénie mais préféré par mon psychiatre à cause du fait qu'en plus d'un thymorégulateur, il me faut un neuroleptique),

quelque fois entre 2001 et 2005

et lorsque j'étais bipolaire j'y suis parvenu en phase maniaque depuis mai 2005, là où ma maladie fut bien diagnostiquée

(A vrai dire je suis bipolaire depuis fin 2001, mais le neuroleptique prescrit qui empecha les phases maniaques ne suffisait pas :
Je l'ai arreté en janvier-février 2005),

malheureusement pour des raisons de santé mentale,
je ne peux me permettre d'etre en phase maniaque en arretant momentanément le traitement,

je suis stabilisé depuis près d'un an depuis que le traitement a été bien ajusté.
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Les cours de composition donnés par les écoles de musique,
sont-ils un vrai plus pour ensuite bien composer de manière autonome ?
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Citation : Comment à l'impro ne pas etre perturbé par les morceaux qu'on connait déjà,
sachant que connaitre de nombreux airs est nécessaire à la composition,

comment dépasser les morceaux qu'on connait et créer des airs totalement originaux qui ne ressemblent à rien d'autre


C'est sûrement pas facile ! Ca me fait justement penser que dans une de ses chansons Jacques Higelin évoque ce problème : de temps en temps une super mélodie lui vient à l'esprit, mais 3 jours plus tard, il réalise que c'est un bout d'un truc de Bach ou Mozart qui a dû lui revenir en tête...
:bravo: (sur l'album Champagne, ou Tombé du ciel, je ne sais plus)


Sinon, super intéressant l'interview du compositeur de Mario et Zelda sur Nintendo 64. J'adore le perfectionnisme et l'humilité des japonais, c'est toujours fascinant !
:aime: :aime:

C'est un sacré drôle de pays quand même !
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Wolfen a écrit :

Citation : La pratique ? L'entraînement ? L'expérience ?



Malheureusement je ne fonctionne pas comme ça,
j'ai le thème qui me vient en tete ou je ne l'ai pas,
et la musique s'en suit sans effort ou ne s'en suit pas.

Si je me mets à improviser, mon travail ne paie pas ou pas beaucoup,
comparé aux musiques qui me viennent spontanément quand j'ai des thèmes soudains.

Voyager doit surement aider, l'imaginaire aussi, les phases maniaques aussi.
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Perso je travaille des suites d'accords qui sur le moment me paraissent unisitées (bien souvent je m'aperçois ensuite qu'elles ne le sont pas, mais il y a des ces moments bénis où l'on ne se souvient plus...), puis quand je sais les jouer de manière fluide (guitares, claviers) la mélodie vient relativement facilement...
Quand on écoute bien, spécialement chez les anglosaxons, il n'y a pas de mélodie, mais en lieu et place des lignes qui feraient de parfaites secondes ou troisième voix...
Sans mélodie, l'essentiel n'est pas exprimé.

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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

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Citation : Malheureusement je ne fonctionne pas comme ça,


Et bien tu devrais :mrg: Là on a l'impression que tu espères te réveiller un jour un beau matin dans la peau de John Williams. Mais ça n'arrivera pas. Tu ne peux pas acquérir toutes les compétences qui te manquent pour faire ce que tu veux avec un miracle. Dans la vie il faut être actif pour forcer la chance ou les miracles à se produire...

Développeur de Musical Entropy | Nouveau plug-in freeware, The Great Escape | Soundcloud

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Joliment dit Wolfen! Ce qui n'enlève rien à la propice étrangeté des synchronies, synergies souvent à l'oeuvre dans la création artistique...

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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

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Citation : la propice étrangeté des synchronies


Joli sujet de bac... pourrait-on avoir le corrigé ? :oo:
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Pas compris? Raccourci poétique, juste...

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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.