Les gri-gris en Hi-Fi

Ça me fait penser au bouddhisme zen dont je ne connais pas grand chose non plus. Je ne suis pas du tout mystique, donc, je ne me suis pas trop intéressé à cet aspect des choses. Mais fait, depuis que j'applique quelques principes du bouddhisme zen, je vis bien mieux, suis plus heureux et je suis apparemment bien plus supportable à mon entourage et mes amis.

J'ai même fais mienne la notion de karma. Pas dans un sens mystique ou de réincarnation, mais dans le sens où je suis convaincu qu'à chaque fois qu'on fait le mal, c'est d'abord soi-même qu'on abîme. Je le constate : à chaque fois que je me suis comporté comme un sale con (ça arrive à tout le monde : fatigue, stress, levé du mauvais pied, etc), j'étais super mal ensuite.

Un autre précepte du zen serait la tendance qu'on a à reprocher aux autres ce qu'on se reproche à soi-même. C'est tout con, mais à partir du moment où on se pose la question à chaque fois qu'on est en colère contre quelqu'un, on s'aperçoit que dans la majorité des cas, cette colère vient de nous et n'est pas justifiée par l'autre ou qu'au minimum ce qu'on reproche à l'autre ne mérite pas une telle colère. Ça m'a rendu beaucoup plus cool en général et beaucoup plus indulgent avec tout le monde.

Ce genre de choses m'a aussi aidé à ne pas ruminer contre les gens qui me gonflent, à ne pas penser revanche envers ceux qui m'ont fait du mal, mais à simplement les ignorer et vivre ma vie. En gros, les trois fameux singes de la sagesse : ne voit pas le mal, n'écoute pas le mal, ne dis pas le mal.
C'est très couillon, mais ma vie est beaucoup mieux comme ça, en me tournant essentiellement vers les choses positives et en rejetant à la marge tout ce qui est négatif.

Citation :

Genre, les couleurs qui apaisent et celles qui excitent. La disposition du lit dans une pièce (notamment par rapport aux ouvertures), le fait de ne rien mettre dans une chambre qui rappelle le travail...

ce côté là me cause plus
C'est le mélange des genres, le mélange de l'objectif et du subjectif qui me dérange. Sauf dans l'art, ou le subjectif a toute sa place.