Quelles series tv regardez-vous?

Citation :

Je te conseille de zapper les 2 premières minutes de Shine on you crazy diamonds pour aller direct à la montée de toms et à l'explosion du riff de gratte. 
Je te conseille de zapper les 2 premières heures de Scarface et d'aller directement à la scène dans la villa.

 Et pourquoi pas ?

Pour moi, une oeuvre ne s'écoute ni se regarde une fois unique, et perso j'aime bien des fois commencer par la fin. Là il est évident que je me retaperai BB depuis le début, et en évitant l'avance rapide et le sautage d'épisodes.

De la même manière que parfois j'écoute juste le solo de Shine on U crazy diamonds, ou je matte telle scène de Casino ou Apocalypse now.

Bah, à chacun sa façon d'appréhender un truc, en gros.

+1 avec youtou, musique ou film, je zappe a tout bout de champ. Par exemple, une comédie de 1h40 : scène de romance -zap - gag pas drole ou deja vu dans la bande annonce - zap - scene de montage + motivational musique - zap.

Du coup tu te fait le film en 20 minutes. Tu te rends compte aussi du temps de remplissage de porc dû au format.

Genre dans les policiers, les scènes de traque, je zappe jusqu'à la confrontation.

Et franchement, c'est rarissime que je pige plus rien et que je doive revenir en arrière. Rien que pour les vrais bons films en fait.

J'ai découvert cette technique quand il me restait 24h pour lire Michel Strogoff, pour l'école : "c'était une plaine enneigée....(paf saute 6 pages, ha on y est encore, saute 10 pages).

Musique, pareil. J'imagine que ça en fera bondir, mais tel album de led zep ou je n'aime que 6 chansons sur 10 : j'efface les autres, ça fera de la place sur le DD

Et pis ça n'enlève rien au plaisir, puisque je trouve vraiment que BB est une des meilleures oeuvres que j'ai jamais vues, et Walter White un des personnages les plus forts jamais créés dans la fiction, tous supports confondus, et qui n'a pas fini de me hanter.

Edit : je repense souvent à ce qu'avait dit George Lucas au sujet de l'importance des personnages dans une oeuvre de fiction : il est impossible de raconter une bonne histoire sans personnages intéressants, et ce n'est pas l'histoire qui fait le personnage, mais l'inverse.