Le PPG wave 2.2 , sans soucis , mais les émulator étaient des versions low cost du Fairlight CMI IIx , il est vrai , nous avons bien le Synclavier II et le DX7 ...
Au niveau des échantillonneurs produits dans les années 80, il y avait également l'Emax, l'Emax II, le Mirage, l'Akaï S900 mais quel intérêt ?
D'autres machines comme le PolyKobol, l'Oscar me paraissent plus intéressantes, non ; alors que reproduire un échantillonneur est quelque peu paradoxal puisqu'il est nécessaire de le "rééchantillonner" !
Les Emu ne sont en aucun cas des fairlight cheap. Ca n'a rien à voir (pas de resynthese, pas de synthèse additive). C'est comme si tu disais que le minimoog est un Novachord low cost.
Pourquoi reproduire un échantillonneur ? J'y vois plusieurs raisons :
1) le son (résolution mais aussi les filtres des Emax/EmaxII qui étaient spécifiques),
2) le son.
3) le son
En suite, il s'agit plus d'émuler le code puisque les machines étaient en partie numériques (puis totalement par la suite), mais il faut aussi modéliser les filtres (analo sur les Emax) et le DAC de l'époque.
C'est manifeste avec le fairlight CMI : j'ai déjà tenté d'injecter dedans des samples de banques kontakt: on peut aussi bien passer par l'émulation du dac du CMI qu'appliquer sont algo de resynthese. LE résultat et TRES intéressant et ne risque pas de me faire regretter de l'avoir acheté uen seconde. Avec l'algo de resynthese on peut travailler ensuite les harmoniques...
Il arrivait qu'on fasse ça aussi. Dans Zoolook, la basse de Marcus Miller sonnait trop clean et Jarre l'a passée dans le CMI. On a ainsi une bonne cohérence sonore.