Les conneries. publiques !
- 1 800 réponses
- 190 participants
- 104 088 vues
- 250 followers
Hit !
22487
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
Sujet de la discussion Posté le 09/02/2006 à 19:15:52Les conneries. publiques !
S'lut !
Fan assidu des rubriques "les conneries on stage" et autres "en home-studio", j'ai pu remarquer cependant qu'il n'éxiste pas de topic dédié aux anecdotes familiales ou amicales que le destin nous avait pourtant réservées.
Il en est pourtant de croustillantes, et qui divertiront + d'un musicien souhaitant faire... un break.
A cet effet, je propose donc que nous racontions ici toutes nos histoires sans rapport direct avec la musique (genre conneries lors du baptème du petit dernier etc).
A vos marques... Feu !
Fan assidu des rubriques "les conneries on stage" et autres "en home-studio", j'ai pu remarquer cependant qu'il n'éxiste pas de topic dédié aux anecdotes familiales ou amicales que le destin nous avait pourtant réservées.
Il en est pourtant de croustillantes, et qui divertiront + d'un musicien souhaitant faire... un break.
A cet effet, je propose donc que nous racontions ici toutes nos histoires sans rapport direct avec la musique (genre conneries lors du baptème du petit dernier etc).
A vos marques... Feu !
Anonyme
521410
541 Posté le 14/10/2006 à 19:53:00
Moi j'en ai une qui remonte à quelques semaine et qui me vaut un surnom :
Un pote m'apelle, pour me dire qu'on va à une fête chez une meuf.
La meuf en question j'en avait rien à foutre et je connaissais personne la bas donc, j'ai déssider de me bourrer la geule et de profiter de la bouffe.
Donc on arrive ambiance sympa pas mal de monde de la bouffe et de l'alcool.
Je vais vaire le buffet et me gave de gateaux apéro et bois comme un trou au bout d'une heure ou deux à boire et à bouffer j'en pouvais plus je suis aller vers la meuf pour lui dire un truc et...
Je lui est gerber desssus !!!!
Devant pas mal de monde, après on c'est tirés et depuis mes potes m'ont trouvé un surnom sympa : "Gâteau".
Un pote m'apelle, pour me dire qu'on va à une fête chez une meuf.
La meuf en question j'en avait rien à foutre et je connaissais personne la bas donc, j'ai déssider de me bourrer la geule et de profiter de la bouffe.
Donc on arrive ambiance sympa pas mal de monde de la bouffe et de l'alcool.
Je vais vaire le buffet et me gave de gateaux apéro et bois comme un trou au bout d'une heure ou deux à boire et à bouffer j'en pouvais plus je suis aller vers la meuf pour lui dire un truc et...
Je lui est gerber desssus !!!!
Devant pas mal de monde, après on c'est tirés et depuis mes potes m'ont trouvé un surnom sympa : "Gâteau".
Jr0001
5527
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
542 Posté le 15/10/2006 à 11:01:19
J'ai toujours su que tu faisais dans la finesse.
Heldon jazzyTron
7595
Je poste, donc je suis
Membre depuis 18 ans
543 Posté le 15/10/2006 à 13:51:01
Les murs de Gerbiko se sont ainsi dressés sur cette pauvre païenne.
Hymen...tu nous feras 3 patés et deux ovaires.
Hymen...tu nous feras 3 patés et deux ovaires.
La vie, c'est comme un train de montagne
Heldon jazzyTron
7595
Je poste, donc je suis
Membre depuis 18 ans
545 Posté le 15/10/2006 à 16:41:51
Gerbiko = Zubiko qui gerbe.
= les murs de Jéricho...
= les murs de Jéricho...
La vie, c'est comme un train de montagne
Hit !
22487
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
547 Posté le 16/10/2006 à 01:00:38
Hors sujet : Held !... Help !...
Sinon; un petit retour aux anecdotes, peut-être ?...
Je suis sûr qu'en fouillant bien...
Des souvenirs de colo, de coloc', de repas de famille politiquement incorrects, de rendez-vous foirés, de quiproquos ...
vcasino
186
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 18 ans
548 Posté le 16/10/2006 à 15:03:04
Or donc, ma soeur décide de convoler en justes noces. Elle et son futur conjoint ne veulent pas faire les choses à moitié. Nous aurons donc droit à la totale : mairie, église et tout le tralala. Afin d'agrémenter la cérémonie religieuse qui, comme le savent les moins mécréants d'entre vous, peut être assez rébarbative, le prêtre propose à ma sister de faire intervenir quelques personnes qui auront pour mission de lire qui un extrait d'évangile, qui une poésie !
Ma chère soeur ne veut personne d'autre que moi pour lire un texte qu'aura pondu le cureton. Je ne peux pas dire que la perspective de lire la prose curetonesque me réjouisse, mais bon cela a l'air de faire plaisir à la soeurette, alors j'y consens,
Arrive le grand jour ! Précisons que j'étais bien jeune à l'époque (je vous parle d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître) et que pour l'occasion et pour la première fois je portais un costume. Costume sur lequel je ne disserterais pas.
La cérémonie se déroule sans anicroche, ma soeur rayonne et ma mère chiale comme une madeleine, bref tout baigne. Soudain, ma gorge se serre, le prêtre me fait un signe discret, c'est mon tour. C'est ma première prestation publique, je monte, la démarche un peu flageolante, et m'installe derrière le pupitre. Je respire un grand coup et le nez dans le guidon, je m'élance. Le début est difficile puis je me détends et je déroule.
Je ressens comme une jubilation quand je commence à percevoir des murmures dans l'assemblée. Je lève le nez de ma feuille et aperçois mon frangin, au premier rang, qui me désigne sa braguette. Je ne comprends rien, puis d'un seul coup je percute. Je baisse les yeux, et, horreur, ma braguette est béante. Malheureusement elle n'est pas seulement ouverte, un pan de chemise en dépasse, qui me fait comme une petite zézette blanchâtre.
Enorme moment de solitude. Je reste pétrifié devant les gens qui commencent à se bidonner de plus en plus fort. Je n'ai malheureusement pas terminé mon laius. Alors, me disant que je ne pouvais pas être plus ridicule, je décide de fermer ma braguette le plus dignement possible et de finir mon speech.
ERREUR!!!!
Je dois préciser qu'étant encore jeune, comme dit précédemment, je me cherchais au niveau look. Je portais donc au poignet gauche un de ces petits bracelets brésiliens tressés censés porter bonheur. En cette occurence ce fut plutôt un porte-scoumoune.
Dans le même mouvement j'essayais de remonter la braguette et de rentrer la chemise. Et comme de juste je coinçais le joli petit bracelet dans ma braguette ! Que je tentais de décoincer en tirant comme un glandu.
Et là, ce fut mon premier triomphe publique. Toute l'assemblée explosant de rire devant ma déconfiture.
Le discours ne fut jamais terminé, et je fus le héros de la soirée qui suivit.
Ma chère soeur ne veut personne d'autre que moi pour lire un texte qu'aura pondu le cureton. Je ne peux pas dire que la perspective de lire la prose curetonesque me réjouisse, mais bon cela a l'air de faire plaisir à la soeurette, alors j'y consens,
Arrive le grand jour ! Précisons que j'étais bien jeune à l'époque (je vous parle d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître) et que pour l'occasion et pour la première fois je portais un costume. Costume sur lequel je ne disserterais pas.
La cérémonie se déroule sans anicroche, ma soeur rayonne et ma mère chiale comme une madeleine, bref tout baigne. Soudain, ma gorge se serre, le prêtre me fait un signe discret, c'est mon tour. C'est ma première prestation publique, je monte, la démarche un peu flageolante, et m'installe derrière le pupitre. Je respire un grand coup et le nez dans le guidon, je m'élance. Le début est difficile puis je me détends et je déroule.
Je ressens comme une jubilation quand je commence à percevoir des murmures dans l'assemblée. Je lève le nez de ma feuille et aperçois mon frangin, au premier rang, qui me désigne sa braguette. Je ne comprends rien, puis d'un seul coup je percute. Je baisse les yeux, et, horreur, ma braguette est béante. Malheureusement elle n'est pas seulement ouverte, un pan de chemise en dépasse, qui me fait comme une petite zézette blanchâtre.
Enorme moment de solitude. Je reste pétrifié devant les gens qui commencent à se bidonner de plus en plus fort. Je n'ai malheureusement pas terminé mon laius. Alors, me disant que je ne pouvais pas être plus ridicule, je décide de fermer ma braguette le plus dignement possible et de finir mon speech.
ERREUR!!!!
Je dois préciser qu'étant encore jeune, comme dit précédemment, je me cherchais au niveau look. Je portais donc au poignet gauche un de ces petits bracelets brésiliens tressés censés porter bonheur. En cette occurence ce fut plutôt un porte-scoumoune.
Dans le même mouvement j'essayais de remonter la braguette et de rentrer la chemise. Et comme de juste je coinçais le joli petit bracelet dans ma braguette ! Que je tentais de décoincer en tirant comme un glandu.
Et là, ce fut mon premier triomphe publique. Toute l'assemblée explosant de rire devant ma déconfiture.
Le discours ne fut jamais terminé, et je fus le héros de la soirée qui suivit.
Je pense donc j'essuie (La Mère Denis, philosophe mercantile du siècle dernier)
Hit !
22487
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
549 Posté le 16/10/2006 à 15:17:40
Hors sujet : -Bienvenue.
-Merci.
Allez : encore des anecdotes; encore-encore ! ...
pulvonium
6780
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
550 Posté le 16/10/2006 à 15:58:06
J'assistais à la messe de confirmation de ma soeur (décidément...)
Cérémonie majeure, qui requiert la présence de l'évêque du Diocèse, bref, un évènement paroissial.
La cérémonie se déroule parfaitement.
A la fin de celle-ci, un des confirmés s'avance au micro. Un type assez marrant d'ordinaire, mais qui était là à peu près dans le même état de stress que vcasino au début de son speech.
Et là, sur un ton funèbre digne d'un sinistre discours d'enterrement, il déclare :
"Aujourd'hui, c'est la fête... Vous êtes tous cordialement invités au pot de l'amitié qui se déroulera juste après salle paroissiale."
Toute la soirée qui a suivi, tous ses potes et sa famille sont allés le voir en prenant une grosse voix : "Alors, aujourd'hui, c'est la fête "
Cérémonie majeure, qui requiert la présence de l'évêque du Diocèse, bref, un évènement paroissial.
La cérémonie se déroule parfaitement.
A la fin de celle-ci, un des confirmés s'avance au micro. Un type assez marrant d'ordinaire, mais qui était là à peu près dans le même état de stress que vcasino au début de son speech.
Et là, sur un ton funèbre digne d'un sinistre discours d'enterrement, il déclare :
"Aujourd'hui, c'est la fête... Vous êtes tous cordialement invités au pot de l'amitié qui se déroulera juste après salle paroissiale."
Toute la soirée qui a suivi, tous ses potes et sa famille sont allés le voir en prenant une grosse voix : "Alors, aujourd'hui, c'est la fête "
- < Liste des sujets
- Charte