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fairbec

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...

Traumax



Pictocube

+1 Youtou braveheart
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

Anonyme


Anonyme


00
youtou : c'est assez proche de The Patriot ? Y a aussi Mel Gibson et ça zigouille pas mal, avec quelques larmes et quelques coups de putes.
bon vs mauvais chasseur.


Alx33


Quand je conduis pas j'ai peur.

le reverend

(Lucy était juste une copine)
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)

Anonyme

Alors que dans The Patriot, Mel Gibson incarne un gilet jaune d'une époque brutale se rebellant contre la tyrannie du roi d'Angleterre, et mène une jacquerie contre l'envahisseur organisé en armée pour obtenir la liberté de son pays. Ca découpe et le sang gicle dru. On y retrouve les thèmes grandes fresques hollywoodiennes, de autant en emporte le vent à starwars, un amour impossible, la trahison d'un frère, de grandes batailles, des maitres et des éleves, le vieux monarque qui malmène la jeune princesse, le héros noble et courageux qui part au saloir. C'est filmé comme à la glorieuse époque de Cecil B de Mille, avec plein de figurants, des plans larges suur les paysages et courts sur les personnages, et pas de ralenti : c'est un film de merde.
[ Dernière édition du message le 22/01/2019 à 19:51:31 ]

Alx33

Quand je conduis pas j'ai peur.

Anonyme



KoalaMan


On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.

Djardin

Je ne sais pas pourquoi, j'imaginais que c'était du même niveau que les Aliens.
Alors qu'en fait, c'est un gros film d'actions des années 80.
Avec des vrais bonshommes qui ont des gros pectoraux, des gros fusils et des moustaches.
Et on notera que les pectoraux servent de gilets pare-balles (pour celui qui a les plus gros pectoraux uniquement)
Comme j'étais en train de cuisiner puis de manger, j'ai sûrement loupé plein de super répliques, mais j'ai quand même eu le "if it bleeds, we can kill it" avec l'accent Autrichien de Schwarzy.
Bon, ben tous les clichés du flim d'action quand même, avec le final à coup de poings, comme des vrais bonshommes.
ça sent pas les années 80 ce générique ?
(et Schwarzy a un peu les mêmes dents que Vanessa Paradis)
Bref, c'était moins bien que Chappie hier.
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

Anonyme

La créature en mode invisible-mais-tu-la-vois-un-peu est top, sa vision chromatique aussi. C'est brutal sans sombrer trop dans le débile.
[ Dernière édition du message le 22/01/2019 à 22:22:28 ]

Vince_


Alx33


Quand je conduis pas j'ai peur.

Oiseau Bondissant


Je me souviens encore du fou-rire inarétable quand il rentre dans le supermarché avec son caddie et fait ses courses militaires en mettant des palmes pointure 36 pour son mètre quatre-vingt dix. Un must

« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien
[ Dernière édition du message le 23/01/2019 à 08:14:16 ]

Vince_



zekragash


Anonyme

Ça vaut pas Commando. Le plus drôle dans ce film, c’est de trouver sur chaque plan les faux raccords. Il est d’une qualité pédagogique rare pour les jeunes cinéastes
Je me souviens encore du fou-rire inarétable quand il rentre dans le supermarché avec son caddie et fait ses courses militaires en mettant des palmes pointure 36 pour son mètre quatre-vingt dix. Un must
Si tu veux vraiment te fendre la gueule avec ce genre de truc, je ne saurais que trop te conseiller un re-visionnage de piège en Haute mer avec steven, tommy lee et gary. Entre les trucs tous plus débiles les uns que les autres, les faux raccords, les mecs qui meurent plusieurs fois, pourquoi se faire chier à prendre des acteurs différents, voir de les grimer différemment pour du random bodycount. Ca va passer crème.


Anonyme



Anonyme

Bref, c'était moins bien que Chappie hier.

Dr Pouet


Silverfish Imperatrix

2018, USA, de Damien Chazelle à qui l'on doit déjà le pénible Whiplash et l'insupportable Tra-La-Land.
Faire incarner Neil Armstrong par Ryan Gosling (qui donne l'impression d'avoir du jus de navet dans les veines), c'est à la base une erreur, mais bon, il plait aux demoiselles, est bankable.
Ensuite, 2h20 de film dans une ambiance complètement plombée, sans aucun rythme, et avec des scènes ennuyeuses qui n'apportent rien au film, c'est très long. On a l'impression que les gars vont sur la lune uniquement parce que c'est plus loin que l'abattoir.
A sauver: les scènes dans les capsules exigües, et le bordel que ça devait être, entre explosions assourdissantes, grincements sinistres, impression de ne rien maîtriser puis silence total dans l'espace.
Bref, 4/10.
Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

Oiseau Bondissant

On a l'impression que les gars vont sur la lune uniquement parce que c'est plus loin que l'abattoir.

« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien

Anonyme

il plait aux demoiselles
pas plus que ça, je crois qu'il plait surtout aux damoiseaux, traumax est amoureux de lui et a des posters de lui avec des coeurs et des chatons.
perso je le trouve également bon acteur et séduisant sans avoir une gueule de poisson d'ordralfabétix, comme Harrison Ford de sa jeunesse à maintenant inclus (et les voir ensemble dans blade runner 2049 avait du sens, trouve-je), à la différence d'un autre Ryan dont j'ai oublié le nom de famille, très mauvais acteur et doté d'un regard bovin (et sex symbol parmi les adolescentes, ce que je comprends pas, entre son regard bovin et son visage chevalin, le mec c'est une pub vivante pour le veganisme).
pénible Whiplash
Tu me fais penser que j'ai revu dernièrement. je l'avais déjà vu, mais j'étais pas en grande forme et je m'étais endormi devant, je luis laissé une 2ème chance.
pas grand chose à dire sur l'esthétique du film, clairement bien foutue, mais le fond du film est puant de chez puant. Le prof (excellement interprété par ailleurs) est au level O°K de la pédagogie : enseigner par la frustration, la haine, le ressenti, c'est pas de l'enseignement mais du sadisme.
Il me rappelle d'ailleurs un gros débile co-directeur du MAI de Nancy, Richard Morellini, également section batterie, qui humiliait et insultait tout le monde, et avec qui j'avais eu une énorme prise de bec, qui a grillé plusieurs générations de musiciens (sans rien leur apprendre bien entendu).

Anonyme


[ Dernière édition du message le 23/01/2019 à 13:23:46 ]
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