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Sujet Synthés dans la variété internationale dans les années 70 et 80.

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Sujet de la discussion Synthés dans la variété internationale dans les années 70 et 80.
Je fais un honteux copié-collé du post de Renaudg :

Citation de renaudg :
Salut,

Je me suis souvent demandé quels étaient les synthés de prédilection sur un certain nombre de tubes 80s en variété/synthpop internationale qui ont quelques riffs mémorables.

Toutes infos bienvenues :)


Alors on commence par celui-là.
Pro-one pour la basse et le synthé.
Pour le rythme j'entends divers sources : TR-808 + ARP 2600 ou TR-808 + Pro-one

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Hors sujet :
Citation de j-master :
Citation :
Et sur le DX-7 je lui pardonne volontiers !

enfin bon, pour changer l'accordage, c'est sur le premier bouton, en mode "function"... là c'est plus être au niveau tanche, c'est avoir des peaux de saucisson devant les yeux :lol:


Je n'assimile pas la transposition ou l'accordage à de la programmation, j'espère que lui non plus, c'est quand même basique sur l'usage d'un clavier !

[ Dernière édition du message le 31/01/2022 à 15:51:04 ]

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Allez on continue avec Philou!!!!

ATTENTION, cet article, issu d'une rubrique "Roland Newslink - Summer 86", sent fortement la pub déguisée.
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No Drumkit Required
Phil Collins
Juin 86, "International Musician and recording World".
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Que le Roland Pad 8 complète ou remplace un kit conventionnel, le fait est qu'il peut accéder à une gamme illimitée de sons percussifs ou pitchés avec une facilité incroyable. Comme l'a découvert Phil Collins.

Qu'est-ce que vous achetez quand votre studio a tout? Le lieu de travail de Phil Collins correspond assez bien à cette description. Dominé par une immense table de mixage SSL contrôlée par ordinateur avec du matériel d'enregistrement, du matériel auxiliaire et des instruments assortis, le studio qu'il partage avec les autres membres de Genesis est le moteur de la plupart des projets de Phil. Lorsque nous lui avons parlé, il travaillait là-bas sur l'album Genesis qui sortira bientôt. Et le dernier équipement qu'il avait acquis à cet effet était un contrôleur Roland Octapad - ou plutôt deux d'entre eux - pour ajouter de nouvelles idées au travail rythmique.

Sans surprise pour quelqu'un qui a commencé à la batterie, une partie des chansons de Phil proviennent d'idées rythmiques. Comme sur In The Air Tonight, un morceau typique peut provenir d'un motif de batterie et être construit avec d'autres morceaux par la suite. Phil s'intéresse à tout ce qui touche à la batterie, conservant une collection de kits (il affirme ne jamais les revendre) et possédant, selon ses propres mots, « toutes les boîtes à rythmes Roland ».

Les boîtes à rythmes Roland ont eu une place spéciale dans le jeu et la composition de Phil, en grande partie à cause de l'originalité et des caractéristiques particulières de leurs sons. L'un des premiers à mettre en lumière la vénérable CR-78, il a progressé vers les TR-808 et TR-909. Batteur accompli, il n'a qu'un seul reproche à faire aux nouvelles gammes numériques comme la TR-707 et la TR-505 : elles sont trop bonnes !

"Les précédentes ne sonnaient pas comme des tambours, alors je les ai utilisées pour obtenir différents sons de percussion que je ne pouvais pas obtenir avec un kit de batterie. Ceux-ci sonnent comme des tambours, et donc ce sont des sons que je peux obtenir en jouant un kit " L'exception est le TR-727 avec sa large gamme de sons de percussions latines, que Phil considère comme un ajout très précieux à son répertoire.

Néanmoins, le produit Roland le plus important récemment introduit est, pour Phil, le Pad 8. En raison de sa recherche constante de nouveaux sons, il accueille particulièrement favorablement un appareil conçu pour accéder et contrôler n'importe quelle source sonore ou échantillonneur équipé MIDI. Alors, que peut faire le Pad 8 pour Phil que son équipement et ses instruments de studio d'une valeur de plusieurs centaines de milliers de livres ne peuvent pas ?

"Il vous permet de contrôler simultanément de nombreuses choses différentes. Ce que je fais, c'est combiner différentes boîtes à rythmes via des canaux MIDI pour me donner un accès maximal et un contrôle complet de la sensation et du timing."

De plus, bien sûr, c'est un moyen pratique d'accéder aux instruments accordés ?

"Ce qu'il fera, c'est jouer n'importe quel instrument MIDI, ce qui ouvre une toute nouvelle gamme de possibilités pour la notation des percussions."

Comme la plupart des musiciens aujourd'hui, composer une chanson est, pour Phil, un mélange de jeu et de programmation. Avec le Pad 8, programmer ressemble beaucoup plus à jouer de toute façon, il n'est donc pas nécessaire de perdre la vie et la spontanéité en s'enlisant dans des procédures compliquées.

"Une application importante est la programmation via des séquenceurs MIDI. Vous pouvez créer des motifs rythmiques complexes sans avoir à passer par la routine tortueuse consistant à ralentir le tempo et à insérer des motifs pour créer une piste. Avec le Pad 8, vous pouvez jouer beaucoup plus de choses en temps réel - et pour moi, c'est important dans l'écriture de chansons ainsi que dans l'interprétation et l'enregistrement."

Phil est un maître de l'adaptation et de l'exploitation des nouvelles technologies, mais ne se décrirait pas comme un esprit technique.

"Je n'ai pas beaucoup de patience. Les problèmes techniques que je confie généralement à quelqu'un d'autre pour qu'ils les résolvent, et avec un équipement déconcertant, je donne le manuel à un ingénieur et je lui dis 'parcourez cela et dites-moi ce qu'il fait en termes simples. Je ne suis pas bon avec les manuels, je m'ennuie après qu'ils aient passé deux pages à me dire comment le brancher."

Et le Pad 8 ?

"Oh, le Pad 8 est instantané. Pas de procédures complexes - je pourrais l'utiliser tout de suite. Il en va de même pour les procédures de programmation. Avec le Pad 8, je peux simplement continuer et jouer."

En conséquence, le Pad 8 est immédiatement intégré au projet Genesis actuel. Le nouvel album, qui n'a pas encore de nom, comportera un Pad 8 déclenchant tous les sons de percussion d'une variété d'instruments MIDI, dont le TR-727 et l'Emulator de Phil. Il n'était malheureusement pas encore disponible lorsqu'il a pris le tabouret du batteur pour le nouvel album d'Howard Jones, mais il pourrait figurer dans son travail avec Eric Clapton qu'il produit actuellement. En raison de son travail de production et de sa volonté de relever de nouveaux défis dont il aime le son, Phil est obligé d'être une sorte de caméléon musical, changeant de styles et découvrant des sons pour s'adapter à une grande variété d'artistes différents, sans parler des musiques de films. , etc. Le Pad 8, avec son accès convivial à tout ce qui est MIDI, est un outil idéal pour quelqu'un qui change constamment de son.

Encore mieux qu'un Pad 8, il y a deux Pad 8 reliés ensemble, et Phil utilise également fréquemment cette configuration pour déclencher deux fois le nombre de sons de percussion ou de notes ou de canaux MIDI auxquels il pourrait accéder avec un seul. Une autre astuce utile consiste à "utiliser l'audio d'une piste enregistrée dans l'entrée d'un Pad 8 afin de pouvoir déclencher des percussions MIDI à partir d'une piste que vous avez déjà définie".

Étant donné que tous les membres de Genesis utilisent le studio, il y a inévitablement eu un certain intérêt pour les activités de Phil et maintenant il n'est plus le seul utilisateur de Pad 8. Mike Rutherford en a acquis un et utilise des bâtons pour programmer ses propres boîtes à rythmes et des lignes rythmiques dans son travail avec Mike and the Mechanics. Mike est, bien sûr, un passionné de longue date de Roland et un expert du synthétiseur de guitare GR-700 ainsi qu'un joueur d'Octapad.

Pendant ce temps, Phil Collins va plus loin en considérant les applications en direct des Octapads.

"Je ne les ai pas encore utilisés en live, mais sans aucun doute, ils seront une aubaine ! En utilisant les Pad 8, il sera possible de jouer des instruments de percussion dont il est presque impossible de se passer en live, comme les marimbas et les instruments de type cloche."

Il ne devrait pas non plus y avoir de problème de qualité de jeu. Phil, qui est habitué aux meilleurs kits acoustiques de qualité supérieure, juge que la surface de jeu Pad 8 est : "Très réactive. Aussi bonne qu'une surface de jeu sans peau pourrait l'être."

En bref, les Pad 8 ont le toucher, la dynamique et la polyvalence pour en faire un instrument puissant à lui seul ou un complément parfait aux kits conventionnels ou électroniques. La passerelle d'un batteur (ou d'une rock star) vers tout ce que le MIDI peut offrir, pour seulement 399 £. Comme dit l'homme, "Un vol!..."

IM_86_06_no_drumkit_r_full.jpg

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Merci.
Citation :
ATTENTION, cet article, issu d'une rubrique "Roland Newslink - Summer 86", sent fortement la pub déguisée.

Effectivement :clin:
De toutes façons, en plus des endorsements, je crois qu’il était coutumier du fait.
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Ah ça c'est le moins qu'on puisse dire, ça sent la bonne grosse pub !

Depuis les années 80, en particulier depuis l'arrivée du DX-7 puis du MIDI, les samplers etc. il y a quand-même eu une révolution technologique pour l'industrie du disque notamment dans la variété ou ce que j'appellerais la musique strictement commerciale. Celle dont le principal objectif était de passer à la radio et à la télé, la musique à la mode, celle de Drucker à Champs Elysées, de Foucaut à Sacrée Soirée, celle du Top 50, de MTV mais pas encore chez nous hein, on a eu boulevard des clips sur M6... Comme vous l'avez dit nombreux artistes voulaient le son de cette époque, les synthés étaient maintenant à la mode, ils s'invitaient chez le grand public comme les "micro-ordinateurs", tout le monde voulait être moderne, il y avait un rejet de vieux trucs du passé, la ringarditude des Rhodes, des B3 et des Mellotrons, les synthés faisait vendre des millions de disques et brassaient encore plus de fric que par le passé quand dans les années 70 ils étaient marginaux et avant-gardistes. Certes ils vendaient des disques aussi (JMJ, Tangernie Dream, Shulze, Eno, Kraftwerk etc.) mais dans les années 80 ils ont envahi les studios et son devenus des instruments incontournables pour qui désirait envahir les ondes. Comme vous l'avez dit également (discussion très intéressante au passage) nombre de musiciens s'y sont mis par nécessité sans trop s'y connaître et sans savoir forcément les programmer. Ce n'est pas pour rien si tant de presets de DX-7 puis de D-50 et de M1 sont devenus si iconiques : on les a tellement entendus, joués par des tâcherons du Top 50 incapables d'ouvrir un manuel (comme Phil :mrg:) ou simplement trop occupés pour y consacrer le temps nécessaire. Au mieux ils payaient des spécialistes pour gérer cet aspect là des choses (Phil le dit d'ailleurs : tout ce qui est trop compliqué pour lui - donc quasiment tout en fait - il le sous-traite à un larbin). Ils étaient des musiciens avant tout, pas des ingénieurs, à la différence justement des artistes des années 70 précités qui ont été les précurseurs de la musique électronique moderne. Ici on ne parlera pas de musique électronique mais d'artistes de variété qui utilisent des synthés, des samples et des boîtes à rythme pour faire de la musique pop hyper mainstream. Daniel Balavoine par-exemple a utilisé un Fairlight, séquencé ses synthés (DX-7, Oberheim...) avec Pro 24 et personne ne penserait a le décrire comme un artiste electro ! C'était donc la mode des synthés, la grande mode de la musique du futur enfin arrivée chez nous : on vivait le futur ! Depeche Mode, A-ha, Indochine, l'italo disco et tous ces chanteurs-euses d'un ou deux singles fulgurants étaient omniprésents : télé, radio, disques dans les rayons des supermarchés, oui c'était le futur, je le sais j'y étais :mrg:

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

[ Dernière édition du message le 01/02/2022 à 01:30:37 ]

3115
C'est marrant la diversité des approches à propos d'une même chose. C'est plus que marrant d'ailleurs. C'est beau (je trouve), mais passons: J'y étais aussi, et quand je fais retour sur cette période de ma vie, ce qui ressemble dans mon sentiment le plus à ce que tu décris comme "vivre le futur", n'avait pour moi trait ni à la micro-informatique ni à l'électronique musicale:
C'était la percée dans le domaine spatial.
Là oui, vraiment, je me rappelle un jour en récré dans la cour du lycée où j'ai eu un curieux sentiment à ce sujet: On venait d'apprendre à la radio le matin même pendant le petit déj la réussite de la première mission STS (la navette spatiale américaine), je voyais toute cette jeunesse prise par les études (on y croyait encore assez à cette époque), les émois amoureux, les sorties en boîte, et pour certains (redoublants :mrg:) en terminale la première bagnole.... j'étais assis dans la cour sur un banc, et levant le nez un instant de la BD de SF à laquelle je travaillais (le prof de Français, goguenard, me surnommait en classe, en rendant les devoirs, "Super-Ory" (mon vrai patronyme à la place du pseudo):bave: ) j'eus soudain la vision d'une population totalement indifférente au bouleversement fondamental qui venait de se produire dans le destin de l'humanité... Il me semblait soudain que plus rien ne serait comme avant à partir de ce moment.
Bon, je projetais sur la situation présente pas mal de fantasmes puisés dans la lecture hallucinée de sagas de SF (Asimov, Cordwainer Smith, A.C. Clarke, F. Herbert, Ray Bradbury, Jack Vance, le court et abyssal joyau de Clifford D. Simak "Demain les Chiens", qui m'avait plongé dans des abîmes de stupeur, etc...) et de cycles de BD bien barrés (l'Incal, les Techno-pères, et surtout Druillet)... Mais c'est ce que Michel Chevalet nous avait vendu...:mrg:
On ne pouvait pas savoir que cette affaire allait quelques années plus tard s'échouer dans les méandres de l'administration congénitalement axée sur le court terme aux USA, et de sordides considérations budgétaires clientélistes, choses que j'étais bien trop jeune et naïf pour percevoir à l'époque.
Mais dans le même temps, je me rappelle très bien concernant les synthés et la micro-informatique (un magnifique Sinclair ZX-81 toutes options:bravo:), que curieusement pourra-t-on dire je n'y investissais rien de vraiment "futuriste": C'était juste des truc très cools, bouffant désormais mes nuits en lieu et place de la lecture, et dont la pratique (le panneau de patch et les potars de mon MS20 aux combinatoires infinies, et la programmation en code-machine du fabuleux Z-80), ancrée dans l'instant présent, était un pur régal!

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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

[ Dernière édition du message le 01/02/2022 à 05:26:35 ]

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Hors sujet :
Votre nostalgie post moderne me fait me demander ce que seront nos réminiscences de la période "Covid" dans quelques années, quel regard porterons nous sur ce que nous aurons vécu???


Pour moi le futur est entré dans mon existence avec " Radio Activity ", à partir de cette première écoute Jules Verne à disparu de mon horizon pour laisser place au " vrai futur ", puis on nous a offert Thatcher et la crise qui va avec, on en est pas encore sorti et le futur a pris un coup de vieux...

Le plus majestueux des chênes n'était autrefois rien d'autre qu'un pauvre gland...

 

transmission-soundcloud

 

[ Dernière édition du message le 01/02/2022 à 07:45:25 ]

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Pour ce qui est de la conquête spatiale je dirais que le futur est arrivé bien avant les années 80. L'homme est allée sur la lune en 69 et avant ça la course à cet objectif avec la compétition USA-URSS a démarré quasiment à la fin de la guerre. Aux USA d'ailleurs le futur c'était dès les années 50, il y a qu'à voir les films de SF de cette époque. Les années 80 nous ont promis les voitures volantes et les robots serviteurs pour les années 2000 et on y croyait, la technologie étaient déjà dans nos vies : le minitel, les ordinateurs, canal+ la première télé payante avec son décodeur, la 5 et M6, les femmes aux seins nus en prime-time, la début de la pub à outrance pour une consommation à outrance. En matière de conquête spatiale certes il y avait la navette spatiale et la mystérieuse station Mir mais chez nous c'étaient surtout les échecs successifs des lancements d'Ariane...

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

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Hors sujet :
Les "échecs successifs d'Ariane", faut pas pousser quand-même : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_vols_d%27Ariane à comparer avec : https://en.wikipedia.org/wiki/Delta_(rocket_family)#Launch_reliability
On n'a pas à rougir.
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Hors sujet :
Oui je sais objectivement c'était pas si catastrophique mais quand on en a vu 2 ou 3 à l'époque en direct ou retransmis au 20 heures ça marque à vie et on n'en garde que des souvenirs négatifs, la fierté nationale en prenait un coup :mrg:

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

[ Dernière édition du message le 02/02/2022 à 00:31:44 ]

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Hors sujet :
Citation de kosmix :
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Hors sujet :
Oui je sais objectivement c'était pas si catastrophique mais quand on en a vu 2 ou 3 à l'époque en direct ou retransmis au 20 heures ça marque à vie et on n'en garde que des souvenirs négatifs, la fierté nationale en prenait un coup :mrg:

Moi c'est l'explosion de Challenger que j'ai vue en direct. Ça m'a impressionné, du haut de mes 9 ans.