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Les conneries. publiques !

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Sujet de la discussion Les conneries. publiques !
S'lut !

Fan assidu des rubriques "les conneries on stage" et autres "en home-studio", j'ai pu remarquer cependant qu'il n'éxiste pas de topic dédié aux anecdotes familiales ou amicales que le destin nous avait pourtant réservées.
Il en est pourtant de croustillantes, et qui divertiront + d'un musicien souhaitant faire... un break.

A cet effet, je propose donc que nous racontions ici toutes nos histoires sans rapport direct avec la musique (genre conneries lors du baptème du petit dernier etc).

A vos marques... Feu !
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Le mail est une bonne source de conneries... récemment, un client ricain me demande par e-mail quand il sera livré de son matériel (en retard par rapport au planning initial suite à maints tracas administratifs de leur fait). Je reply to all (il y avait plusieurs personnes de sa boîte, dont son director en copie) un délai qui n'a visiblement pas plu au director... lequel, croyant répondre uniquement à son employé, replies to all (je traduis...):

Citation : Dis à ce connard qu'il faut réduire le délai de 5 semaines !



J'ai hésité à lui répondre gentiment et puis, finalement non... :mrg:
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Avant de "monter" à Paris, j'ai bossé de à 86 à 89 dans une boîte qui fabriquait du matériel de fabrication de peinture.
L'entreprise fournissait notamment la Régie Nationale de tutures, dont les bureaux étaient situés à Billancourt, lieu où se prenaient toutes les décisions en matière d'achats.

Votre serviteur n'était pas moins qu'un autre débutant dans ses petits souliers lorsque Renault appelait à notre boutique. Un peu dans le même ordre d'esprit qu'un gamin à qui un Kyo, un Renaud ou un Aznavour en personne voudrait causer avec lui, tout-newb', musique au téléphone...

Ce jour là nous étions deux au bureau d'étude. Pas le chef. La secrétaire envoie bien sûr l'appel. La-haut, c'est mon tour de répondre : je décroche.
Horreur : au téléphone, le grand manitou des projets, à la tête d'une dizaine de méga-ingénieurs et de centaines de sous-fifres, que j'appellerai Mr DUBOIS et qui avait passé commande chez nous quelques semaines plus tôt.

Un chiant au possible, discutant au centime-près de la nécessité de la moindre vis (sur un projet de plusieurs dizaines de milliers d'euros d'aujourdhui), vous tenant une heure au téléphone pour savoir le nom du fournisseur du moindre écrou...
Enfin bref; le chiant dans toute sa splendeur, MAIS le gros manitou...


A un moment de la conversation téléphonique, pour pouvoir répondre à l'une de ses questions je le préviens que je n'ai pas le plan sous les yeux et que je vais chercher le plan dont il veut parler, afin de l'avoir tout comme lui sous les yeux.
Je pose donc le combiné et enclanche la touche "discrétion" qui permet d'entendre votre interlocuteur sans que toutefois lui ne vous entende plus.

Pendant que je suis en train de chercher le document, comme à chaque coup mon voisin demande machinalement "c'est qui (au téléphone) ?".
Je lui réponds : "c'est encore Dubois qui fait chier; j'sais pas c'qu'il a encore mais y commence sévère à me les briser etc...."

Sur l'entre-temps que je trouve le plan, mon collègue se fout de ma gueule because il était ravi que l'appel ne soit pas tombé sur lui : "C'est toi qui t'tape Dubois, euh; c'est toi qui s'tape Dubois-euh".
Le plan enfin trouvé, je me réinstalle et reprends le combiné.
Le plus natuerellement du monde je réactive la touche "discress" et demande "Allo, Mr Dubois ?..." Et là, Horreur-totale ! : le gars ne m'entends absolument pas parler !...

J'avais donc mal enfoncé la touche "discrétion"...
Je n'ai jamais su ce que le type avait entendu exactement des échanges limite infâmes que nous avions tenus -pensez donc que j'allais pas le lui d'mander !-, mais ce que je sais vraiment, c'est que mon pote et moi on n'était pas du tout à la fête; mais alors pas du tout - du tout - du tout !...

Même si peut-être au final il n'avait peut-être strictement rien entendu, allez savoir...
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Si t'avais posé le combiné micro tourné vers la table, clair qu'il a tout entendu.
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Hors sujet : (Billyyyyyyyyyyyyyyyyyyy...................... ! -soupir- :((( )

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J'ai connu une interne débutante et assez vive...
Lorsque des conversations téléphoniques se passaient mal, elle avait tendance (après avoir remarquablement pris sur elle pendant tout l'appel) de gueuler "quel connard !" puis de raccrocher violemment le téléphone.

J'ai tenté de lui expliquer qu'il serait profitable à la réputation de notre service de d'abord raccrocher violemment le téléphone, et ensuite de gueuler tout ce qu'elle voulait... :diable:
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Citation : un Kyo, un Renaud ou un Aznavour



Cherchez l'intrus :diable:
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(Petit rappel à tous : no comment please... TRES éventuellement en HS, sinon ça peut toujours partir en vrille et c'est ingérable après, compliqué à lire pour tout le monde qui vient passer ici un bon moment.

Bref : Des histoires ! Des histoires !...).

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Plein de fois je suis tombé sur un répondeur qui dit quelque chose du genre :

"Vous êtes bien ( ?!!) chez Untel, blabla, laissez-nous un message, et blabla". Et, en fin de message : pendant un long "silence" t'entends l'annonceur se dire tout bas -ou un conjoint- "bah sur quelle touche j'appuie, là ?... euh... ici tu crois ?"... biiip-biiip-biiip...

Assez ahurissant aussi, le coup des gens qui n'ont pas la moindre notion de la "prise de son" ni de ce que l'interlocuteur peut entendre en dépit de leur pseudo-"précautions" pour qu'ils n'en devinent rien. Qui imaginent que, tout comme dans les films, il leur suffit de masquer l'écouteur pour que l'interlocuteur -interloqué, pour le coup !- n'entende pas ce qu'ils disent en aparté.

Je connais un peu dans l'entourage une vieille dame qui n'arrête pas dans ce style : on l'appelle, et il FAUT qu'elle réfléchisse tout haut -croyant masquer le mic du combiné en y passant trois doigts à un bon centimètre, imaginant que la précaution soit suffisante pour brouiller le message-, et il FAUT qu'elle vous dise online qui est en ligne -ce dont premièrement vous n'avez que faire, principalement entre toutes les autres causes que vous ne connaissez ladite personne...-.


Grosso-modo-de-pas-AF, ça donne ça :

Drin; Dring (y'en a 7 ou 8 : ça marche en gros avec les décennies d'anniversaires, et c'est pour ça que je le dis presque avec tendresse):

"Allo, oui ?"
"...."
"Ah, Bonjour Madame pinchon (c'est Madame Pinchon)".
"..."
"Ah ben oui, ça va, je vous remercie (elle me demande toujours si je vais bien !)
"..."
"Non, ils ne sont pas venus hier, ils sont allés au cinéma et après comme il pleuvait, (blablablablabla...) (elle demande si Marc et Simone sont passés et... "non non, je dois encore demander à Thérèse de faire des courses comme c'était férié (elle demande si... etc.).
Etc. etc. ...

A des moments, sur certains passages, je passerais quand même volontiers la sourdine, voire me faufilerais dans un trou de souris, quand même...
C'est justement ces moments qui sont généralement choisis pour que ladite dame, remplaçante d'un perroquet, annonce fièrement à son interlocutrice que je suis de passage, que c'est une surprise et qu'elle en profite pour me passer le bigo, moi qui ne la connais ni des lèvres ni des dents...


Mais bon : moi, je suis vigilant de ce côté...
Euh... pas depuis que j'ai des notions de "son"; non... Plutôt depuis... un certain coup de fil échangé avec un Monsieur Dubois, de l'ex-régie Renault !... :oops:


S'lut !
258

Hors sujet : saimon > les trois, non ?

259
Moi, sur mon e-mail, un jour j'ai reçu ça :

Citation : salut nik! tu m'a troué le cul que tu m'a écrit que tu
n'était plus avec t'a mmeeeeuuuufffff. alors comme ça tu
vas aller squatter chez notre cher anne! si tu peux, fout
lui un coup de biloute de ma part, merci d'avance!
je ne t'ai pas écrit avant car je stresse pour mon
évaluation de lundi prohain. qd je stresse, je fait pipi
partout sur moi et ma mère du coup, elle est pas contente
et refuse de laver mes fringues. alors je passe mes soirée
à laver mes habits pour que je n'aille pas bosser avec des
vètements qui pue le pipi et du coup j'ai pas toujours le
temps de t'écrit. mais aujourd'hui, j'ai fait un noeud à
mon zizi et je me suis pas pissé dessus (pas con le did,
hein!)alors je te donne de mes news!
j'ai pas reçu de réponse de vanessa, salope. je voulais
juste qu'on se voit pour se faire du bien mutuellement,
mais de toute évidence, elle doit pas être d'accords.
à part ça, tout baigne. vivement que j'ai mon diplôme et
que je me casse de ce collège , je commence à en avoir
marre de bosser avec certaines personnes.
pendant les prochaines vacances, si ça te branche, on ira
se faire une bouffe tranquil
à plus mon frère
did

 Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/

 

260
:ptdr:
261
Une que je tiens de mon père (qui à mon avis doit etre 'achement connu aussi)...
Ah une époque il était responsable du personnel dans une boîte dans la Somme, et comme dans de nombreuses boîtes il y avait occasionnellement des stagiaires... Un jour en fin de matinée, un stagiaire peu futé, qui "travaillait" dans l'atelier, (le jeunot passait le balai, des trucs comme ça) alla voir son chef de service pour se plaindre de mal de dos ou un truc dans le genre. Le chef de service l'envoya voir mon père qui lui dit qu'il devait aller d'urgences à l'hopital que cela pouvait etre grave. Mon père fit un mot, en demandant gentillement aux médecins de bien vouloir ausculter le stagiaire pour cause de côtes en long (pour ceux qui savent pas ce que cela signifie, c'est la même chose qu'avoir un poil dans la main). Le gars tout paniqué va rapidement à l'hopital... Et pendant 4 heures, aucunes nouvelles... Mon père commença à se demander ce qu'il se passait... Il téléphona à l'hosto. et demanda des nouvelles du stagiaire... On lui répondit que les médecins étaient entrain de lui faire une tonne d'examens (radios, prises de sang....). Car ils ne voyaient pas trés bien où est ce qu'il avait les côtes en long... Mon père a du leur avouer ce que c'était un canular... Parait le médecin chef a très peu apprécié la blague :mdr: :mdr: :mdr:
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:ptdr:
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Quand j'étais étudiant (y a longtemps), je passe voir un de mes potes dans le laboratoire où il faisait son projet de dernière année (un truc qui nous prenait un semestre, en gros).

Il me présente ses acolytes, des chercheurs et des assistants de recherche du CNRS, et j'avise un des mecs qui se tient vachement raide (style "je suis militaire et j'ai la position normée officielle n°45"). Le type marche quasiment au garde à vous.
Je dis à mon pote, en douce : "dis donc, il a un balai dans le cul ton copain ? "
Et mon pote de répondre : "Ouais, c'est un peu ça en fait : il s'est fait opérer de la colonne vertébrale et il a une broche en acier chirurgical de 40 cm de long dans le dos."

Pfiouuuu, heureusement que j'avais pas parlé fort, je me suis trouvé un peu couillon sur ce coup.

:diable:

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

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Je viens de discuter à un voisin fraîchement installé chez lui (j'habite dans un petit village bien calme et mignon :bave: ), ce nouveau voisin s'appelle Maurad, il est trop trop sympa, et en discutant avec un de ses voisins qui étaient là avant, il a eu la surprise d'entendre le gars dire "ce qui est bien ici, c'est que c'est calme, et surtout qu'il n'y a pas d'arabe", ce à quoi Maurad a rétorqué, "ben si, y'en a un, moi", résultat le petit vieux était tout gêné :mdr: malgré que l'arabe en question ne l'ait pas du tout mal pris :)

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

265
Dans le Nord de la France où j'habitais, je connaissais vaguement le patron d'un bar bien sympa et dont j'avais su qu'il avait perdu son épouse quelques temps plus tôt.

On prend naturellemment un verre qu'un gars inspiré entre dans les lieux en se faisant remarquer -comme s'il n'était déjà pas suffisamment remarquable- non seulement en serrant la main à tous les clients (ce qui est une pratique assez courante notamment chez les Ch'tis et le Belges), mais en y allant carrément de son "salut fréro" -à moi; je ne le connais pas, ce type !-, de son "bise ma jolie miss" à une bonne dame attendant ici l'heure du prochain train, et terminant son tour de piste d'un viril "salut patron, comment va ta femme ?" à celui que ma toute-première ligne a visé...

"C'est la vie", me dit le taulier, en une sorte de fataliste haussement d'épaules...
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J'avais un gala dans la région de Béziers.

M'étant déjà pommé une demie-heure avant que ce récit ne débute, un gars m'avait fait prendre à travers champs pour rejoindre la départementale où je me trouve.

Mais bon, à force de tourner à nouveau en tous sens, ça (me) re-faisait bien une demie-heure supplémentaire que je tombais et retombais presque invariablement au même point (travaux, déviations, ...).

Sur le coup de 13 heures, la providence m'apparaît au loin sous la forme d'un homme. Je lui "fonce" évidemment dessus.
Apparemment, c'est un sujet local et, même si la vie m'a appris à me méfier des apparences, je pense de suite en m'en approchant ne pas être tombé forcément sur le plus fûté du coin...
Enfin bref, je me lance :
"Euh je voudrais aller à Trifouillis-('me souviens plus exactement aujourd'hui)-lez-Béziers..."

Et le gars de me constater quelques longues secondes avant de me déclarer, tout pensif et non sans s'être assuré que la voie semblait libre : "ben... allez-y !"...
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:ptdr:
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A l'époque (déjà lointaine) où je tentais difficilement de vivre de mon art à Paris, j'avais l'habitude de me rendre dans un troquet qui s'appelait le "petit Gavroche" où l'on servait un vrai repas pour 10 balles, vin compris. Le pb, c'est qu'il fallait souvent attendre qu'une place se libère. C'était l'occasion de se retrouver au comptoir avec quelques énergumènes qui ont certainement alimentés quelques brèves mémorables.

Un soir, donc, j'étais au comptoir à côté d'un individu bâti comme un roc, qui en était à son nième verre de marc de Bourgogne. Il avait les souliers qui commençaient à serrer un peu et c'est tout juste s'il ne criait pas "A moi les murs, la terre m'abandonne". Bref, ce monsieur et moi entamâmes une conversation à propos de nos actions respectives en mai 68 (on était dans les années 70') et chacun y allait de ses propres expériences. Autant dire que j'étais un peu trop jeune pour me faire remarquer en mai 68 (mais ce n'était pas le cas du bonhomme qui se disait chaudronnier et avoir envoyé quelques pavés dans la gueule de l'Autorité, depuis les barricades). Comme j'étais carrément sans complexe et l'avais quelque peu rattrapé sur le marc, je lui dit un moment que je me souvenais parfaitement de lui, sur les barricades, en 68, en train de balancer des pavés, puisque j'étais à ses côtés. Le bonhomme sembla m'écouter avec attention. Il en oublia même de siroter son n+1ème verre de marc. Puis il me toisa de la tête au pied comme pour essayer de trouver dans ses souvenirs embrumés si ma personne y avait élu domicile. En vain puisqu'au bout d'un moment il sortit une expression que je n'oublierai jamais (à dire avec des relents de marcs) :
"Toi, mon gars, en 68, ça m'étonnerait que tu me connaitrais" !
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:ptdr:
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Flag :bravo:
On va manger... DES CHIPS! T'entends, des CHIPS!
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Une que je tiens d'un collègue qui a un ami médecin proctologue (déjà, ça commence mal mais c'est vrai qu'il est pote avec un proctologue qui joue au foot avec lui). J'ignore si ce que je vais raconter est réel ou pas mais je crois l'histoire vraie volontiers. En fait, cette histoire prendrait tout son piquant racontée en langue corse (c'est ainsi qu'elle me fut contée) mais bon, je vais faire la traduction. Je prie à l'avance l'assemblée des lecteurs potentiels de bien vouloir m'excuser à l'avance des propos qui seront tenus ci-après et conseille aux "âmes sensibles" d'éviter de lire ce qui va suivre :lol: .

Un couple d'un certain âge (disons 70 environ) se présente chez le proctologue après un rdv pour un "problème" intéressant exclusivement le monsieur de la dame. Vous savez ce que c'est chez les vieux couples, ils ont du mal à se séparer et les hommes, oui surtout les hommes, ont une trouille bleue du médecin (ou plutôt de la maladie...). Alors, le monsieur a demandé a sa dame de l'accompagner pour le soutenir psychologiquement au cas où...

Le proctologue demande donc au monsieur de se déshabiller. La dame reste proche de son époux, toujours au cas où... Quand le monsieur est en position, le médecin s'apprête à pratiquer un toucher comme sa profession le lui autorise, voire l'engage. Au moment de l'introduction, le monsieur ne peut s'empêcher de pousser un cri de douleur... C'est alors que son épouse prend un air moqueur et lui dit : "Ah, tu comprends maintenant !".
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Moi, j'ai un pote qui passe son temps à faire des trucs genre chier du balcon au 4ème étage, faire des strips-tease dans la rue, toussa...Il en a même fait un site
On va manger... DES CHIPS! T'entends, des CHIPS!
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Ben le lien ??? :(

Je suis Charlie

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Excellente celle du proctologue.

J'ai un pot qui est gastro-entérologue (avec ou sans h ?), je crois. Pas proctologue. Mais sa spécialité consiste aussi à aller voir dans le trou du cul des gens.

Il est très toubib dans ses attitudes. ça ne l'empêche pas d'être sympa, mais il a tendance à garder cette attitude "spécialiste", voyez. Donc de temps en temps, pour le faire un peu redescendre parmi nous, on lui rappelle qu'il est trouducucologue.

ça le fait rire... jaune.

On a pensé, pour un 1er avril, aller remplacer sa plaque en mettant évidemment notre dénomination à la place de sa spécialité.

Hélas, ou heureusement, on a appris qu'il serait en vacances pour 8 jours à cette période.

On garde ça pour l'année prochaine...
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Le site: http://exibrice.skyblog.com

Pour voir les vidéos, il faut bien lire l'article d'introduction...Mais y'a pas le chiage du balcon.
On va manger... DES CHIPS! T'entends, des CHIPS!