Les conneries. publiques !
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Hit !

Fan assidu des rubriques "les conneries on stage" et autres "en home-studio", j'ai pu remarquer cependant qu'il n'éxiste pas de topic dédié aux anecdotes familiales ou amicales que le destin nous avait pourtant réservées.
Il en est pourtant de croustillantes, et qui divertiront + d'un musicien souhaitant faire... un break.
A cet effet, je propose donc que nous racontions ici toutes nos histoires sans rapport direct avec la musique (genre conneries lors du baptème du petit dernier etc).
A vos marques... Feu !

Anonyme

 
   
   
 Une fois j'ai passer quelques heures au poste par ce qu'au fait j'était à une teuf et on était tous déguiser mais super bien (pompier,gigolo pour quelques gars) et je commance à sortir (j'était sapé en meuf
 ) et je commance à voir un mec dans la rue sapé en flic je commance à m'approcher je le branche et tout (Tention c'était juste pour rire Heing n'imaginez pas des choses
 ) et je commance à voir un mec dans la rue sapé en flic je commance à m'approcher je le branche et tout (Tention c'était juste pour rire Heing n'imaginez pas des choses  ) 'fin bref j'le branche mais le problême c'est que ce mec était un vrai flic
 ) 'fin bref j'le branche mais le problême c'est que ce mec était un vrai flic 

greg lefonctionnaire

à chaque fois que quelqu'un l'interpelle pour demander son chemin, (ça arrive régulièrement à tout le monde), il s'amuse à les planter...Je veux dire, que d'un air assuré, il indique un chemin complètement bidon...
 
 C'est nul ça non ?
Je suis Charlie

ibraz



Hit !

Je fus en effet victime de ce genre de complot, un jour que j'allais faire une de mes premières "première-parties" en plein air, en l'occurrence de feu C.Jérôme, dans un patelin du Nord qui n'apparaissait sur aucune carte...
Z'imaginez un peu le stress du jeunôt (j'vais le permis depuis peu) et qui se sent ne jamais arriver à force d'être trimballé du Nord au Sud et du Sud au Nord...
En plus de ça, on entendait au loin les premiers essais de balance : c'était bel et bien dans le coin... mais comment s'y rendre, lorsque le premier venu -qui inspire confiance- vous indique un coin perdu, et que le second (idem : un bon vieux gars du coin) fait de même, pile dans l'autre sens...
Ah ! j'te jure... Les bourriques !...

Anonyme

Depuis je ne peux m'empêcher de me marrer quand je le vois passer dedans.


Anonyme

 ça c'est un super coup de pioute
 ça c'est un super coup de pioute  

greg lefonctionnaire


Je suis Charlie

Guillal

 MDR se thread!!!
 MDR se thread!!!A midi je vous raconte comment je me suis payé la honte de ma vie
 En parlant anglais!!!
 En parlant anglais!!!On me chambre toujours pour cette bourde tellement je m'étais ramassé!!!
 
  
   wait and see...
  wait and see...
Will Zégal

Premier voyage en Grèce, ado. Rendez-vous pour l'apéro du soir dans un bar appelé je crois "le Castro bar", un bar branché (et très gai) de Mikonos, planté en haut d'une falaise avec grande baie vitrée pour vue sur le coucher de soleil sur la mer.
 
 Je vois un couple d'homo et je leur demande :
"Hi. I'm sorry, but could you tell me where the Castro bar is, please ?
- Vous êtes français ? Suivez nous, on y va justement !"
Bravo pour anglais !
 
  (au passage, gay ou pas, Mikonos, c'est à faire absolument. Mais hors saison. J'y étais fin juin et c'était déjà pas mal bondé, mais raisonnable. En voyant la foule qui débarquait du bateau que je prenais pour repartir, j'étais bien content d'aller voir ailleurs)

KoalaMan


On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.

Will Zégal

"Vous voyez le feu, là bas ? Ben vous prenez à droite. Ensuite, vous faites à peu près 400 m et vous prenez à gauche. Vous verrez ensuite sur la droite une petite maison jaune. Au carrefour suivant, vous verrez une pate d'oie. Il faut prendre la rue qui part à 30°. Puis vous faite 2 km et vous tombez sur un rond point et vous prenez la troisième sortie. Ensuite, vous faites 300 m et vous allez voir un château d'eau, vous prenez alors la troisière à droite. Vous allez arriver près d'un grand bâtiment et vous prendre tout de suite à gauche.
Vous me suivez ?
- heu... oui
- Bon ben c'est pas ça du tout."

Guillal

 
 Le coeur qui bat à fond là.. tou doum tou doum...
Vàlà, Ca c'est passé au cours des vendanges dans la petite entreprise viticole de mon pôpa!! (très bon vin, utile pour faire la vaisselle, les salades ou même laver les vitres.. bref du pinard quoi!!
 )
 )Durant les longues soirées, je sympa "tisais" avec certains des vendangeurs... Dont parmi eu une Canadienne (c'est comme les italiennes mais avec l'accent anglophone
 ) qui était là avec son copainG de montpellier (et environ) qu'elle avait rencontrer au cours d'un voyage en inde... (si il lit se post
 ) qui était là avec son copainG de montpellier (et environ) qu'elle avait rencontrer au cours d'un voyage en inde... (si il lit se post   )... Bref une joyeuse bande...
 )... Bref une joyeuse bande...On entame les festivités... Avec une bouteille... On fait santé... "Et santé bonheur" comme il disent en France......
Là hic.. la canadienne se met à se poiler de rire... Je lui demande pourquoi.. elle me répond que bonheur en anglais ça donne boner..
Pour info: to have the boner=Le chapiteau est monté!!!
 
  
 spa fini, attention!!! ça ne fait que commencer!!!
Malheureusement!!
 
   
 Au cours de la soirée, on déconne, on boit des gorgeons.. quand tout d'un coup, elle sort un bâton d'encens pour nous raconter son parcour en Inde... elle l'allume... Pi elle continue... Au bout d'un moment, la cave était bien encensée... Sa devenait envoûtant!!! C'est à se moment qu'elle décide d'en rallumer un, de ses bâtons... Moi, n'appréciant pas forcemment cette univers suffoquant... Ben ouai, quoi, j'suis un vrai chuiche qui n'aime l'air de la montagne!!!
Je lui dis... scuse moi, mais j'aime bien l'air frais...
elle : what!!?? Don't undestood... (bla bla d'anglophone à la con..)
Et là je lui sors avec un bon accent franco-anglais: Sorry, i like the.. the bon air!!!! (boner)
Elle
 
 Moi
 
 Là s'en est suivi un calme assourdissant puis le plus gros fou-rire que j'ai jamais vécu!!!
 
   
   
  
   
   
  
   
   
 triple pétade de rire!!!!
Depuis elle m'aime bien

Plus jamais revue depuis
 
  

Anonyme

Citation : enssems
 
  
 encens, tout simplement...

Guillal

 
 I like the boner!!!

Will Zégal

 
 Tu lui a pas démontré ?

Hit !

Il faut que je vous raconte l'histoire de l'impérméable de Willy, non sans vous avouer m'être dit un jour : "y'a des dingues, sur ce site : il y en a qui ont plusieurs centaines de messages, et certains bien davantage encore !"...
Mais voici une histoire que raconte encore parfois à 85 ans ma chère "marraine", dont je vous ai déjà parlé.
Dans les années '50, deux couples de la famille -dont elle et son époux-, partant de Bruxelles en voyage pour l'Italie, s'arrêtent pour déjeuner (on dit d'ailleurs "diner" en Belgique -comme en Suisse ou au Québec, concernant le repas de midi-) et manger, donc, au hasard d'un des innombrables petits restaurants situés sur l'une des 5 ou 6 étapes -tout aussi hasardeuses- que compte le voyage.
Avant cela, Willy s'était acheté un chapeau neuf et un imperméable (je me demande encore pourquoi : l'Italie, sur Juillet...).
Enfin bref : ils sont là, tous les 4 dans ce restaurant, finissant de manger.
Ils en viennent à régler l'addition, juste avant de reprendre la route.
Au moment de partir, le "héros" de notre histoire s'aperçoit, en remettant son chapeau, qu'il est trop petit pour lui.
Le voyant se poser bien des questions avec "son" chapeau neuf, le propriétaire légitime du couvre-chef rigole à une table voisine, se rendant bien compte que ce Belge, sur le compte desquels on ne formulait encore pas tant d'histoires, s'est tout simplement trompé de porte-manteaux en se rhabillant.
Un bref et courtois échange a lieu, Willy récupérant son bien dans la minute, le tout déclanchant une franche rigolade parmi tous les convives, à cette époque où l'on savait rire d'un rien, par la donnée qu'on avait principalement appris au sortir de la guerre à savoir rire de tout.
Mais ce n'est pas que sous cet aspect, on va le voir, que cette histoire est la plus drôle.
Ni pour autant moins impensable. Du moins, de nos jours.
La route pouvant alors être reprise, elle le fut.
Précisons ici que dans les années '50, AUCUNE autoroute n'est sur le trajet qui sépare Bruxelles de Milan. Ni du reste Bruxelles ou Paris de toutes les autres villes de l'Europe de l'époque... Le téléphone, quant à lui, étant presque exclusivement réservé à l'Armée et à quelque "élite".
Précision utile étant faite, la grande escale suivante -celle de la nuit, celle de l'hôtel- se situe à plusieurs longues heures, évidemment, du lieu que nous venons de viser avec "notre" chapeau.
Alors Willy, puisque c'est son prénom (Van Cauwelaert puisque c'est son nom -à priori rien à voir avec l'écrivain, mais le père d'un footballeur qui laisserait ensuite quelque trace en Belgique-), Willy sort ses bagages de l' "auto" et met son manteau.
Tous arrivés dans le hall de l'hôtel, il fouille dans ses poches, comme on le fait machinalement lorsqu'on "patiente" debout pour un enregistrement de chambre.
Il en sort négligemment un mouchoir, que son épouse remarque immédiatement ne pas être le sien...
Une inspection en règle s'ensuit dans la seconde : en sort alors un porte-monnaie inconnu ainsi qu'un trousseau de clefs d'une voiture...
Willy s'était aussi trompé d'imperméable !
Etant tout neuf -nul regard n'y étant donc habitué-, personne n'avait évidemment remarqué la méprise au sortir du restau.
Un autre client du lieu en avait probablement acheté un qui soit en tout point similaire, sinon parfaitement semblable...
Si, de +, il était aussi distrait que Willy, et que le hasard s'en mêla, l'histoire fut absolument faite !
Lauqelle histoire ne dit au reste pas comment ce dernier put reprendre la route dans l'après-midi, privé de ses clefs qu'il était...
On dit seulement que Willy eut quelque mal à s'endormir ce soir-là, même en pensant à un "double" de clefs, puisque personne ne pouvait remettre un nom -même approximatif- sur celui de l'enseigne qui les avait trouvés une escale plus tôt, plusieurs heures avant, en train de "déjeuner" sous elle...
Ah !
Si vous pouviez voir ma chère "marraine" de 85 ans, et l'entendre raconter son histoire en en riant comme au tout premier jour...
S'lut !

Guillal

 
 Citation : Le boner c'est le bonheur   
Tu lui a pas démontré ?
 Je ne tairais mot!!! (ou un truc comme ça!
 Je ne tairais mot!!! (ou un truc comme ça!  )
 )
blooopp

Citation : Je ne tairais mot!!! (ou un truc comme ça! )
Peut être plus adapté :
Je ne piperais mot!


Will Zégal

Enfin, c'est un bon petit travail, et toute cette sorte de choses

Guillal

 HOHOHO C'est très fin tous cela!!!
 HOHOHO C'est très fin tous cela!!!  

tkc_toub

le personnel est organisé en equipes ,qui n'oublient pas de jouer des tours aux débutants....
Le voila donc qui organise une blague pour le derniers " candide" venu!
L'équipe décide de se relayer pendant deux semaines , un part un , et de venir avec du materiel de peche et un poisson bien frais.
Ensuite chacun leur tour ils font semblant de pecher dans les bassins d'eau de l'usine ( prévu pour les pompiers ...) et exibent ensuite leur peche "miraculeusent" devant le nouveau.
passe une semaine ... le nouveau mord pas.
le mercredi d'apres le voila qui arrive avec des caisse et un drole d'attirail... de peche!
Et il s'installe au bord du bassin en disant " ya pas de raisons que j'en profite pas moi aussi! ".
une autre avec le meme candide, dans la meme raffinerie :
daniel lance a la cantonnade lors de la pose café : et les gars si on se fesait un barbecue vendredi pendant la pose ? les colegues ( prévenus) ouais bonne idée moi je prend les merguez , tiens mois je prend l'anis ....Etc
daniel n'oublie pas de dire au bleu : va prevenir le chef qu'on l'invite a un barbac vendredi a l'heure de la pose!
le bleu s'en va au bureau du chef:
chef on fait un barbecue vendredi ya tout de prévu , marcel prend les merguez , dani l'apero ...
le chef : un barbecue
 dans une raffinerie de pétrole
   dans une raffinerie de pétrole   
  
j'en garde pour la semaine prochaine ..

miles1981


Audio Toolkit: http://www.audio-tk.com/

Hit !

Hors sujet : Revenons-en donc vite aux anecdotes vécues et conneries.publiques, please !
Je sais : c'est un peu frustrant, mais on a vu dans plein d'autres sujets que les commentaires ont tôt fait de polluer, à force de slalomer...
Soyez gentils, si vraiment vous ne pouvez pas vous retenir, de mettre juste un mot alors, et toujours en "hors-sujet". 
Permettez-moi de profiter néanmoins de cet aparté (bah vii... vu qu'c'est c'est moi que j'suis l'chef des conneries.publiques, alors !...) pour saluer et remercier tout le monde, tant pour la bonne tenue et la clarté de ce forum, qui m'a fait -et je ne suis pas le seul !- éclater de rire à bien des reprises...
Continuons...
S'lut...

pulvonium

Je suis trop jeune pour l'avoir vécu. Mais à la grande époque des hôpitaux psychiatriques, ces établissement immenses étaient divisés en pavillons numérotés. Y avait des pavillons pour femmes et d'autres pour hommes.
Et quand un nouveau soignant arrivait, on lui donnait une liste de pavillons dans lesquels il devait se rendre avec mission de ramener un urinal...
...et évidemment, on lui donnait que des numéros de pavillon de femmes
 A chaque pavillon, il y avait une bonne âme pour lui indiquer les réserves en matériel où le bleu cherchait désespérément cet objet bien inutile en un tel lieu...
 A chaque pavillon, il y avait une bonne âme pour lui indiquer les réserves en matériel où le bleu cherchait désespérément cet objet bien inutile en un tel lieu...Le mec passait sa première journée en vaines recherches, et rentrait le soir bredouille...


Hit !

Dans la boutique (mécanique) d'un ami, (laquelle comptait une quarantaine de personnes aux moments de l'emploi), un téléphone avait été placé dans l'atelier, afin qu'en cas d'absence du paton et du chef, l'un ou l'autre ouvrier puisse répondre néanmoins aux appels des clients sans salir ni le fauteuil ni le combiné des gradés...
Une fois le patron parti en rendez-vous et en l'absence du chef (ce qui arrivait plusieurs fois dans l'année), la blague au petit-nouveau consistait en ce qu'un ouvrier -spécialisé peu à peu en canulars- appelle discrètement (d'une ligne interne du bureau), mission ayant été préalablement confiée au newbie de décrocher en cas d'appel...
Bah vii, vu que c'était évidemment lui qui était le + près de la sonnette, hein, et donc implicitement le + idéalement placé pour décrocher, hein...
La sonnette ne se privant fort évidemment pas de retentir, le spectacle en entier pouvait commencer...
Les blagues étaient très variables : avec maints subterfuges (trop longs à décrire), le gars qui "appelait" se présentait avec habitude et sans la moindre équivoque comme l'amant du patron, lui confirmant je ne sais quel rendez-vous galant le 12 (évidemment, les anciens regardaient l'agenda du patron pour que, ultérieurement, ça puisse coller!).
A un autre nouveau, on demandait de surtout confirmer à Marcel (le patron, donc), que toute la cargaison de je ne sais quel whisky dérobé était bien arrivée à destination, qu'il n'avait plus à s'inquiéter de rien...
Le pauvre gamin -ça embauchait jeune (je dis ceci avec autant d'admiration que de regret)- avait beau tenter de se débattre au téléphone : "Euh... monsieur, vous faites erreur : je ne suis pas Edmond, je suis nouveau et..." l'autre l'interrompait d'un ton convenu, style : "oui, ça va, tu me l'as déjà faite celle-là, elle est bien bonne, mais je t'ai reconnu. Bon; surtout n'oublie pas de bien lui dire, hein ! Salut". Pouf. Raccroché.
Le pauvre ch'ti nouveau, se croyant dans une confidence innomable, passait l'après-midi tout contrit de telles nouvelles concernant son boss ( une telle histoire est parfaitement impensable de nos jours, où l'on aurait tôt fait d'alerter tout le monde pour "rire" ), se trouvant au surcroit transi de honte d'avoir à annoncer sa commission au patron...
Imaginez l'ambiance dans l'atelier en le regardant, tous les gars étant dans la combine...
Au retour du patron, la joie était au total du comble : imaginez le jeune escalader les escaliers et aller raconter son message au fameux Marcel (qu'on voyait, de l'atelier), lequel Marcel tombait -forcément- des nues...
Ce genre de manège a duré des années.
Le patron avait fini non seulement par comprendre que c'était toujours un débutant qui lui annonçait des trucs impensables, mais, plus fort : pas si con, il avait fini par... entrer dans le jeu de ses gars !
Belle fraternité.
Je sais que dans quelques temps on dira de ce genre de récit qu'il est has-been (terme d'apparence indémodable), et que c'est pas bien, mais alors pas bien du tout, sortant les épouvantails possibles du bizutage -lequel EST condamnable-...
Bof...
Plein de gens -en ce compris la "victime"- en faisaient des gorges chaudes aux réveillons et, tenez : moi qui suis juste à l'âge d'entre jeune et vieux, je regrette presque autant qu'eux cette époque... que je n'ai pas connue. Je n'en retiens que leurs rires.
S'lut !
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