Les conneries. publiques !
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Hit !
Fan assidu des rubriques "les conneries on stage" et autres "en home-studio", j'ai pu remarquer cependant qu'il n'éxiste pas de topic dédié aux anecdotes familiales ou amicales que le destin nous avait pourtant réservées.
Il en est pourtant de croustillantes, et qui divertiront + d'un musicien souhaitant faire... un break.
A cet effet, je propose donc que nous racontions ici toutes nos histoires sans rapport direct avec la musique (genre conneries lors du baptème du petit dernier etc).
A vos marques... Feu !
Hit !
Son train démarre dans 20 minutes. On boit un pot dans le bistro style "années'70 pas rafraîchi" donnant sur les quais.
Installés dans cet endroit plutôt silencieux à cette heure, je tourne le dos à la porte d'entrée la + proche lorsqu'un client se pointe.
Face à moi, la copine qui se marre discrètement en me faisant remarquer que le type qui vient d'entrer ressemble trait-pour-trait à Fernandel.
Le gars s'installe au "bar" (du coup, il se trouve dans mon champ de vison) : je conviens dans un sourire complice que la ressemblance est, effectivement, bien vue...
A peine je finis de le lui faire savoir qu'elle recrache presque par le nez son jus-de-fruits : un autre type a fait son apparition, qui a toutes les apparences de Raymond DEVOS !
Cette fois, je ris + franchement et lui glisse pour plaisanter : "à ce tarif, tu vas voir que le prochain qui va entrer, ce sera Charlot...".
Quelques minutes se passent, on a presque oublié l'affaire lorsque, l'heure du train approchant, et pile au moment où je retourne vaguement mon oeil vers les quais, on voit entrer...
Oui !!!!! !!!!!!!
=> Hurlements de rires simultanés avec, autour, des gens qui ne comprenaient pas cette explosion de joie !
oryjen
C'était il y a environ 6 ou 7 ans. Je roulais dans une vieille Croma TDiD, dont la carrosserie annonçait à peu près clairement l'état de mes finances à qui voulait bien se donner la peine de se poser la question.
Ajoutez à cela ma coupe de cheveux... euh disons "vintage", et une voiture de flics bizarrement stationnée pas franchement en plein milieu du rond-point que point ne pouvais éviter, mais presque...
Ingrédient indispensable à la bonne comprenette du merdier: J'habite en pleine cambrousse et je chauffe au bois. J'ai trouvé un truc super-rapide et super écolo pour allumer un feu, un barbeuq (ou un barbu): Ca pousse dans les arbres, ça finit par tomber par terre, et y en a des super-grosses sur la route quand je rentre à la maison. Souvent je m'arrête dans la montée et j'en ramasse qqs-unes pour la semaine.
Bon alors ces sales flics, sitôt que je les vois, j'y peux rien, je me crispe. A l'époque j'avais un CT en bonnet difforme, donc c'était pas ça. Mais chépas, pas vraiment par principe... par réflexe, disons...
Je suis arrêté avant de m'engager sur le rond-point. Ils sont là, à 10m à gauche. Personne d'autre. Mon attente commence à devenir suspecte.
Merdre. Que faire?
Bon, je me dis, n'aggravons pas la suspicion légitime des pandores (chuis pas naïf cammèmeu, je connais bien l'état de ma voiture et celui de ma tronche), allons-y.
J'engage UNE roue, et patatras, sirène, gyrophare, et haut-parleur "garez-vous!"
J'opte en père, coupe le moulin, descends. Eux aussi. Ils sont 5!
Haglaglagla!....
Tandis que l'un m'arrache mes papiers, les 4 autres se mettent à FOUILLER LA VOITURE!
Ca m'était jamais arrivé de ma vie, ça.
Comme j'étais mal! Comprenez-moi: 4 types que je ne connaissais ni Dave ni des dents mettaient le bordel dans ma voiture (c'est-à-dire, je suppose, qu'ils la rangeaient, parce que c'était déjà le bordel, comme toujours. C'est pas une voiture, c'est un camping de portugais).
Je savais bien qu'ils avaient le droit, PUISQU'ils étaient déguisés et qu'ils portaient tous un pétard, mais putain ça fait drôle... Sans le pétard je pense que comme tout un chacun en pareille circonstance je leur aurais volé dans les plumes.
J'aime pas qu'on me range ma voiture, moi!
Rien, bien sûr. Je fume pas, je me drogue pas, je séquestre pas des enfants ou des vieux ligotés dans mon coffre, et je picole pas en conduisant.
En plus j'avais même pas eu le temps de commencer à faire les courses (oui le rond-point en question est devant le supermarché, où je venais pour faire mes courses de la semaine).
Bon, chépas pourquoi, y'en avait un des 5 qui avait l'air bien plus sale-con que les autres.
Voilà-t-y pas que cet abruti se penche sur mon siège, et retire de la charpie qui avait été un jour une jolie housse de protection à 6 euros 60 UN PETIT OBJET, qu'il me brandit sous le pif d'un air triomphant, en me faisant:
"Et ça, qu'est-ce que c'est, ça?"
Moi je regarde le truc, bien ostensiblement sous tous les angles, et je lui fais:
"Bin ça c'est une écaille de pomme de pin".
Bien sûr j'ai ajouté "crétin" in petto, mais c'était pas la peine, car j'ai vu sur sa gueule immédiatement déconfite qu'il venait juste de parvenir à la même conclusion.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 25/04/2016 à 19:52:32 ]
Elemmir
On se gare à une pompe à essence, on range notre "matos", on allait faire le plein, quand soudain, une voiture de keufs surgit...
Visionnage des papiers par un tandis qu'un autre nous surveille et le troisième fouille notre camping roulant...
Première sortie du troisième tendant une fourchette, nous demandant ce qu'on fout avec ça...
Mon compère de répondre "ben, j'essaye d'arrêter..." Nous deux pliés en 4, les flics un peu moins.
Le troisième continue sa fouille, et ressort tout fièrement avec un bocal de cassonnade et lance: "Et ça! Qu'est-ce que c'est?!?" (on dirait une réplique récurrente chez eux).
Et moi de répondre "ben, du sucre brun" (pour ceux qui ne le savent pas encore, "brown sugar" est un surnom de l'héroïne chez nos amis anglophones) et re-bidonnage de nous deux, flics vexés bien sûr, mais comme c'était vraiment de la cassonnade... et qu'ils n'ont rien trouvé d'autre (et pourtant, y avait de quoi faire), nous sommes partis après 45 minutes de contrôles.
La flemme est l'avenir de l'homme. Pff, jsuis fatigué je ne vais pas plus lo..
[ Dernière édition du message le 25/04/2016 à 20:07:51 ]
Ny Batteri
On était à 2dans une Picasso blindée de matos. Vla-t-y pas qu'à la sortie d'un des nombreux péages, on tombe sur la douane, qui nous intime l'ordre de nous ranger sur le côté. On n'avait pas grand chose à se reprocher, mais y'a comme même toujours ce petit stress qui monte instantanément. Et voilà que l'un des 2 me demande "Vous êtes musiciens" ?
Je me vois déjà vider la bagnole de fond en comble...
Eh bein en fait non, il devait être amateur de musique car il nous a laissé repartir sur le champ
La vraie virtuosité, ce n'est pas plein de notes dans tous les sens, mais plein de sens dans toutes les notes
sqoqo
Caisse chargée à ras bord de matos. On est deux.
Concert dans deux heures et demi et on est juste pour les balances, car embouteillages.
La voiture cale. Impossible de redémarrer.
Klaxons, bouchon à cause de nous.
Deux motards de la police arrivent, demandent ce qu'il se passe.
Ni une ni deux, l'un descend de sa moto et vient pousser avec moi, l'autre ouvre la voie
Dans l'effort, on tchatche : il est musicien, dans un groupe de blues-rock, en galère de bassiste ... Classicshit quoi
Le moteur repart.
oryjen
... et il t'a embauché?
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Anonyme
berl
En légère surcharge de sono (involontaire je précise, je n'ai pas de bascule à la maison) on regarde passer mon vieux C25... en me faisant signe de me mettre sur la droite. Bascule ? Eh bien non, ils ont des balances de roues
Pas chiens, ils nous ont ouvert la voie jusqu'à un loueur de voitures à une dizaine de km de là, ce qui nous a permis de transvaser pour finir la route.
Au retour, j'ai passé du matos à tous les copains pour être "dans les clous". Enfin, à vue d'oeil
Bernard
http://sonotrad.org --- http://diato.org --- "Collectionneur" de tables numériques Innovason et de micros DIY --- Fer à souder toujours chaud...
Hit !
Merci les gars ! Vous m'avez réservé un chouette gâteau d'anniv'
J'ai dû raconter déjà l'histoire d'un flic (pas du tout un ravagé : un mec normal, pas emmerdeur) de mon ex belle-famille. Qui se félicitai en l'occurrence qu'on ait enfin posé un radar sur une portion de route qu'il employait le week-end pour aller en Normandie le Week-end...
... Bah là, non seulement il s'est fait prendre à ce radar (lui, qui conduit systématiquement dans les limitations), mais comme c'en était l'inauguration, il a eu droit aux journalistes et aux félicitations du sous-préfet... celui-là-même qui l'avait décoré d'une fougère quelques semaines + tôt !
oryjen
... cammèmeu...
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
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Zyglrox
Cette histoire me fait penser au maire du bled ou je vivais, gamin, qui décide de mettre 2 dos d'âne en amont et aval de route passant devant la mairie. Les dos d'âne sont trop courts pour la hauteur qu'ils font (il y a des normes en principe).
Le lendemain de la construction, le maire arrive à 8h du mat à la mairie...et à laissé le pôt de la BM, trop basse, sur le premier dos d'âne...
Dos d'ânes refaits aux normes rapidement du coup..
"If you have a good set of earplugs, you can crank it up to 5 or 6 and it will crush small villages."
"Everything is context"
Hit !
oryjen
'culé d'élu.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Hit !
Là était une route (principale) qui traversait une ville, en périphérie directe de Lille.
Les 2 (ville et route) existent encore.
Lille aussi semble avoir survécu a cette anecdote
Dans un "beau" jour que j'emprunte cette fameuse route (revenant ainsi des années + tard sur mes lieux d'adolescence), je me laisse surprendre au dernier moment par un stop, un stop complètement inattendu !...
Trop ravi de n'avoir pas provoqué d'accident (c'est pas hyper fréquenté, mais on n'a pas le temps de penser à ça sur le moment), je redémarre donc et puis je réfléchis...
"A quoi donc peut bien servir ce stop, totalement inexistant dans les décennies qui ont précédé ? (mon grand père conduisait déjà dans le coin dès mes + jeunes âges; j'y ai conduit moi-même bien des fois et je connaissais toujours "hyper-bien" ce quartier)...
Piqué à vif, je m'en retourne sur les lieux : renseignement pris dans l'entourage immédiat -un bistro où se trouvait une ancienne connaissance-, il s'agissait là de la dernière facétie d'un adjoint au Maire, lequel ayant cure d'attendre le matin que ladite route se dégage pour pouvoir passer à son tour, avait fait installer quelques mois + tôt toute une signalisation, afin qu'il ait toujours le passage prioritaire à lui en sortant de son petit chemin privé...
Voui Môsssieur !
oryjen
Me rappelle une sale histoire de dos d'âne aussi dans le village ardéchois (au célèbre blanc mousseux) où je grandis.
Le maire était vissé à son fauteuil depuis plus de trente ans, se croyant tout permis (logique émoussement du sens moral le plus élémentaire, pauvret, quasiment amputé, qu'il en était).
Il s'était arrangé avec le grossium local du BTP pour faire réaliser un dos d'âne en goudron d'un modèle apparemment très banal près du stade, où les sorties de match s'avéraient peut-être en effet un peu agitées le dimanche après-midi.
Je pense que sous le goudron devait se trouver la réserve financière de la commune pour environ les cent ans à venir (en lingots d'or), parceque Mister Tractopelle avait facturé l'ouvrage 140000FF (le prix d'une maison décente à l'époque) à la commune, c'est-à-dire à Papa et Maman, ainsi qu'à tous les voisins de la rue, avais-je cru comprendre.
Ca s'était ébruité...
Bidule venait de faire son dernier mandat...
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[ Dernière édition du message le 04/05/2016 à 02:50:04 ]
Javier Guante Hermoso
Dans le style, connerie publique mais en l'occurrence pas nécessairement drôle, on avait eu dans le Nord un jour une belle surprise.
Là était une route (principale) qui traversait une ville, en périphérie directe de Lille.
Les 2 (ville et route) existent encore.
Lille aussi semble avoir survécu a cette anecdote...
Dans un "beau" jour que j'emprunte cette fameuse route (revenant ainsi des années + tard sur mes lieux d'adolescence), je me laisse surprendre au dernier moment par un stop, un stop complètement inattendu !...
Trop ravi de n'avoir pas provoqué d'accident (c'est pas hyper fréquenté, mais on n'a pas le temps de penser à ça sur le moment), je redémarre donc et puis je réfléchis...
"A quoi donc peut bien servir ce stop, totalement inexistant dans les décennies qui ont précédé ? (mon grand père conduisait déjà dans le coin dès mes + jeunes âges; j'y ai conduit moi-même bien des fois et je connaissais toujours "hyper-bien" ce quartier)...
Piqué à vif, je m'en retourne sur les lieux : renseignement pris dans l'entourage immédiat -un bistro où se trouvait une ancienne connaissance-, il s'agissait là de la dernière facétie d'un adjoint au Maire, lequel ayant cure d'attendre le matin que ladite route se dégage pour pouvoir passer à son tour, avait fait installer quelques mois + tôt toute une signalisation, afin qu'il ait toujours le passage prioritaire à lui en sortant de son petit chemin privé...
Voui Môsssieur !
C'était où?
Anonyme
Un président de conseil général, PS, se prenait régulièrement le chou avec son opposition UMP, au sujet d'arbres bordant une route nationale très empruntée, l'opposition arguant non sans raison que ces arbres étaient ptet bien jolis, mais que c'était ultra meurtrier sur une telle route.
Des conseillers généraux écolos ont fait des pieds et des mains pour que les arbres soient conservés, et ils ont donc pas été coupés, Idefix a probablement remué la queue plusieurs fois.
Par une triste et incroyable ironie du sort, ledit président de conseil général s'est tué en voiture en pleine nuit, s'encastrant pile dans un des arbres litigieux....
Anonyme
Anonyme
Jay f.
Ca me fait penser ...
We're born naked, wet and hungry. Then things get worse.
http://soundcloud.com/jay-f-2
oryjen
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[ Dernière édition du message le 04/05/2016 à 19:31:05 ]
Hit !
Citation :C'était où ?
Dans les environs des lieux où ont vu le jour Marthe Richard et Bruno Coquatrix; je te réponds + précisément en mp, "to protect the guilty"
Hit !
L'effet dure très peu de temps; il faut cependant détailler.
Ca se passe à Paris, chez des amis, 3ème étage.
C'est un lendemain de veille. Je veux dire : pas trop réveillé au moment de ma sempiternelle clop' du matin.
Je me déploie les bras et me dirige poussivement "dehors", pour fumer sur le petit balcon.
A mon regard engourdi s'offrent deux petites cours; étonnamment calmes et séparées d'un mur qui remonte jusqu'au premier étage. Donc "sans vis-à-vis horizontal" : au rez-de-jardin on ne soupçonnerait pas ce qui se déroule dans la cour attenante et, de toute façon, que voudriez-vous donc qu'il s'y produise de bien extraordinaire ?...
Mais ma vue se met à zoomer sur la première courette, en direction d'un bruit de porte annonçant une dame qui dirige, non sans routine, ses pas incertains vers les poubelles collectivo-privatives que les mairies mettent en France à la disposition de leurs administrés.
Un imprévu s'apprête à surprendre.
C'est même là toute sa raison d'être.
Car au moment-même où la brave femme parvient à ouvrir le haut couvercle de ladite poubelle pour y jeter son sachet de restes, un bonhomme de la cour voisine éternue (mais alors, vraiment, ETERNUE !) avec une force de stentor !
Ce qui déclenche, en moins d'une seconde, tout une série de réactions en chaîne + ou moins cohérentes, et + ou moins cataclysmiques :
- Saisie par ce vacarme soudain, la dame tressaute en lâchant son sachet... mais elle emmène dans son mouvement-réflexe le couvercle qu'elle tenait par la poignée -et donc ainsi toute la poubelle (vide) à sa suite-... Laquelle poubelle, déséquilibrée sur sa hauteur, fait une sorte de roulé-boulé sur le ciment en contrebas, dans un boucan parfaitement impromptu mais rigoureusement réverbéré...
- Sur ce même instant, un bon chat pépère (qui, jusques avant l'instant funeste étalait son repos sur le capot chaud d'une voiture), s'auto-propulse à la verticale en un éclair, à 30 bons centimètres de haut, tous poils hérissés sur une sorte d'égorgement d'effroi et de stupeur !
A ceci bien sûr s'additionnent encore (au vacarme engendré par la poubelle rigide qui finit son trajet en faisant détaler d'autres chats d'un peu partout de dessous les bagnoles, les faisant zigzaguer furieusement dans chaque direction possible), les énergiques quolibets des chiens alentours qui réclament le retour au calme en aboyant tout ce qu'ils peuvent, j'en pleure de rire en l'écrivant !... On aurait cru, mes biens chers frères, vivre en cette modeste cour l'ultime instant qui précède l'apocalypse
Il y avait aussi un reliquat de pot de fleur(s?) dont la coupelle s'était mise à tournoyer gaiment au centre de la cour, et un ancien canard en plastique couvert de terre parmi d'autres fournitures, mais pas moyen pour moi d'identifier avec certitude la provenance exacte de tous ces vestiges... Ni par la dame hébétée non plus, je pense...
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J'ignore si ce récit "passe" bien à la lecture, mais à vivre c'est à tomber.
Tout ça ne dure certes qu'une seconde, mais il s'en passe des choses en une seconde (car ce n'est pas totalement fini !)... :
1- "aaaaTCHOUM !"...
2- Apocalypse décrite + haut.
3- "Ah ! merde alors !", proteste vigoureusement le type, manifestement surpris lui aussi de la force de son propre éternuement.
4- "Bah dites-donc, vous z'êtes pas poli, vous !" invective sonorement la bonne-femme à la manière d'une Jackie Sardou
Le sommet sans doute, c'est que notre "éternueur" est probablement... sourd comme un pot de fleur(s?) : il semble n'avoir rien entendu de cette "remarque" et n'a pas davantage semblé perturbé de tout ce remue-ménage... La reprise de sa déambulation nonchalante laisse même à penser qu'il n'aura jamais la moindre idée de tout ce que son éternuement aura pu causer au voisinage...
[Ed.] Un éternuement... qui m'aura bien réveillé !
Hit ! - THREAD "Le Rendez-vous des Belges". / THREAD "Les Conneries publiques" (anecdotes non musicales).
[ Dernière édition du message le 25/07/2016 à 11:40:35 ]
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