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Sujet Alerte melon.

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Sujet de la discussion Alerte melon.
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Hors sujet :
Citation de TomA :
Black Bomb A ?
Tagada Jones ?
Lofofora ?

[...] Et puis ils croutent sûrement ailleurs aussi :-D


Je confirme, j'en discutais récemment avec les Loudblast. Hervé Coquerel cumule Loudblast et Black Bomb A. Stef Buriez a longtemps taffé comme producteur, là il tourne avec les Tambours du Bronx. Le gratteux de Gojira fait des master-class. Certains membres d'Ultravomit ont un taf à côté.

Dans un style mainstream il y a peut-être moyen de gagner sa croûte avec un seul groupe à succès, mais dans le metal ou d'autres styles un peu confidentiels il faut au moins deux plans d'envergure nationale pour en vivre.

Edit : je mets ca en HS, parce que pour le coup les gars n'ont pas du tout le melon.

[ Dernière édition du message le 27/05/2018 à 15:46:27 ]

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:anvil:
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:quand on arrive:

Quand je conduis pas j'ai peur.

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:arretedenousfairechiercafaitapeineuneheurequonroule:
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:jaipipi:

Quand je conduis pas j'ai peur.

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Le metal partage avec le RAP le paradoxe d'être les musiques les plus écoutées et celles avec lesquelles il est le plus difficile de faire des dates.
Je ne sais pas ailleurs, mais en Bretagne où il y a quand même énormément de concerts et notamment énormément de petits concerts payés dans des bars, ben c'est la croix et la bannière pour avoir des dates en metal et en HH selon mes potes qui sont dans ces domaines. Alors que le blues que 3 pelés 2 tondus écoutent (à l'échelle de la population), un bon groupe pas trop exigeant sur le cachet (c'est à dire pas trop loin du minimum légal) peut se taper ses 40 dates à l'année sans trop de problème.
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My 2 cents : il est plus facile de jouer de la zik générique que de la zik personnelle. (je veux dire : il est surtout plus facile d'écouter)
Perso j'hallucine quand je vois la différence entre 2018 et quand j'organisais et participais à des concerts, y a facile 15 ans. Les SNAC ont totalement remplacé l'initiative privée locale, et il n'existe quasiment plus nulle part de scènes privées faisant jouer les groupes locaux et régionaux, tout passe par les snac de merde.

[ Dernière édition du message le 28/05/2018 à 08:54:27 ]

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Chez nous, on reconnaît facilement les SNAC au fait qu'elles ne fassent pas jouer de groupes locaux ou régionaux.

Il y a une espèce de hype à la con qui fait qu'ils préfèrent faire venir à grands frais des groupes moyens de l'autre bout de la France que de passer d'excellents groupes locaux.

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Hors sujet :
Et je ne parle pas pour moi, mais petite anecdote au passage qui en dit long sur leur mentalité de merde : lors d'un atelier de création de micro animé par le regretté Berl dans les locaux d'une SNAC locale, un des gars (par ailleurs fort sympa) nous fait l'honneur à Berl et moi de nous faire visiter les lieux.

Dans la discussion, je lui parle de mon groupe et lui me dit qu'il ne s'occupe pas de la prog, mais "de toutes façons, on ne passe pas de musique trad". Pour rappel, mon groupe ne fait pas de la musique "traditionnelle", il fait de la musique bretonne électro. Mais pour un gars comme lui, de la musique bretonne, c'est forcément de la musique traditionnelle et ça n'a pas sa place dans une salle de musiques actuelles. icon_facepalm.gif

Et que vois-je récemment sur FB ? Qu'un duo trad guitare / Uilleann pipe passe dans cette salle.
Bon, il faut dire qu'un des membres du duo est le présent/fondateur/programmateur d'un gros festival régional à rayonnement national. Forcément, ça change les perspectives.
Ce serait lol si ça n'était pas avec nos impôts et avec une mission pourtant clairement définie.
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Ha me lance pas sur les SNAC, j'en ai pis que pendre à dire à longueur de posts.

C'est, je crois, le meilleur (enfin plutôt, le pire) exemple de tout ce qui peut mal tourner quand on remplace l'initiative privée (qui marchait très bien) par une mission de service public payée par le contribuable. Immobilisme, copinage, gabegie financière.
J'ai souvenir d'une snac de province que je nommerais pas, où j'accompagnais un pti' groupe pour un enregistrement, j'ai halluciné en voyant la table de mix du studio minuscule : une table Yamaha CL, cad pas les numériques qu'on croise souvent, mais les grosses numériques de plateaux TV.