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Synthés dans la variété internationale dans les années 70 et 80.

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Sujet de la discussion Synthés dans la variété internationale dans les années 70 et 80.
Je fais un honteux copié-collé du post de Renaudg :

Citation de renaudg :
Salut,

Je me suis souvent demandé quels étaient les synthés de prédilection sur un certain nombre de tubes 80s en variété/synthpop internationale qui ont quelques riffs mémorables.

Toutes infos bienvenues :)


Alors on commence par celui-là.
Pro-one pour la basse et le synthé.
Pour le rythme j'entends divers sources : TR-808 + ARP 2600 ou TR-808 + Pro-one

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2561
Merci pour l'article sur Kraftwerk, c'est très intéressant également.

Pour en revenir à New Order, visiblement la complexité et l'instabilité du Voyetra-8 a embêté tous ses utilisateurs.
Alan Wilder en avait pris un pour accompagner son Jupiter-8 sur la tournée de 83. Il l'a remplacé à un moment indéterminé par un deuxième Jupiter-8.
Son utilisation en studio pour l'album de la même année n'est en revanche pas assurée.
2562
Citation de kosmix :
Article intéressant. C'est marrant comment un batteur va lâcher les baguettes pour des synthés et boîtes à rythmes...

Lol Tolhurst a fait aussi ce chemin, mais on sait quel batteur il était (celà dit, son style minimaliste et metronomique participe pour beaucoup à l’identité des premiers albums de The Cure).
Fletch lui est passé de la basse (si si, il parait) au claquement de mains :facepalm:

Même au niveau des musiciens de studio, dans les 80s, beaucoup de batteurs se sont tournés vers les drumbox et synthés, croyant les rumeurs sur le remplacement des batteurs par les sequences.
2563
Tout à fait exact, même Roger Taylor avait sa Linn!
Euh Tholhurst lui avait choisi..... la BOSS DR-110!!!!!!!!!!!!!!

Citation de vilak :
Par contre je pige pas trop le "on a pas eu de DX7, trop chiant à programmer, on a plutôt pris deux DX5".

Citation de kosmix :
Pour les DX5 c'est peut-être qu'ils ont plus de presets ou des sons qui leur plaisait plus.

Un DX5 c'est deux DX7 séparés dans un même caisson, il produira donc exactement les mêmes sons et les deux machines utilisent d'ailleurs les mêmes cartouches ROM et RAM.
En interne le DX5 a 64 emplacements utilisateur (RAM), contre 32 pour le DX7, mais comme ils étaient tous deux livrés avec au moins deux cartouches ROM de 64 presets chacune, ça n'a pas du compter des masses.
En revanche le 5 permet le split et l'empilage, pas le 7 et ça ça peut avoir beaucoup joué.

Aussi, le 5 a beaucoup plus de boutons en facade que le 7, ce qui rend peut-être l'édition des sons plus simple. C'est à confirmer mais si c'est le cas, ça correspond peut-être à ce que Morris voulait dire et qu'une traduction malhabile n'a pas su retranscrire.

[ Dernière édition du message le 26/12/2021 à 00:03:15 ]

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Citation de vilak :


Aussi, le 5 a beaucoup plus de boutons en facade que le 7, ce qui rend peut-être l'édition des sons plus simple. C'est à confirmer mais si c'est le cas, ça correspond peut-être à ce que Morris voulait dire et qu'une traduction malhabile n'a pas su retranscrire.


Effectivement, ça aurait du sens.
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Je n’ai jamais compris l’engouement pour Kraftwerk. Cette musique quantizée à la croche, métronomique, robotique, ne m’a jamais soulevé le moindre poil d’émotion autre que l’ennui
2566
Citation de Frajean :
Je n’ai jamais compris l’engouement pour Kraftwerk. Cette musique quantizée à la croche, métronomique, robotique, ne m’a jamais soulevé le moindre poil d’émotion autre que l’ennui


Parce qu'ils ont inspire toutes des générations

[ Dernière édition du message le 26/12/2021 à 11:22:35 ]

2567
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Hors sujet :
Né en 74, j'ai comme tout le monde grandi avec l'air d'Autobahn dans la tête, noyé parmi tant d'autres airs marquants dont je ne connaissais pas l'origine.

Je les ai vraiment découverts trop tard dans ma vie et le coté répétitif de leur musique m'a vraiment rebuté à ce moment-là.
Je les respecte pour leur coté pionniers, mais je ne suis vraiment pas fan ce qu'ils font.
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Hors sujet :
Oui tu étais trop jeune pour vivre le truc quand il est apparu. C'était très en avance pour l'époque avec la technologie disponible, les mecs inventaient leurs instruments. Aujourd'hui, on peut à peu près tout faire, transposer, accélérer, mémoriser, automatiser, mettre de l'aléatoire. Et pourtant, les bouses qui sortent sont souvent le même motif de 4 mesures qui tourne en rond, encore plus répétitif...
2569
Par contre aucun soucis avec Tangerine Dream, là c'est passé tout seul, mais on m'a bien aidé...



Rubycon, enregistré en janvier 1975 (à vérifier bien sur) :

Edgar Froese
Mellotron, guitar & VCS 3 synthesizer on "Part I" / Organ, mellotron, guitar, gong & VCS 3 synththesizer on "Part II"

Christopher Franke
Moog Modular, Synthi A, organ, modified Elka organ & prepared piano on "Part I" / Moog Modular, gong, Synthi A, & organ on "Part II"

Peter Baumann
Organ, Synthi A, Fender Rhodes & prepared piano on "Part I" / Fender Rhodes, organ, Synthi A, voice & ARP 2600 on "Part II"

De nombreuses sources pointent aussi l'utilisation du séquenceur Synthanorma Sequencer.
2570
Mais OUI, Tangerine Dream, Klaus Schulze, et tant d’autres allemands ou d’ailleurs de la même époque, ont su tout aussi bien défricher les nouveaux sentiers de la musique électronique, sans avoir ce côté répétitif, robotique et froid.