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revega
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Publié le 21/12/24 à 13:41Bon suite aux avis dithyrambiques de certains le mien va paraitre bien fade voir carrément aux antipodes mais… je m’en fiche.
J’ai eu l’occasion de jouer et triturer l’appareil un moment, curieux que j’étais en tombant dessus chez une connaissance commune.
Le Poly D comme son nom l’indique est un…. Poly?… non! Un para? Oui! En fait c’est un faux polyphonique (comme le mentionne un commentaire précédent). Bref on va l’appeler le ParaD mais déjà ça commence assez mal. Y’a une intention délibérée de prendre les consommateurs pour des imbéciles et ça semble, en plus, être l’apanage de cette marque en manque de communication sérieuse . Ben oui la paraphonie c’est pas de la polyphonie point...…
J’ai eu l’occasion de jouer et triturer l’appareil un moment, curieux que j’étais en tombant dessus chez une connaissance commune.
Le Poly D comme son nom l’indique est un…. Poly?… non! Un para? Oui! En fait c’est un faux polyphonique (comme le mentionne un commentaire précédent). Bref on va l’appeler le ParaD mais déjà ça commence assez mal. Y’a une intention délibérée de prendre les consommateurs pour des imbéciles et ça semble, en plus, être l’apanage de cette marque en manque de communication sérieuse . Ben oui la paraphonie c’est pas de la polyphonie point...…
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Bon suite aux avis dithyrambiques de certains le mien va paraitre bien fade voir carrément aux antipodes mais… je m’en fiche.
J’ai eu l’occasion de jouer et triturer l’appareil un moment, curieux que j’étais en tombant dessus chez une connaissance commune.
Le Poly D comme son nom l’indique est un…. Poly?… non! Un para? Oui! En fait c’est un faux polyphonique (comme le mentionne un commentaire précédent). Bref on va l’appeler le ParaD mais déjà ça commence assez mal. Y’a une intention délibérée de prendre les consommateurs pour des imbéciles et ça semble, en plus, être l’apanage de cette marque en manque de communication sérieuse . Ben oui la paraphonie c’est pas de la polyphonie point barre. Pour info la paraphonie s’aligne sur le nombre d’oscilateurs et ne peut être efficace (dans ce sens) que si ils sont tous réglés exactement de la même façon.
Donc après cette entrée en matière en demi teinte, on a devant soit une copie (sans blague?) de la référence des mono synths 70’s le bien nommé révolutionnaire le 'Minimoog'. Bon là aussi je vais être tranché, les copies/erzats ne manquent pas à l’appel. Studio Electronic, Roland (avec Studio Electronics), Creamware/sonicore, NRsynth, des projets DIY , sans parler de moults applications VST, ça fait du monde au final. Alors ce qui rend ce ‘ParaD’ attrayant c’est surtout… son prix. Dans les 600/700 balles neuf. Ok. Mais si on achète un prix avant d’acheter par besoin, par passion, c’est qu’il y a un hic. Et ça la marque l’a bien compris vu l’avalanche démesurée de produits copiés qu’elle annonce tous les mois/jours.
Alors sur le physique:
-Dans l’ensemble c’est plutôt bien fichu et les dimensions sont cohérentes même si je le trouves assez moche mais certains diront inlassablement et bêtement: « oui mais pour le prix ». Et donc? Moins c'est cher plus c'est moche? Bref...
Pour commencer c’est 100% ‘made in China, oubliez le "manufactured in US" "Williamsville" "Ascheville" ou "Buffalo". Là déjà on voyage pas dans les mêmes sphères (artisana vs mega industriel). Il est plus grand que ce à quoi je m’attendais, dimensions généreuses dirons nous. On retrouve, dans les matériaux, du bois (on a pas le bois racé et massif du vrai Minimoog ne rêvez pas) des potards plastique, et un coffrage métallique cohérent. Il est bien foutu, rien à dire là dessus. Mais j’avoue que quelque chose me chiffonne. A force de trop vouloir ressembler à son ‘référent’ ce ParaD fait tout de même un peu quelconque, un peu comme prendre un sosie à la place de l’original (c’est fun, beaucoup moins cher, mais au final on le regarde plus pour se marrer qu’on ne le prend au sérieux). Ce qui est vraiment dommage et consternant! Car il y avait un truc à faire et à ré-inventer. On se demande alors pourquoi la marque n’en a pas profité pour faire un peu de neuf et, de surcroit, créer quelque chose de plus singulier, personnel avec un clin d’oeil bienveillant. Non la logique commerciale l’emporte là ou un peu d’originalité et d’intelligence l’aurait nettement sorti de sa catégorie ‘copie/clone’.
Niveau son:
-Déjà je connais bien le Minimoog j’ai joué sur 3 modèles différents dont celui appartenant à EDF (qu’ils avaient exposé il y a quelques années) et j’ai un Voyager que j’adore depuis longtemps (pas le même son mais une prise en main ‘familiale’). Alors une fois allumé ok c’est sans surprise, ça glisse tout seul et on reconnait une fois de plus le grain inspiré du minimoog avec en plus un quatrième OSC( don je vois pas trop l’intérêt à part pour la paraphonie), un chorus (jamais aimé les chorus donc pas pour moi), un aprégiateur et un séquenceur (le seul vrai plus si on arrive à le faire tourner, laborieux).
Mais j’ai eu beau tourner le filtre dans tous les sens je n’ai pas retrouvé ce son ‘électrique’ si caractéristique de l’original, il manque un truc, une âme. La dynamique me semble bonne et, quelque part, le territoire sonore est cohérent. En revanche, pas de mémoires, pas d’effets (vu la qualité chez Behringer autant rien regretter) et pas de matrice de modulation. Le pédigré est pas mauvais mais il fait pâle figure quand on voit ce que fait la concurrence pour un peu plus cher (Grandmother de Moog, par exemple ou d’autres marques comme ASM, Sequential, Novation).
Le chorus souffle mais comme j'aime pas les chorus je n'en ai pas tenu rigueur.
Ce qui frappe au niveau du son c’est le niveau de sortie. Je me suis demandé si un réglage de VCA était à faire ou une calibration et en fait non. C’est très bas et faut pousser sa table de mix ce que j’aime pas beaucoup (rien de mieux pour avoir un bruit de fond). Donc la sensation de puissance que l’on ressent avec un vrai Minimoog est absente selon moi.
Sinon le clavier est mauvais, ça fait le job mais pas plus (bruyant en plus). J’ai vu sur le net un tutoriel pour le changer, ok mais la facture va monter et faut savoir bricoler. L’alim est en fait un transfo assez bas de gamme, celui que j’avais faisait un drôle de bruit (ronflette). Le mode d’emploi est en plusieurs langues (dont le français) et reste très basique sur la prise en main. En revanche ils se gardent bien de mentionner la marque Moog et le travail titanesque/visionnaire de son génial inventeur Bob Moog (déjà sur leur Pro One c’était pareil on avait même l’impression qu’il méprisait le concepteur original Dave Smith). Un comble, une insulte, une attitude de … voyous!!!!!
Alors au final que penser de ce ‘ParaD’? La réponse est … franchement pas grand chose!
On ne fabrique pas un instrument pour se donner une image qui n’est pas la sienne. Un clone peut être une ré-appropriation d’un concept/produit si le talent et la bienveillance qui accompagnent le projet sont de mise (Studio Electronics, par exemple, en a fait le pilier de son catalogue, NRSynth leur saint graal). Ici c’est malheureusement tout l’inverse. On prend, on copie, on produit industriellement on révise l’histoire (la fumisterie absolue) et basta!
Behringer vend du ‘rêve’ à ceux qui croient que l’inspiration vient d’un instrument, ou aux autres qui restent persuadés qu’acheter une copie ‘low cost’ est une manière de s’approprier une part de l’originale ce qui est, évidemment, entièrement faux. Comme si rouler en Honda civic vous donnait les sensations d’une Lamborghini….
L’offre Moog (les originaux) est suffisamment diversifiée aujourd’hui pour regarder ce qui se fait de sérieux chez eux. Le très bon Grandmother (avec des points de patchs et une belle reverb), le Mother 32 (en semi modulaire) ou le module desktop ultra vitaminé Subharmonicon pour un prix très intéressants et nettement plus de possibilités vous fera entrer chez Moog avec de vrais arguments.
Et oui 630 € (prix moyen mais Behringer fait les soldes en ce moment à moins de 600) ce n’est pas rien quand on sait que l’alim est à changer, le clavier anecdotique, le SAV inexistant (sauf chez votre revendeur), les réparations compliquées (Behringer ne communique aucun schéma, bon courage) et l’originalité absente. Et non l’argument du « c’est pas cher’ » est absurde. C’est tout de même un coût pour un instrument aussi redondant. On peut aussi se dire que ce PolyD à bien peu de chances de s’inscrire dans l’histoire comme son illustre ‘model’ et restera l’image d’une vision étriquée, souvent malhonnête, d’un constructeur plus avide d’opportunités (voir de mauvais coups) que d’innovations sérieuses.
Vous voilà prévenu!
J’ai eu l’occasion de jouer et triturer l’appareil un moment, curieux que j’étais en tombant dessus chez une connaissance commune.
Le Poly D comme son nom l’indique est un…. Poly?… non! Un para? Oui! En fait c’est un faux polyphonique (comme le mentionne un commentaire précédent). Bref on va l’appeler le ParaD mais déjà ça commence assez mal. Y’a une intention délibérée de prendre les consommateurs pour des imbéciles et ça semble, en plus, être l’apanage de cette marque en manque de communication sérieuse . Ben oui la paraphonie c’est pas de la polyphonie point barre. Pour info la paraphonie s’aligne sur le nombre d’oscilateurs et ne peut être efficace (dans ce sens) que si ils sont tous réglés exactement de la même façon.
Donc après cette entrée en matière en demi teinte, on a devant soit une copie (sans blague?) de la référence des mono synths 70’s le bien nommé révolutionnaire le 'Minimoog'. Bon là aussi je vais être tranché, les copies/erzats ne manquent pas à l’appel. Studio Electronic, Roland (avec Studio Electronics), Creamware/sonicore, NRsynth, des projets DIY , sans parler de moults applications VST, ça fait du monde au final. Alors ce qui rend ce ‘ParaD’ attrayant c’est surtout… son prix. Dans les 600/700 balles neuf. Ok. Mais si on achète un prix avant d’acheter par besoin, par passion, c’est qu’il y a un hic. Et ça la marque l’a bien compris vu l’avalanche démesurée de produits copiés qu’elle annonce tous les mois/jours.
Alors sur le physique:
-Dans l’ensemble c’est plutôt bien fichu et les dimensions sont cohérentes même si je le trouves assez moche mais certains diront inlassablement et bêtement: « oui mais pour le prix ». Et donc? Moins c'est cher plus c'est moche? Bref...
Pour commencer c’est 100% ‘made in China, oubliez le "manufactured in US" "Williamsville" "Ascheville" ou "Buffalo". Là déjà on voyage pas dans les mêmes sphères (artisana vs mega industriel). Il est plus grand que ce à quoi je m’attendais, dimensions généreuses dirons nous. On retrouve, dans les matériaux, du bois (on a pas le bois racé et massif du vrai Minimoog ne rêvez pas) des potards plastique, et un coffrage métallique cohérent. Il est bien foutu, rien à dire là dessus. Mais j’avoue que quelque chose me chiffonne. A force de trop vouloir ressembler à son ‘référent’ ce ParaD fait tout de même un peu quelconque, un peu comme prendre un sosie à la place de l’original (c’est fun, beaucoup moins cher, mais au final on le regarde plus pour se marrer qu’on ne le prend au sérieux). Ce qui est vraiment dommage et consternant! Car il y avait un truc à faire et à ré-inventer. On se demande alors pourquoi la marque n’en a pas profité pour faire un peu de neuf et, de surcroit, créer quelque chose de plus singulier, personnel avec un clin d’oeil bienveillant. Non la logique commerciale l’emporte là ou un peu d’originalité et d’intelligence l’aurait nettement sorti de sa catégorie ‘copie/clone’.
Niveau son:
-Déjà je connais bien le Minimoog j’ai joué sur 3 modèles différents dont celui appartenant à EDF (qu’ils avaient exposé il y a quelques années) et j’ai un Voyager que j’adore depuis longtemps (pas le même son mais une prise en main ‘familiale’). Alors une fois allumé ok c’est sans surprise, ça glisse tout seul et on reconnait une fois de plus le grain inspiré du minimoog avec en plus un quatrième OSC( don je vois pas trop l’intérêt à part pour la paraphonie), un chorus (jamais aimé les chorus donc pas pour moi), un aprégiateur et un séquenceur (le seul vrai plus si on arrive à le faire tourner, laborieux).
Mais j’ai eu beau tourner le filtre dans tous les sens je n’ai pas retrouvé ce son ‘électrique’ si caractéristique de l’original, il manque un truc, une âme. La dynamique me semble bonne et, quelque part, le territoire sonore est cohérent. En revanche, pas de mémoires, pas d’effets (vu la qualité chez Behringer autant rien regretter) et pas de matrice de modulation. Le pédigré est pas mauvais mais il fait pâle figure quand on voit ce que fait la concurrence pour un peu plus cher (Grandmother de Moog, par exemple ou d’autres marques comme ASM, Sequential, Novation).
Le chorus souffle mais comme j'aime pas les chorus je n'en ai pas tenu rigueur.
Ce qui frappe au niveau du son c’est le niveau de sortie. Je me suis demandé si un réglage de VCA était à faire ou une calibration et en fait non. C’est très bas et faut pousser sa table de mix ce que j’aime pas beaucoup (rien de mieux pour avoir un bruit de fond). Donc la sensation de puissance que l’on ressent avec un vrai Minimoog est absente selon moi.
Sinon le clavier est mauvais, ça fait le job mais pas plus (bruyant en plus). J’ai vu sur le net un tutoriel pour le changer, ok mais la facture va monter et faut savoir bricoler. L’alim est en fait un transfo assez bas de gamme, celui que j’avais faisait un drôle de bruit (ronflette). Le mode d’emploi est en plusieurs langues (dont le français) et reste très basique sur la prise en main. En revanche ils se gardent bien de mentionner la marque Moog et le travail titanesque/visionnaire de son génial inventeur Bob Moog (déjà sur leur Pro One c’était pareil on avait même l’impression qu’il méprisait le concepteur original Dave Smith). Un comble, une insulte, une attitude de … voyous!!!!!
Alors au final que penser de ce ‘ParaD’? La réponse est … franchement pas grand chose!
On ne fabrique pas un instrument pour se donner une image qui n’est pas la sienne. Un clone peut être une ré-appropriation d’un concept/produit si le talent et la bienveillance qui accompagnent le projet sont de mise (Studio Electronics, par exemple, en a fait le pilier de son catalogue, NRSynth leur saint graal). Ici c’est malheureusement tout l’inverse. On prend, on copie, on produit industriellement on révise l’histoire (la fumisterie absolue) et basta!
Behringer vend du ‘rêve’ à ceux qui croient que l’inspiration vient d’un instrument, ou aux autres qui restent persuadés qu’acheter une copie ‘low cost’ est une manière de s’approprier une part de l’originale ce qui est, évidemment, entièrement faux. Comme si rouler en Honda civic vous donnait les sensations d’une Lamborghini….
L’offre Moog (les originaux) est suffisamment diversifiée aujourd’hui pour regarder ce qui se fait de sérieux chez eux. Le très bon Grandmother (avec des points de patchs et une belle reverb), le Mother 32 (en semi modulaire) ou le module desktop ultra vitaminé Subharmonicon pour un prix très intéressants et nettement plus de possibilités vous fera entrer chez Moog avec de vrais arguments.
Et oui 630 € (prix moyen mais Behringer fait les soldes en ce moment à moins de 600) ce n’est pas rien quand on sait que l’alim est à changer, le clavier anecdotique, le SAV inexistant (sauf chez votre revendeur), les réparations compliquées (Behringer ne communique aucun schéma, bon courage) et l’originalité absente. Et non l’argument du « c’est pas cher’ » est absurde. C’est tout de même un coût pour un instrument aussi redondant. On peut aussi se dire que ce PolyD à bien peu de chances de s’inscrire dans l’histoire comme son illustre ‘model’ et restera l’image d’une vision étriquée, souvent malhonnête, d’un constructeur plus avide d’opportunités (voir de mauvais coups) que d’innovations sérieuses.
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Frog
Très bon produit pour le prix
Publié le 11/04/24 à 10:56Un rapport qualité prix défiant toute concurrence. Perso, au niveau sonorité il n'a rien à envier au Moog. Même si les aficionados diront le contraire, je suis persuadé qu'un test en aveugle me donnerait raison. Dommage qu'il n'y ait pas de mémoire pour le rappel des réglages comme Moog l'a fait sur le subsequent. Très pratique pour le live.
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fonkyzeus
Un son chaud et/ou sauvage, très bonne qualité de fabrication, prix de folie !
Publié le 09/01/24 à 10:35Après 10 jours assez intenses avec la bête, c'est que du bonheur : qualité de fab au top, un vrai plaisir à manipuler, le clavier, parfois décrié franchement très sympa (le semi-lesté va très bien pour un jeu rapide. J'ai d'autres synth, notamment un Fantom 06 à côté, c'est plus plastique mou) avec Aftertouch (assez rare de nos jours pour le préciser),.
Je l'utilise dans le cadre d'un tribute Santana notamment. Ca sonne sharp, gras quand il faut, ciselé quand il faut, passe bien dans le mix. C'est puissant ou doux, les basses sont top, les aigues jamais agressifs. Une vraie impression de sculpter le son avec les gros potards.
Je l'ai noté pour les utilisateurs avertis parce que sa plage...…
Je l'utilise dans le cadre d'un tribute Santana notamment. Ca sonne sharp, gras quand il faut, ciselé quand il faut, passe bien dans le mix. C'est puissant ou doux, les basses sont top, les aigues jamais agressifs. Une vraie impression de sculpter le son avec les gros potards.
Je l'ai noté pour les utilisateurs avertis parce que sa plage...…
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Après 10 jours assez intenses avec la bête, c'est que du bonheur : qualité de fab au top, un vrai plaisir à manipuler, le clavier, parfois décrié franchement très sympa (le semi-lesté va très bien pour un jeu rapide. J'ai d'autres synth, notamment un Fantom 06 à côté, c'est plus plastique mou) avec Aftertouch (assez rare de nos jours pour le préciser),.
Je l'utilise dans le cadre d'un tribute Santana notamment. Ca sonne sharp, gras quand il faut, ciselé quand il faut, passe bien dans le mix. C'est puissant ou doux, les basses sont top, les aigues jamais agressifs. Une vraie impression de sculpter le son avec les gros potards.
Je l'ai noté pour les utilisateurs avertis parce que sa plage d'utilisation reste limitée à ce que l'on peut attendre d'un synthé analogique paraphonique : ça n'est pas le couteau suisse avec lequel on fait tout sur scène ou en studio.
Il faut savoir pourquoi on le prend, ce qu'on va faire avec etc.
L'accordage a été un vrai casse tête, mais ça l'a fait.
J'ai 50 ans, 30 ans de musique, de la synthèse un peu dans tous les sens avec pas mal de synthé passés chez moi Korg Wavestation, SY99, Triton Extrême, Fantom 06, Nord Stage 2 même un Hammond à tube avec Leslie.
C'est mon premier analogique et l'approche instinctive de la bête est un régal. De la manipulation au son, jouer dessus est un moment de plaisir. Il faut par contre que la cadre d'utilisation corresponde.
Au chapitre des regrets ?
- dommage qu'ils n'aient pas rajouté une surcouche qui permette de sauver les patchs (le prix s'en serait sans doute ressenti),
- un segment supplémentaire pour le release sur les filtres aurait été intéressant (ok, il n'y était sans doute pas sur le Moog d'origine) : on peut le créer avec l'interrupteur, mais l'attaque s'en trouve modifiée et il ne s'applique pas au filtre, uniquement à l'AMP,
- il aurait été intéressant dans la possibilité de modulation, d'activer l'équivalent de la roue de modulation via l'aftertouch (pratique lorsqu'on a l'autre main sur les accords d'accompagnement sur un autre clavier),
- le logiciel Syntribe, s'il fait le job, aurait pu avoir une interface scalable : sur un écran avec une bonne résolution, il apparaît tout petit (j'utilise une surface pro sur scène notamment, sans le clavier en mode tablette, inutile de vous dire qu'avec les doigts, ça ne passe pas !).
Moi qui n'était pas trop Behringer jusque là, les produits que j'avais eu en main, en sono notamment, étant assez moyens, je suis conquis : ça sonne grave, l'effet waouw est là et c'est totalement instinctif.
Je l'utilise dans le cadre d'un tribute Santana notamment. Ca sonne sharp, gras quand il faut, ciselé quand il faut, passe bien dans le mix. C'est puissant ou doux, les basses sont top, les aigues jamais agressifs. Une vraie impression de sculpter le son avec les gros potards.
Je l'ai noté pour les utilisateurs avertis parce que sa plage d'utilisation reste limitée à ce que l'on peut attendre d'un synthé analogique paraphonique : ça n'est pas le couteau suisse avec lequel on fait tout sur scène ou en studio.
Il faut savoir pourquoi on le prend, ce qu'on va faire avec etc.
L'accordage a été un vrai casse tête, mais ça l'a fait.
J'ai 50 ans, 30 ans de musique, de la synthèse un peu dans tous les sens avec pas mal de synthé passés chez moi Korg Wavestation, SY99, Triton Extrême, Fantom 06, Nord Stage 2 même un Hammond à tube avec Leslie.
C'est mon premier analogique et l'approche instinctive de la bête est un régal. De la manipulation au son, jouer dessus est un moment de plaisir. Il faut par contre que la cadre d'utilisation corresponde.
Au chapitre des regrets ?
- dommage qu'ils n'aient pas rajouté une surcouche qui permette de sauver les patchs (le prix s'en serait sans doute ressenti),
- un segment supplémentaire pour le release sur les filtres aurait été intéressant (ok, il n'y était sans doute pas sur le Moog d'origine) : on peut le créer avec l'interrupteur, mais l'attaque s'en trouve modifiée et il ne s'applique pas au filtre, uniquement à l'AMP,
- il aurait été intéressant dans la possibilité de modulation, d'activer l'équivalent de la roue de modulation via l'aftertouch (pratique lorsqu'on a l'autre main sur les accords d'accompagnement sur un autre clavier),
- le logiciel Syntribe, s'il fait le job, aurait pu avoir une interface scalable : sur un écran avec une bonne résolution, il apparaît tout petit (j'utilise une surface pro sur scène notamment, sans le clavier en mode tablette, inutile de vous dire qu'avec les doigts, ça ne passe pas !).
Moi qui n'était pas trop Behringer jusque là, les produits que j'avais eu en main, en sono notamment, étant assez moyens, je suis conquis : ça sonne grave, l'effet waouw est là et c'est totalement instinctif.
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Kopsy
Le produit fini est très qualitatif pour le prix, excellent Rapport qualité Prix
Publié le 17/12/23 à 19:26Mon utilisation personnelle :
J'utilise principalement ce synthé pour pouvoir faire mon propre sound design en studio afin d'avoir un son riche et personnel. Je l'utilise pour faire des pads, des plucks, des leads... où même de la matière sonore que je peux retravailler derrière dans un DAW. Adapté selon moi, à la pop, l'électro, trackmovie, techno, DnB..., tout dépend de l'utilisation qu'on en fait. Le POLY D peut s'utiliser autant dans un contexte de création sonore en studio que de restitution sonore en live, sa portabilité et son prix permet de travailler avec dans n'importe quel contexte.
Avis sur le produit physique (ergonomie, qualité de fabrication)
La première impression...…
J'utilise principalement ce synthé pour pouvoir faire mon propre sound design en studio afin d'avoir un son riche et personnel. Je l'utilise pour faire des pads, des plucks, des leads... où même de la matière sonore que je peux retravailler derrière dans un DAW. Adapté selon moi, à la pop, l'électro, trackmovie, techno, DnB..., tout dépend de l'utilisation qu'on en fait. Le POLY D peut s'utiliser autant dans un contexte de création sonore en studio que de restitution sonore en live, sa portabilité et son prix permet de travailler avec dans n'importe quel contexte.
Avis sur le produit physique (ergonomie, qualité de fabrication)
La première impression...…
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Mon utilisation personnelle :
J'utilise principalement ce synthé pour pouvoir faire mon propre sound design en studio afin d'avoir un son riche et personnel. Je l'utilise pour faire des pads, des plucks, des leads... où même de la matière sonore que je peux retravailler derrière dans un DAW. Adapté selon moi, à la pop, l'électro, trackmovie, techno, DnB..., tout dépend de l'utilisation qu'on en fait. Le POLY D peut s'utiliser autant dans un contexte de création sonore en studio que de restitution sonore en live, sa portabilité et son prix permet de travailler avec dans n'importe quel contexte.
Avis sur le produit physique (ergonomie, qualité de fabrication)
La première impression forte que m'a donné le POLY D lorsque je l'ai sorti de son emballage est son poids. Il est assez lourd et ses finitions sont très clean avec les potards en métal ses bords en bois, ses boutons au toucher agréable, sa surface totalement métallique et son aspect compact qui doit satisfaire tout utilisateurs. Au niveau de l'ergonomie, il faut le prendre en main même si tout est assez intuitif. Le manuel livré avec explique assez brièvement l'utilisation générale des différentes parties du synthé. Vous pouvez trouver à cette adresse une explication plus détaillée faite par un utilisateur (https://medias.audiofanzine.com/files/poly-d-manuel-de-prise-en-main-lvmusique-2020-483401.pdf). Le toucher du clavier est un peu léger. mais les sorties MIDI permettent de le connecter à un clavier de meilleure qualité.
Avis sur le son et possibilités d'édition et de traitement
Le son des oscillateurs sont propre, le souffle électronique du synthé est presque inaudible. (attention à la qualité des câbles utilisés et à la qualité des préamplis de votre carte son qui ramènent également un souffle parfois trop présent). On retrouve assez bien le son du mythique minimoog model D à quelques différences près bien sûr. La qualité des basses est bien définie et descend très bas proprement. Les multiples choix de son des oscillateurs et la sommation possible jusqu'à 4 oscillateurs permettent énormément de possibilités, de plus, le LFO, le cutoff, la disto, chorus et séquencer intégré plus tout ce qui va être patchable au dos du POLY D permettent encore plus de possibilités créative. Tout est qualitatif au niveau du son. Le POLY D a tout de même ses limites, cela reste de l'analogique donc un choix de son propre au synthétiseur. Il faut le laisser chauffer 20 à 30 min pour lui laisser le temps de s'accorder. Il est aussi connectable en USB à un DAW, pour envoyer des informations MIDI où il sera possible de le faire jouer en boucle sur votre logiciel.
Mon avis global sur le produit
Points Fort
- Le produit est solide et compact
- Son ergonomie est facile à prendre en main
- Le son est propre, on arrive facilement à un résultat sonore agréable
- Les multiples outils intégrés (patch, séquencer, ...) font la différence
- Transportable
- Excellent rapport qualité/prix.
Points faible
- Toucher du clavier un peu léger
- Mode d'emploi livré avec manque de précisions sur les possibilités du synthé
Fichier audio ci-joint de ma première utilisation du synthé (tout a été fait uniquement avec le poly D à part la légère reverb ajoutée sur certaines pistes)
En espérant que cela vous aura aidé
J'utilise principalement ce synthé pour pouvoir faire mon propre sound design en studio afin d'avoir un son riche et personnel. Je l'utilise pour faire des pads, des plucks, des leads... où même de la matière sonore que je peux retravailler derrière dans un DAW. Adapté selon moi, à la pop, l'électro, trackmovie, techno, DnB..., tout dépend de l'utilisation qu'on en fait. Le POLY D peut s'utiliser autant dans un contexte de création sonore en studio que de restitution sonore en live, sa portabilité et son prix permet de travailler avec dans n'importe quel contexte.
Avis sur le produit physique (ergonomie, qualité de fabrication)
La première impression forte que m'a donné le POLY D lorsque je l'ai sorti de son emballage est son poids. Il est assez lourd et ses finitions sont très clean avec les potards en métal ses bords en bois, ses boutons au toucher agréable, sa surface totalement métallique et son aspect compact qui doit satisfaire tout utilisateurs. Au niveau de l'ergonomie, il faut le prendre en main même si tout est assez intuitif. Le manuel livré avec explique assez brièvement l'utilisation générale des différentes parties du synthé. Vous pouvez trouver à cette adresse une explication plus détaillée faite par un utilisateur (https://medias.audiofanzine.com/files/poly-d-manuel-de-prise-en-main-lvmusique-2020-483401.pdf). Le toucher du clavier est un peu léger. mais les sorties MIDI permettent de le connecter à un clavier de meilleure qualité.
Avis sur le son et possibilités d'édition et de traitement
Le son des oscillateurs sont propre, le souffle électronique du synthé est presque inaudible. (attention à la qualité des câbles utilisés et à la qualité des préamplis de votre carte son qui ramènent également un souffle parfois trop présent). On retrouve assez bien le son du mythique minimoog model D à quelques différences près bien sûr. La qualité des basses est bien définie et descend très bas proprement. Les multiples choix de son des oscillateurs et la sommation possible jusqu'à 4 oscillateurs permettent énormément de possibilités, de plus, le LFO, le cutoff, la disto, chorus et séquencer intégré plus tout ce qui va être patchable au dos du POLY D permettent encore plus de possibilités créative. Tout est qualitatif au niveau du son. Le POLY D a tout de même ses limites, cela reste de l'analogique donc un choix de son propre au synthétiseur. Il faut le laisser chauffer 20 à 30 min pour lui laisser le temps de s'accorder. Il est aussi connectable en USB à un DAW, pour envoyer des informations MIDI où il sera possible de le faire jouer en boucle sur votre logiciel.
Mon avis global sur le produit
Points Fort
- Le produit est solide et compact
- Son ergonomie est facile à prendre en main
- Le son est propre, on arrive facilement à un résultat sonore agréable
- Les multiples outils intégrés (patch, séquencer, ...) font la différence
- Transportable
- Excellent rapport qualité/prix.
Points faible
- Toucher du clavier un peu léger
- Mode d'emploi livré avec manque de précisions sur les possibilités du synthé
Fichier audio ci-joint de ma première utilisation du synthé (tout a été fait uniquement avec le poly D à part la légère reverb ajoutée sur certaines pistes)
En espérant que cela vous aura aidé
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Extraits audio
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Fiche technique
- Fabricant : Behringer
- Modèle : Poly D
- Catégorie : Claviers synthétiseurs analogiques
- Poids du colis : 12 kg
- Fiche créée le : 25/11/2019
Version paraphonique avec clavier du clone du synthétiseur Moog Model D avec 4 VCO
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Manuels et autres fichiers
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Autres dénominations : polyd