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Melodium 79-A
Microphone dynamique
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Audio-Technica AT4033/CL
Microphone dynamique
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Yamaha MZ 104
Microphone dynamique
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DPA Microphones 3541
Microphone à électret
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MXL Genesis II
Micro statique à tube à large membrane
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Audio-Technica AT8031
Micro statique à transistors à petite membrane
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Sony ECM Z-200
Microphone à électret
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Neumann EA 30 A MT
Suspension pour microphone
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Nagra NM-MIC MIII
Microphone à électret
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Groove Tubes GT-50
Micro statique à transistors à large membrane
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Alpha Audio STAGE set
Microphone dynamique
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Alesis MicLink
Microphone dynamique
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Shure A88SM
Suspension pour microphone
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Applied Microphone Technology ERTS
Micro statique à transistors à petite membrane
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MXL 5000
Micro statique à transistors à large membrane
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Ludwig Drums L336MBS Double-Braced Mini Boom Cymbal Stand
Pied/perche/socle pour microphone
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Lewitt LCT 450
Micro statique à transistors à large membrane
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Beyerdynamic TG V30ds
Microphone dynamique
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Kinsman KM003
Microphone dynamique
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AKG AB 4000
Autre accessoire microphone
Concernant les microphones
Technologies de capteurs
Selon la technologie sur laquelle ils reposent, on distingue principalement 4 grands types de microphones :
- Inventé en 1878 par David Edward Hughes, le microphone à charbon est le plus ancien des micros, et bien qu’il se soit montré suffisamment performant et peu coûteux pour être utilisé dans nos téléphones jusque dans les années 80, on ne l’utilise quasiment plus aujourd’hui en raison de sa faible bande passante et de son niveau de bruit élevé.
- Imaginé en 1877 par Ernst W. Siemens mais réellement commercialisé à partir de la fin des années 20 seulement, le microphone dynamique à bobine mobile offre l'avantage d'être relativement bon marché, peu fragile, peu sensible aux bruits de manipulation et capable d'encaisser de fortes pressions sonores sans saturer. Son seul défaut ? Sa moindre sensibilité dans les aigus où on lui préfère le plus souvent un micro à condensateur, voire un micro à ruban.
- Inventé en 1916 par C. Wente de Bell Labs, le microphone électrostatique, appelé aussi micro à condensateur ou plus couramment micro statique, est de loin le micro qui offre la captation la plus détaillée, mais il supporte mal les niveaux sonores élevés et s'avère plus fragile que le micro dynamique, plus sensible aussi aux bruits de manipulations au point qu'on l'utilise sur pied uniquement et en recourant à une suspension élastique dans quantité de cas. Il nécessite enfin d'être alimenté en électricité pour fonctionner.
- Inventé dans les années 30 par RCA et reposant sur un principe similaire à celui du micro dynamique, le microphone à ruban propose quant à lui un son très naturel, souvent plus détaillé que celui du micro dynamique et moins agressif que celui du micro à condensateur. Il est toutefois relativement fragile, réclame un préampli avec suffisamment de réserve de gain et se montre relativement onéreux.
En marge de ces derniers, on distinguera aussi :
- les microphones de surfaces (appelés aussi PZM), très utilisés dans le monde de la conférence et pour certaines applications en studio.
- les microphones USB, qui sont soit des dynamiques soit des statiques incorporant une interface audio et pouvant donc être reliés directement en USB à un ordinateur.
- les microphones stéréo, qui proposent deux capsules au sein d’un même corps pour faire de la captation AB ou XY.
Notez que les microphones peuvent être vendus seuls, en couples appariés ou en kit pour une application dédiée (la reprise d’une batterie par exemple), cependant que leur usage requiert de nombres accessoires, allant du pied au filtre antipop en passant par les suspensions.
Directivité
Chaque microphone dispose d’une zone de captation qui, suivant les cas, pourra prendre plusieurs formes :
- Omnidirectionnelle : le micro capte tout ce qui l'entoure
- Cardioïde : le micro capte ce qui est devant lui, avec une zone de captation relativement large
- Super-cardioïde : le micro capte ce qui est dans une zone de captation plus resserrée, mais aussi un peu à l’arrière
- Hypercradioïde : le micro capte ce qui est devant lui, avec une zone de captation encore plus resserrée mais il est plus sensible à l'arrière
- Canon : le micro capte ce qui est loin devant lui
- Figure en 8 : le micro capte ce qui se situe devant et derrière lui.
Précisons que si les diagrammes qu’on utilise pour illustrer les zones de captation sont en 2D, il faut bien se représenter cette dernière en trois dimensions lorsqu’on les utilise : sur un micro omnidirectionnel, par exemple, cette zone est donc bien une sphère dont le centre est la capsule, et non un cercle.