Trilian : bilan de la présentation exclusive

Avec une banque 10 fois plus grosse que celle de son prédé­ces­seur (le patch de la contre­basse fait 4 Go à lui tout seul), le logi­ciel a en effet énor­mé­ment évolué depuis sa première présen­ta­tion au NAMM. Outre l’aban­don du moteur UVI au profite de la tech­no­lo­gie proprié­taire STEAM, le logi­ciel se dote en effet de la section d’ef­fets d’Om­ni­sphere (logi­ciel qui pourra d’ailleurs lire la banque de Trilian, l’in­verse n’étant pas vrai) et d’une nouvelle inter­face Main Page entiè­re­ment para­mé­trable (en gros, vous placez le contrô­leur que vous dési­rez pour pilo­ter la fonc­tion­na­lité que vous dési­rez).

Mais c’est surtout le soin apporté aux banques de sons qui a retenu notre atten­tion : d’une part, on dispose désor­mais de sons un peu plus typés (basse vintage, hard rock, stick chap­man, etc) et d’une palanquée de synthés légen­daires. De l’autre, on a jusqu’à une douzaine de samples utili­sés pour le Round Robin, des hammers, des slides note à note, etc. Bref, vu d’ici, ça s’an­nonce comme la nouvelle réfé­rence en matière de basse virtuelle vien­dra bien­tôt confir­mer ou infir­mer…