Jagz
« Celle que j'attendais »
Publié le 08/11/22 à 15:54
Rapport qualité/prix :
Correct
Cible :
Les utilisateurs avertis
Pas facile de laisser un avis sur une guitare qui a longtemps été fantasmée, puis qui s'est transformée en un projet polyforme, avant de devenir un véritable instrument de musique sous les doigts experts de Christophe Huort.
Tout d'abord, je ne suis pas réellement attiré par les guitares modernes mais plutôt par les grands classiques dessinés durant les années 50 : 335, Telecaster, Les Paul, strat constituent l'immense majorité de mon cheptel avec pour certaines plusieurs versions. À cette liste, s'ajoutent les Gretsch, les 175, les jazzmaster, Jaguar etc.
Toutefois, maintenant que mon râtelier est rempli de toutes les belles qui m'ont longtemps fait rêver, j'ai eu envie de plus de confort, de caractéristiques un peu plus actuelles et accessoirement d'une belle guitare.
J'aurais pu aller chez PRS et me prendre une hollow II (j'en ai eu une, je n'ai pas accroché à son côté passe-partout sonore) ou chez Gibson avec une 339... Mais j'ai préféré filer mes sous à un artisan local, dont je connais la qualité du travail (il m'a déjà fait quatre basses qui me comblent en tous points).
Alors bien sûr, je connais l'argument qui consiste à expliquer que sorti de Gibson Fender et quelques grosses marques US, ce sont des instruments qui sont très très compliqués à revendre, avec une énorme dépréciation. JE M'EN COGNE ! Cette guitare, j'ai vocation à la garder jusqu'au bout....
Mon cahier des charges était assez exhaustif : corps et manche acajou, touche palissandre (j'ai hésité avec l'ébène...), table en érable figuré, radius 10/12' progressif, deux humbuckers de haute qualité, un poids contenu, et une conception de type thinline.
Christophe a coché toutes les cases : la guitare pèse 3,1 kg, la table est en érable AAAA, palissandre premium pour la touche et repair blocks en nacre jaune véritable, deux Lollar low wind assez incroyables tant par leur grain que par leur fabuleuse réponse dynamique, un couple volume/tonalité très progressif qui permet beaucoup de nuances.
Et puis Bordel qu'elle est belle !
Voilà, notre histoire dure depuis 4 mois mais ça n'est que le début...'
Tout d'abord, je ne suis pas réellement attiré par les guitares modernes mais plutôt par les grands classiques dessinés durant les années 50 : 335, Telecaster, Les Paul, strat constituent l'immense majorité de mon cheptel avec pour certaines plusieurs versions. À cette liste, s'ajoutent les Gretsch, les 175, les jazzmaster, Jaguar etc.
Toutefois, maintenant que mon râtelier est rempli de toutes les belles qui m'ont longtemps fait rêver, j'ai eu envie de plus de confort, de caractéristiques un peu plus actuelles et accessoirement d'une belle guitare.
J'aurais pu aller chez PRS et me prendre une hollow II (j'en ai eu une, je n'ai pas accroché à son côté passe-partout sonore) ou chez Gibson avec une 339... Mais j'ai préféré filer mes sous à un artisan local, dont je connais la qualité du travail (il m'a déjà fait quatre basses qui me comblent en tous points).
Alors bien sûr, je connais l'argument qui consiste à expliquer que sorti de Gibson Fender et quelques grosses marques US, ce sont des instruments qui sont très très compliqués à revendre, avec une énorme dépréciation. JE M'EN COGNE ! Cette guitare, j'ai vocation à la garder jusqu'au bout....
Mon cahier des charges était assez exhaustif : corps et manche acajou, touche palissandre (j'ai hésité avec l'ébène...), table en érable figuré, radius 10/12' progressif, deux humbuckers de haute qualité, un poids contenu, et une conception de type thinline.
Christophe a coché toutes les cases : la guitare pèse 3,1 kg, la table est en érable AAAA, palissandre premium pour la touche et repair blocks en nacre jaune véritable, deux Lollar low wind assez incroyables tant par leur grain que par leur fabuleuse réponse dynamique, un couple volume/tonalité très progressif qui permet beaucoup de nuances.
Et puis Bordel qu'elle est belle !
Voilà, notre histoire dure depuis 4 mois mais ça n'est que le début...'