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« Excellent rapport qualité/prix, à customiser »
Publié le 13/03/25 à 00:06
Rapport qualité/prix :
Correct
Cible :
Tout public
C'est ma seule et première 7 cordes. Globalement, c'est une guitare extrêmement confortable et accessible, c'est son gros point fort. Les chanfreins sont bien placés et très ergonomiques. Le manche est en D, moderne, mais pas excessivement fin. Sa finition huilée s'est patinée et lustrée avec le temps : il ne bouge jamais et n'accroche jamais. Le gros point fort : le diapason de 27", très adaptée à de grandes mains et à un son très précis. Attention : prévoir une sangle épaisse car elle a tendance à piquer du nez.
L'électronique d'origine est assez médiocre : le killswitch a tendance à se bloquer et couper l'intégralité du son, le switch 3 positions d'origine et les potard crachotent vite. Le câblage a été intégralement refait : ajout d'un push-push sur le potard de tonalité pour splitter les micros. Depuis, c'est le jour et la nuit. On passe d'un guitare pas polyvalente pour un sou à un instrument résolument moderne dans sa sonorité mais passe-partout pour des styles modernes qui demandent de la précision, en clair comme en saturé.
Le DiMarzio D-Activor chevalet est un régal en disto : agressif, tranchant, précis, porté sur les médiums et les aigus, autrement dit : très moderne. En configuration humbucker, le son clair est inexploitable mais splitté, c'est un régal : cristallin, compressé naturellement, avec de beaux aigus, mais bien sûr sans chaleur.
J'ai rapidement changé le micro manche pour un Bare Knuckle Nailbomb. C'est un accord parfait pour cette guitare et accessoirement le meilleur micro que j'ai jamais testé. Moderne bien sûr, mais chaud quand il faut l'être, dynamique à souhaite. En split, couplé au D-Activator, avec un peu de réverb et de delay, c'est devenu mon son clair de référence. La DKA7 révèle tout son caractère précis, cristallin, glacial dans le meilleur sens du terme. En configuration humbucker, tout passe : fusion, jazz (en jouant sur le potard tonalité), funk, disto "liquides" pour les solos, attaque toujours présente sans agressivité.
Son terrain de jeu d'origine : le metal moderne, djent, etc. Son potentiel et à mon sens sa raison d'être : prog, stoner, rock psyché (même si elle n'en a pas du tout l'apparence).
En termes d'accastillage, cette DKA7 méritait un setup et quelques modifications.. Le sillet en plastique de mauvaise qualité n'a pas tenu longtemps, il a été remplacé par un sillet en os. Le câblage a été refait, donc.
Dans l'ensemble, c'est une excellente base pour des modifications au vu de la qualité de lutherie. En trois mots cette guitare est : glaciale, précise, confortable. Avec quelques modifications, c'est un monstre de polyvalence, résolument moderne dans sa sonorité.
L'électronique d'origine est assez médiocre : le killswitch a tendance à se bloquer et couper l'intégralité du son, le switch 3 positions d'origine et les potard crachotent vite. Le câblage a été intégralement refait : ajout d'un push-push sur le potard de tonalité pour splitter les micros. Depuis, c'est le jour et la nuit. On passe d'un guitare pas polyvalente pour un sou à un instrument résolument moderne dans sa sonorité mais passe-partout pour des styles modernes qui demandent de la précision, en clair comme en saturé.
Le DiMarzio D-Activor chevalet est un régal en disto : agressif, tranchant, précis, porté sur les médiums et les aigus, autrement dit : très moderne. En configuration humbucker, le son clair est inexploitable mais splitté, c'est un régal : cristallin, compressé naturellement, avec de beaux aigus, mais bien sûr sans chaleur.
J'ai rapidement changé le micro manche pour un Bare Knuckle Nailbomb. C'est un accord parfait pour cette guitare et accessoirement le meilleur micro que j'ai jamais testé. Moderne bien sûr, mais chaud quand il faut l'être, dynamique à souhaite. En split, couplé au D-Activator, avec un peu de réverb et de delay, c'est devenu mon son clair de référence. La DKA7 révèle tout son caractère précis, cristallin, glacial dans le meilleur sens du terme. En configuration humbucker, tout passe : fusion, jazz (en jouant sur le potard tonalité), funk, disto "liquides" pour les solos, attaque toujours présente sans agressivité.
Son terrain de jeu d'origine : le metal moderne, djent, etc. Son potentiel et à mon sens sa raison d'être : prog, stoner, rock psyché (même si elle n'en a pas du tout l'apparence).
En termes d'accastillage, cette DKA7 méritait un setup et quelques modifications.. Le sillet en plastique de mauvaise qualité n'a pas tenu longtemps, il a été remplacé par un sillet en os. Le câblage a été refait, donc.
Dans l'ensemble, c'est une excellente base pour des modifications au vu de la qualité de lutherie. En trois mots cette guitare est : glaciale, précise, confortable. Avec quelques modifications, c'est un monstre de polyvalence, résolument moderne dans sa sonorité.