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ES91
« Nostalgie !... J'ai retrouvé ma 1ère guitare électrique ! »
Publié le 15/01/23 à 19:06
Rapport qualité/prix :
Mauvais
Cible :
Tout public
Mes parents me l'avait offerte pour Noêl 1973, j'étais en 4ème. Je l'ai bêtement revendue quelques années après. Depuis, beaucoup, beaucoup d'autres sont passées entre mes mains. Maintenant, à la retraite, je me suis mis dans la tête, depuis pas mal de temps, d'en retrouver une identique. Ce n'est pas si facile compte tenu du peu d'exemplaires sur le marché et de la multitude de versions différentes.
Je suis tombé sur l'une d'elles en état très moyen mais, même pas peur, je sais que je peux lui redonner une seconde jeunesse : je n'en suis pas à ma 1ère restauration. Je sais que l'ai payée bien trop chère compte tenu de sa qualité et de son état, mais... le coeur a ses raisons que la raison ne connais pas. Je ne pouvais pas la laisser filer.
Une SG MAYA MIJ des années 70, c'est quoi ?
C'est une SG à manche en acajou vissé. Le corps est en multiplis d'acajou. Les micros sont des fakebucker insipides (des singlecoils dans des capots de humbucker). Je les ai mesuré à 2,83 et 2,89 KOhms. Et dire qu'à l'époque je ne me suis jamais rendu compte que ces micros n'avient qu'une bobine !
Le manche est droit, il ressemble plus à un slimtaper qu'à une buche Gibson.
Sur cet exemplaire non numéroté, le trussrod est fonctionnel, les frettes marquées mais largement jouables.
Au 1er essai lors de l'achat, je trouve qu'elle ne sonne pas, qu'elle ne tient pas l'accordage mais qu'elle fait preuve d'un sacré sustain.
Je vous fais grâce des différentes étapes de la remise en condition (plus de 25 heures sur la lutherie et l'électronique). J'ai aussi décidé de remplacer les daubes d'origine par une paire de gibson 57 qui trainait au fond d'un tirroir (ce pas très authentique). Et là, la claque! cette guitare sonne comme pas possible malgrès son corps en contreplaqué (pardon, en laminé).
Dans cette configuration, le rock, les crunch, les saturations modérées passent divinement bien, le jazz et la bossa, aussi (mais oui !). N'allez pas chercher les saturations de métaleux ou le claquant fendérien, ce n'est pas son terrain.
Je suis tombé sur l'une d'elles en état très moyen mais, même pas peur, je sais que je peux lui redonner une seconde jeunesse : je n'en suis pas à ma 1ère restauration. Je sais que l'ai payée bien trop chère compte tenu de sa qualité et de son état, mais... le coeur a ses raisons que la raison ne connais pas. Je ne pouvais pas la laisser filer.
Une SG MAYA MIJ des années 70, c'est quoi ?
C'est une SG à manche en acajou vissé. Le corps est en multiplis d'acajou. Les micros sont des fakebucker insipides (des singlecoils dans des capots de humbucker). Je les ai mesuré à 2,83 et 2,89 KOhms. Et dire qu'à l'époque je ne me suis jamais rendu compte que ces micros n'avient qu'une bobine !
Le manche est droit, il ressemble plus à un slimtaper qu'à une buche Gibson.
Sur cet exemplaire non numéroté, le trussrod est fonctionnel, les frettes marquées mais largement jouables.
Au 1er essai lors de l'achat, je trouve qu'elle ne sonne pas, qu'elle ne tient pas l'accordage mais qu'elle fait preuve d'un sacré sustain.
Je vous fais grâce des différentes étapes de la remise en condition (plus de 25 heures sur la lutherie et l'électronique). J'ai aussi décidé de remplacer les daubes d'origine par une paire de gibson 57 qui trainait au fond d'un tirroir (ce pas très authentique). Et là, la claque! cette guitare sonne comme pas possible malgrès son corps en contreplaqué (pardon, en laminé).
Dans cette configuration, le rock, les crunch, les saturations modérées passent divinement bien, le jazz et la bossa, aussi (mais oui !). N'allez pas chercher les saturations de métaleux ou le claquant fendérien, ce n'est pas son terrain.