Sujet - - Le pub des lighteux - -
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un chocolat chaud suffis ;)
12
Je me réveil, une lumière blanche m’aveugle, j’ai mal absolument partout ou il est possible d’avoir mal. Impossible de bouger, je n’en ai pas la force. Je me trouve dans une cage métallique aux tailles très réduites, je ne dois pas pouvoir tenir debout dedans. Devant moi un bol d’eau avec les inscriptions « centre vétérinaire de Versailles ». J’étais donc dans un centre de soin pour animaux, mais j’étais surtout enfermé ! Je suis quasiment recouvert de bandage, je sent que sur certaine zones, je n’ais plus de pelage, surtout dans le dos, ils ont du couper mes poils pour soigner les blessures. Je me remémore le les évènement qui on précédé mon coma, j’ai été victime d’une bastonnade gratuite pour avoir hurler à l’aide, mais je suis toujours en vie, c’est déjà ça.
Une femme arrive, en blouse blanche, elle ouvre la cage, passe une civière et me dépose sur une table dans une autre pièce plus sombre, presque vide. Elle me parle, comme si j’étais son bébé, ça me fait rire, elle me caresse doucement, pour me décontracter sûrement. Elle sort, une machine robotisée vient ce placé au dessus de moi. J’ai compris, on me fait une radio. La femme reviens, me reprend sur la civière et me déplace dans une autre salle. Là elle me nettoie chacune de mes plaies. J’essaye de regarder, mais à chaque fois elle repousse ma tête, je n’insiste pas. Un homme rentre, lui aussi en blouse blanche, avec les radio dans ça main; tout deux les regardent :
« Il est sérieusement amoché, mais aucune partit vital n’a été toucher, il devrait s’en sortir »
« Tu as compté combien de fracture en tout ? »
« 7 plus 2 fêlure aux pattes arrière, il à été frappé avec violence, et il à pris des coup de couteaux dans le dos, heureusement que la croix rouge est intervenu rapidement pour maîtriser les types, mais bon ils cours toujours, il n’y avait pas de flic à proximité. »
Sur ces mots, je pars dans une colère silencieuse, ces types cours toujours, je suis toujours en vie mais les autres victimes de leur barbarie ? Je me jure que si un jour je croise l’un d’entre eux, je le massacre et le laisse pour mort, on verra ce qu’il dira à ce moment là. On fini mes bandages, et on me raccompagne dans ma cellule. Je suis seul dans une pièce qui reste éclairé tout le temps, avec comme seul compagnon ma gamelle d’eau. Je contemple la pièce, c’est à mon avis une salle de soin, mais qui n’est plus utiliser depuis un moment, il n’y a plus aucun outils de travail si ce n’est la table de soin au centre. Je reste là, enfermer, à ne pas pouvoir bouger, à observer les vaguelettes que créer mon souffle sur l’eau du bol.
13
Cela fait maintenant 10jours que je suis dans cette cage. Chaque jour c’est la même chose, on me soigne, fait mes pansements, j’ai droit à une gamelle de nourriture le matin et une le soir, c’est de la pattée pour chiens, le goût est infâme,je me demande bien comment nos animaux de compagnie pouvais manger ça, il faut dire aussi que j’avais pris goût à la chaire fraîche, mais il faut faire avec. Les médecins mon mis une collerette autour du coup, j’avais pris l’habitude de me lécher mes plaies, mais après ça du coup je m’arrachais les griffes, jusqu’au sang, ils m’ont mis des chaussette en plastique, vraiment pas agréable du tout. Je devais vraiment avoir l’aire idiot …
Comme chaque matin, la même femme entre, mais cette fois si avec une autre cage, encore plus petite mais en plastique, elle me fait entrer, et m’emmène jusque dans une fourgonnette, me dépose puis ferme la porte. J’attends là un certain temps, elle discute avec d’autres types pour des histoires de papier et d’autorisation. Le camion démarre, on roule un certain temps. Je n’avais pas l’habitude et j’avais franchement la nausée d’être ballotté comme ça, trop tard, je me vomi dessus …
On est arrivé, on me sort de la, le type qui conduisait fait une grimace quand il voit dans qu’elle état j’ai mis son camion. En même temps que l’on me balade en cage, je regarde les environs. Il s’agit d’un refuge de la SPA, je vois toute les cages côte côte sur le coté, elles sont toute remplis. Je me rend compte du sort qui m’est réservé, il faut que je fuies, je vais quand même pas me faire adopter ! Si je ne fini pas mes jours enfermé.
On me fait sortir avant de me poser sur une table de soin, on me retire tout ce que j’ai sur moi, y compris mes points de suture que j’avais un peux partout sur le dos. Les poils avaient commencé à repousser, ouf. Puis on me passe un collier autour du coup. Ca me faisais tout bizarre, jamais j’aurais imaginé porter un collier de chien un jour, j’imagine la tête de mes amis ou de mes parents si j’en avais un. On y accroche une laisse. Qu’elle sentiment désagréable de ce sentir retenir, tu as envies de fuir, mais tu ne peux pas, enfin si, en forcent un peux je peux faire tomber mon promeneur, mais ça n’a pas d’intérêt pour le moment. Je passe devant un nombre incroyable de cages, chacun des individus enfermer était plus triste et plus seul que les autres, ce lieux est une déprime totale.
Je me souviens que quand j’était encore humain, tout ces gents qui prenne des animaux dans leur famille, mais qui finissent par les trahirent, soit en les déléssants dans une foret par exemple, ou en les conduisant dans un centre comme celui ou je me trouvais, c’était vraiment le genre de chose que me m’étais en rogne, l’homme n’avait-il donc pas de cœur ?
On me conduit jusque dans une de ces cages, ou je suis surpris de trouver une husky ! On me retire ma laisse, mais pas mon collier, puis on referme la grille dérière moi. Elle s’approche de moi, me renifle et entame la conversation.
15
Deux semaines sont passées, je me sens maintenant très proche de Inia, j’aprécis beaucoup sa présence. On ce cajole à longueur de journée, léchouille, mordillage etc. il faut aussi dire qu’il n’y a pas grand-chose d’autre à faire dans cette cage, il y aurait de quoi devenir rapidement fou.
La journée est simple et rythmé, on ce lève avec le soleil, premier service de nourriture, puis petit balade de 10mins en laisse, avent de retrouver ça cellule puis le repas du soir viens la terminer. De temps en temps des personnes passe, venu adopté un animal, ils s’arrêtent parfois devant nous, regardent et repartent. J’avais eu l’occasion de lire la pancarte sur les barreaux de notre cellule, je portait le nom de Lupi et Inia celui de Vazur. Endessous il y avait un cours descriptif qui n’avais vraiment rien à voir avec la réalité, il était marqué que j’était doux avec les enfants et très joueur …
Mais cette journée n’était pas comme les autres, elle allait rester gravé dans ma mémoire à jamais.
Comme chaque matin, une personne venait nous prendre pour nous promener un peux, sauf que là je ne fut pas autoriser à sortir, étonné je voulu forcer le passage sans résultat.
Mais je fus surpris car le type qui était venu chercher Inia ne la tenait pas en laisse mais la portait directement, pour la déposé dans une grande boite en ferraille. D’autre chiens était déposé dedans, toujours par la même personne Il ne me fallu pas longtemps pour comprendre que la mort l’attendrais, je me mis à hurler de toute mes forces, à gratter partout ou je pouvais, mais impossible de sortir d’ici pour aller l’idée, j’entendais Inia poussé des gémissement de l’intérieur de la boite, mais impossible de comprendre ce qu’elle disait, le bruit des autre chiens couvrait ça voix. Un type arrive, une grosse bouteille de CO² et un long tuyaux qu’il plonge dans la boite en fer, il ouvre la bonbonne, on entend le gaz siffler en s’échappant. J’entendais Inia pousser ces derniers grognements, sans pouvoir rien faire, j’étais fou de rage !
Plus aucun bruit ne sort de la caisse de la mort, un camion benne arrive pour charger la contenu de la boite, sympathique une décharge pour finir ça vie parmi les ordure humaine…
Je reste un moment fixer sur cette boite, incapable de faire quoi que ça soit, j’étais sous le choc, comment l’homme avait-il pu descendre aussi bas ?
La journée passe, je reste là allonger, à pleurer toute cette horreur, qu’avait fait Inia pour mériter un t’elle sort ? Le simple fait de vivre ? Un type arrive avec la pattée du soir, mais je n’avais pas le morale à manger, par contre c’était le même type qui avait enmené Inia ce matin « Oh, tu vas voir ce que tu vas voir toi !» A peine eu t-il ouvert la grille pour déposé la nourriture et passé son bras, que je saute sur cette même grille, qui ce referme avec violence sur son bras que j’entend craquer sous la force du coup, il ce met à hurler en ouvrant en grand la porte pour dégager son bras maintenant plié en deux, j’en profite pour lui sauter dessus. Il tombe en arrière, cette situation n’était pas sans me rappeler ma première rencontre avec Druza. Je monte sur lui, les deux pattes avant sur son torse, prêt à mettre fin à ces jours, mais je vais lui laissé la vie sauve, mais pas sans un souvenir de ma part, je déchire ça chemise, et à l’aide de mes griffes lui déchire son torse sur toute ça longueur jusqu’au sang, une t’elle marque lui restera à vie, pourvu qu’il retienne la leçon à l’avenir. 2 autre personnes arrivent pour lui porter secours, je m‘enfui en passant par l’entrée réservé aux visiteurs ouvert à cette heure si, enfin la liberté, je jette un dernier coup d’œil à ce lieux infâme, puis repart au trots à travers la ville.
djem
7204
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
un chocolat chaud suffis ;)
12
Je me réveil, une lumière blanche m’aveugle, j’ai mal absolument partout ou il est possible d’avoir mal. Impossible de bouger, je n’en ai pas la force. Je me trouve dans une cage métallique aux tailles très réduites, je ne dois pas pouvoir tenir debout dedans. Devant moi un bol d’eau avec les inscriptions « centre vétérinaire de Versailles ». J’étais donc dans un centre de soin pour animaux, mais j’étais surtout enfermé ! Je suis quasiment recouvert de bandage, je sent que sur certaine zones, je n’ais plus de pelage, surtout dans le dos, ils ont du couper mes poils pour soigner les blessures. Je me remémore le les évènement qui on précédé mon coma, j’ai été victime d’une bastonnade gratuite pour avoir hurler à l’aide, mais je suis toujours en vie, c’est déjà ça.
Une femme arrive, en blouse blanche, elle ouvre la cage, passe une civière et me dépose sur une table dans une autre pièce plus sombre, presque vide. Elle me parle, comme si j’étais son bébé, ça me fait rire, elle me caresse doucement, pour me décontracter sûrement. Elle sort, une machine robotisée vient ce placé au dessus de moi. J’ai compris, on me fait une radio. La femme reviens, me reprend sur la civière et me déplace dans une autre salle. Là elle me nettoie chacune de mes plaies. J’essaye de regarder, mais à chaque fois elle repousse ma tête, je n’insiste pas. Un homme rentre, lui aussi en blouse blanche, avec les radio dans ça main; tout deux les regardent :
« Il est sérieusement amoché, mais aucune partit vital n’a été toucher, il devrait s’en sortir »
« Tu as compté combien de fracture en tout ? »
« 7 plus 2 fêlure aux pattes arrière, il à été frappé avec violence, et il à pris des coup de couteaux dans le dos, heureusement que la croix rouge est intervenu rapidement pour maîtriser les types, mais bon ils cours toujours, il n’y avait pas de flic à proximité. »
Sur ces mots, je pars dans une colère silencieuse, ces types cours toujours, je suis toujours en vie mais les autres victimes de leur barbarie ? Je me jure que si un jour je croise l’un d’entre eux, je le massacre et le laisse pour mort, on verra ce qu’il dira à ce moment là. On fini mes bandages, et on me raccompagne dans ma cellule. Je suis seul dans une pièce qui reste éclairé tout le temps, avec comme seul compagnon ma gamelle d’eau. Je contemple la pièce, c’est à mon avis une salle de soin, mais qui n’est plus utiliser depuis un moment, il n’y a plus aucun outils de travail si ce n’est la table de soin au centre. Je reste là, enfermer, à ne pas pouvoir bouger, à observer les vaguelettes que créer mon souffle sur l’eau du bol.
13
Cela fait maintenant 10jours que je suis dans cette cage. Chaque jour c’est la même chose, on me soigne, fait mes pansements, j’ai droit à une gamelle de nourriture le matin et une le soir, c’est de la pattée pour chiens, le goût est infâme,je me demande bien comment nos animaux de compagnie pouvais manger ça, il faut dire aussi que j’avais pris goût à la chaire fraîche, mais il faut faire avec. Les médecins mon mis une collerette autour du coup, j’avais pris l’habitude de me lécher mes plaies, mais après ça du coup je m’arrachais les griffes, jusqu’au sang, ils m’ont mis des chaussette en plastique, vraiment pas agréable du tout. Je devais vraiment avoir l’aire idiot …
Comme chaque matin, la même femme entre, mais cette fois si avec une autre cage, encore plus petite mais en plastique, elle me fait entrer, et m’emmène jusque dans une fourgonnette, me dépose puis ferme la porte. J’attends là un certain temps, elle discute avec d’autres types pour des histoires de papier et d’autorisation. Le camion démarre, on roule un certain temps. Je n’avais pas l’habitude et j’avais franchement la nausée d’être ballotté comme ça, trop tard, je me vomi dessus …
On est arrivé, on me sort de la, le type qui conduisait fait une grimace quand il voit dans qu’elle état j’ai mis son camion. En même temps que l’on me balade en cage, je regarde les environs. Il s’agit d’un refuge de la SPA, je vois toute les cages côte côte sur le coté, elles sont toute remplis. Je me rend compte du sort qui m’est réservé, il faut que je fuies, je vais quand même pas me faire adopter ! Si je ne fini pas mes jours enfermé.
On me fait sortir avant de me poser sur une table de soin, on me retire tout ce que j’ai sur moi, y compris mes points de suture que j’avais un peux partout sur le dos. Les poils avaient commencé à repousser, ouf. Puis on me passe un collier autour du coup. Ca me faisais tout bizarre, jamais j’aurais imaginé porter un collier de chien un jour, j’imagine la tête de mes amis ou de mes parents si j’en avais un. On y accroche une laisse. Qu’elle sentiment désagréable de ce sentir retenir, tu as envies de fuir, mais tu ne peux pas, enfin si, en forcent un peux je peux faire tomber mon promeneur, mais ça n’a pas d’intérêt pour le moment. Je passe devant un nombre incroyable de cages, chacun des individus enfermer était plus triste et plus seul que les autres, ce lieux est une déprime totale.
Je me souviens que quand j’était encore humain, tout ces gents qui prenne des animaux dans leur famille, mais qui finissent par les trahirent, soit en les déléssants dans une foret par exemple, ou en les conduisant dans un centre comme celui ou je me trouvais, c’était vraiment le genre de chose que me m’étais en rogne, l’homme n’avait-il donc pas de cœur ?
On me conduit jusque dans une de ces cages, ou je suis surpris de trouver une husky ! On me retire ma laisse, mais pas mon collier, puis on referme la grille dérière moi. Elle s’approche de moi, me renifle et entame la conversation.
Tosir
1992
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
Fallait mettre Clowny dégisé en infirmière... 
Je rigole je rigole mais j'ai toujours pas touché à mon capout'...
Je rigole je rigole mais j'ai toujours pas touché à mon capout'...
djem
7204
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
Je peux toujour le faire
Tosir
1992
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
djem
7204
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
« Salut, comment vas-tu ? »
C’était la première fois que je parlais avec une chienne, et j’ai toujours eu du mal à parler aux filles, toujours été un peux gêné. Je suis généralement timide avec les gens que je ne connais pas, et j’ai du mal à entamer la conversation si on ne m’y invite pas.
« Merci, ça va bien »
« Je m’appelle Inia, et toi ? »
« Heu, appelle moi Djem »
« Djem le loup, c’est entendu » dit-elle avec un grand sourire.
C’était une belle husky, avec un masque relativement léger sur le visage et poil gris claire, les yeux d’un superbe bleu azure.
« Tu n’es pas très bavard, d’où viens tu loups bleu ? »
« Je suis humain en fait, c’est une longue histoire, et j’ai atterri ici après avoir été agressé. »
« Humain ? Comment tu peux être humain et sous cette forme ? »
« Un démon m’a donné cette forme sans me laisser le vraiment choix… »
« Un démon ! Et bien tu as une sacrée vie dit donc, au moins tu as des aventure toi »
On discute un bon moment, je lui raconte ma vie, elle la sienne. Je me rend compte à qu’elle point un chien battu et maltraité par ce qu’elle appelle ça famille est une souffrance morale plus que physique. Elle avait été achetée par une jeune famille aisée chez un éleveur, au début tout c’est bien passé, mais rapidement son comportement ne plaisait plus à son maître. Elle était seul toute la journée, et ne trouvais personne avec qui jouer, donc elle prenait toute sorte d’objet dans l’appartement pour s’occupé, sauf que chaque soir elle avais droit à la même punition, dormir sur la terrasse et privé de nourriture. Bien sur ce que je dis là est ma vision d’humain de la situation, la sienne est beaucoup plus émotive, tout ce qu’elle voulais c’est un peux d’affection qu’elle ne recevais malheureusement pas. Bref à 1an elle a fait une erreur grave, mordre son maître, ce qui lui a valu d’être enfermé ici même, dans cette cellule. Elle me pose plein de question dont beaucoup de chose sur pourquoi elle avait eu droit à ces traitements alors que ce n’était qu’un enfant, pourquoi cette punition et ce qu’elle allait devenir. Je prends le temps de répondre à toute, sur son devenir, sur la manière des humains de traiter les animaux.
La nuit tombe, on nous apporte de l’eau et de la nourriture, mais même pas un regard …
Je m’endors là, sur un bout de ciment froid, dans une cage de fer, Inia est allongé elle aussi à 2 bons mètres de moi.
Inia me réveilla au milieu de la nuit, en frottant son museau sur ma tête et en me mordillant les oreilles, ce qui j’avouerais n’était pas désagréable du tout.
« Dit j’ai une question à te poser »
« Vas-y je t’écoute »
« Es que si tu étais encore sous forme humaine, que tu serais venu ici, vue, es que tu m’aurais permis de venir vivre avec toi ? »
« Non, je n’aurais pas eu le temps de m’occuper de toi, je ne suis pas chez moi la journée, et j’ai toujours beaucoup voyagé comme je te l’ais dit,ta vie aurait été un enfer »
« Oui mais j’aurais pu rester avec toi la journée non ? Même si ça n’aurait pas été chez nous ? Et j’aurais bien voulu voyager comme tu le fais ! Toujours découvrir de nouvelle chose, ça doit être super ! »
« Les lois humaine t’aurait interdit de rester avec moi la journée »
« Vos lois sont définitivement bizarre »
« Là je suis d’accord avec toi, mais il faut bien des règles pour vivre en société »
Un long silence s’en suit, une nouvelle fois rompu par Inia, alors que j’allais me rendormir.
« Et maintenant que tu es loup, es que tu es prêt à m’adopter ? »
Silence
« Je n’ais rien contre » lui dis-je dont ton très calme et posé.
Inia viens s’allonger entre mes pattes, son dos collé à mon ventre, elle pose ça tête sur la mienne, on ce tiens chaud l’un l’autre par ce temps de février particulièrement frais, et l’on se rendors là l’un contre l’autre.
Aller un petit déssin au passage:
C’était la première fois que je parlais avec une chienne, et j’ai toujours eu du mal à parler aux filles, toujours été un peux gêné. Je suis généralement timide avec les gens que je ne connais pas, et j’ai du mal à entamer la conversation si on ne m’y invite pas.
« Merci, ça va bien »
« Je m’appelle Inia, et toi ? »
« Heu, appelle moi Djem »
« Djem le loup, c’est entendu » dit-elle avec un grand sourire.
C’était une belle husky, avec un masque relativement léger sur le visage et poil gris claire, les yeux d’un superbe bleu azure.
« Tu n’es pas très bavard, d’où viens tu loups bleu ? »
« Je suis humain en fait, c’est une longue histoire, et j’ai atterri ici après avoir été agressé. »
« Humain ? Comment tu peux être humain et sous cette forme ? »
« Un démon m’a donné cette forme sans me laisser le vraiment choix… »
« Un démon ! Et bien tu as une sacrée vie dit donc, au moins tu as des aventure toi »
On discute un bon moment, je lui raconte ma vie, elle la sienne. Je me rend compte à qu’elle point un chien battu et maltraité par ce qu’elle appelle ça famille est une souffrance morale plus que physique. Elle avait été achetée par une jeune famille aisée chez un éleveur, au début tout c’est bien passé, mais rapidement son comportement ne plaisait plus à son maître. Elle était seul toute la journée, et ne trouvais personne avec qui jouer, donc elle prenait toute sorte d’objet dans l’appartement pour s’occupé, sauf que chaque soir elle avais droit à la même punition, dormir sur la terrasse et privé de nourriture. Bien sur ce que je dis là est ma vision d’humain de la situation, la sienne est beaucoup plus émotive, tout ce qu’elle voulais c’est un peux d’affection qu’elle ne recevais malheureusement pas. Bref à 1an elle a fait une erreur grave, mordre son maître, ce qui lui a valu d’être enfermé ici même, dans cette cellule. Elle me pose plein de question dont beaucoup de chose sur pourquoi elle avait eu droit à ces traitements alors que ce n’était qu’un enfant, pourquoi cette punition et ce qu’elle allait devenir. Je prends le temps de répondre à toute, sur son devenir, sur la manière des humains de traiter les animaux.
La nuit tombe, on nous apporte de l’eau et de la nourriture, mais même pas un regard …
Je m’endors là, sur un bout de ciment froid, dans une cage de fer, Inia est allongé elle aussi à 2 bons mètres de moi.
Inia me réveilla au milieu de la nuit, en frottant son museau sur ma tête et en me mordillant les oreilles, ce qui j’avouerais n’était pas désagréable du tout.
« Dit j’ai une question à te poser »
« Vas-y je t’écoute »
« Es que si tu étais encore sous forme humaine, que tu serais venu ici, vue, es que tu m’aurais permis de venir vivre avec toi ? »
« Non, je n’aurais pas eu le temps de m’occuper de toi, je ne suis pas chez moi la journée, et j’ai toujours beaucoup voyagé comme je te l’ais dit,ta vie aurait été un enfer »
« Oui mais j’aurais pu rester avec toi la journée non ? Même si ça n’aurait pas été chez nous ? Et j’aurais bien voulu voyager comme tu le fais ! Toujours découvrir de nouvelle chose, ça doit être super ! »
« Les lois humaine t’aurait interdit de rester avec moi la journée »
« Vos lois sont définitivement bizarre »
« Là je suis d’accord avec toi, mais il faut bien des règles pour vivre en société »
Un long silence s’en suit, une nouvelle fois rompu par Inia, alors que j’allais me rendormir.
« Et maintenant que tu es loup, es que tu es prêt à m’adopter ? »
Silence
« Je n’ais rien contre » lui dis-je dont ton très calme et posé.
Inia viens s’allonger entre mes pattes, son dos collé à mon ventre, elle pose ça tête sur la mienne, on ce tiens chaud l’un l’autre par ce temps de février particulièrement frais, et l’on se rendors là l’un contre l’autre.
Aller un petit déssin au passage:
Alexis60
208
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 18 ans
C'est mignon tout ça 
Ben v'là que le Djem devient zoophile maintenant (en plus d'être Jomophile)
(En même temps c'est plus vraiment de la zoophilie maintenant qu'il est lui même un loup... )
Il faudrait que je cesse de raconter n'importe quoi moi des fois...
Ben v'là que le Djem devient zoophile maintenant (en plus d'être Jomophile)
(En même temps c'est plus vraiment de la zoophilie maintenant qu'il est lui même un loup... )
Il faudrait que je cesse de raconter n'importe quoi moi des fois...
A.C.
djem
7204
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
Aller pas vous faires des idées 
Cette hustoire est aussi un clein d'oeil aux furry ;)
Cette hustoire est aussi un clein d'oeil aux furry ;)
djem
7204
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
15
Deux semaines sont passées, je me sens maintenant très proche de Inia, j’aprécis beaucoup sa présence. On ce cajole à longueur de journée, léchouille, mordillage etc. il faut aussi dire qu’il n’y a pas grand-chose d’autre à faire dans cette cage, il y aurait de quoi devenir rapidement fou.
La journée est simple et rythmé, on ce lève avec le soleil, premier service de nourriture, puis petit balade de 10mins en laisse, avent de retrouver ça cellule puis le repas du soir viens la terminer. De temps en temps des personnes passe, venu adopté un animal, ils s’arrêtent parfois devant nous, regardent et repartent. J’avais eu l’occasion de lire la pancarte sur les barreaux de notre cellule, je portait le nom de Lupi et Inia celui de Vazur. Endessous il y avait un cours descriptif qui n’avais vraiment rien à voir avec la réalité, il était marqué que j’était doux avec les enfants et très joueur …
Mais cette journée n’était pas comme les autres, elle allait rester gravé dans ma mémoire à jamais.
Comme chaque matin, une personne venait nous prendre pour nous promener un peux, sauf que là je ne fut pas autoriser à sortir, étonné je voulu forcer le passage sans résultat.
Mais je fus surpris car le type qui était venu chercher Inia ne la tenait pas en laisse mais la portait directement, pour la déposé dans une grande boite en ferraille. D’autre chiens était déposé dedans, toujours par la même personne Il ne me fallu pas longtemps pour comprendre que la mort l’attendrais, je me mis à hurler de toute mes forces, à gratter partout ou je pouvais, mais impossible de sortir d’ici pour aller l’idée, j’entendais Inia poussé des gémissement de l’intérieur de la boite, mais impossible de comprendre ce qu’elle disait, le bruit des autre chiens couvrait ça voix. Un type arrive, une grosse bouteille de CO² et un long tuyaux qu’il plonge dans la boite en fer, il ouvre la bonbonne, on entend le gaz siffler en s’échappant. J’entendais Inia pousser ces derniers grognements, sans pouvoir rien faire, j’étais fou de rage !
Plus aucun bruit ne sort de la caisse de la mort, un camion benne arrive pour charger la contenu de la boite, sympathique une décharge pour finir ça vie parmi les ordure humaine…
Je reste un moment fixer sur cette boite, incapable de faire quoi que ça soit, j’étais sous le choc, comment l’homme avait-il pu descendre aussi bas ?
La journée passe, je reste là allonger, à pleurer toute cette horreur, qu’avait fait Inia pour mériter un t’elle sort ? Le simple fait de vivre ? Un type arrive avec la pattée du soir, mais je n’avais pas le morale à manger, par contre c’était le même type qui avait enmené Inia ce matin « Oh, tu vas voir ce que tu vas voir toi !» A peine eu t-il ouvert la grille pour déposé la nourriture et passé son bras, que je saute sur cette même grille, qui ce referme avec violence sur son bras que j’entend craquer sous la force du coup, il ce met à hurler en ouvrant en grand la porte pour dégager son bras maintenant plié en deux, j’en profite pour lui sauter dessus. Il tombe en arrière, cette situation n’était pas sans me rappeler ma première rencontre avec Druza. Je monte sur lui, les deux pattes avant sur son torse, prêt à mettre fin à ces jours, mais je vais lui laissé la vie sauve, mais pas sans un souvenir de ma part, je déchire ça chemise, et à l’aide de mes griffes lui déchire son torse sur toute ça longueur jusqu’au sang, une t’elle marque lui restera à vie, pourvu qu’il retienne la leçon à l’avenir. 2 autre personnes arrivent pour lui porter secours, je m‘enfui en passant par l’entrée réservé aux visiteurs ouvert à cette heure si, enfin la liberté, je jette un dernier coup d’œil à ce lieux infâme, puis repart au trots à travers la ville.
djem
7204
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
Bon je stop le polluage de mon propre topic, j'en ai ouvert un autre : /le-pub-des-gentlemen/forums/t.217502,ma-petite-fiction-perso-djem-le-loup.html[url]
Ps : LA version avec clowny en infermière est en préparation
Ps : LA version avec clowny en infermière est en préparation
Tosir
1992
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
Je vais me faire casser la gueule... 
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