Geoff Emerick : "En studio avec les Beatles"

Content de voir que tu fais partie des lecteurs de ce bouquin.

Citation :

et yoko au lit au milieu du studio !!

C't'ambiance de merde.

Par contre où on a joué samedi (Chail, dans le 79), il y a un canapé sur scène, qui sert à la troupe de théâtre locale je crois. C'est trop bien quand t'as un coup de barre pendant le bal.

Citation :

J'ai corné toutes les pages

Tu me feras penser à PAS te le racheter d'occase sur Amazon.

Je ne le revendrais pas, d'une c'est un cadeau et de deux je le relirais d'ici 2/3 ans !

Il a qu'à faire un bouquin pour s'expliquer lui aussi...

Excellent bouquin, à dévorer.

On apprend vraiment beaucoup sur la personnalité des 4 zicos, leurs methodes de travail, etc. Particulierement sur ringo et georges a qui l'histoire a fait moins de pub. Et si ce n'est la distance des années, le temoignage de Geoff Emerick parait bien honnete et humble.

genial a lire en tout cas, à offrir à n'importe qui qui commence a faire des groupes de musique.

il a ses têtes quand même. Il n'aime pas Harrisson !

C'est la sensation qu'il donne lors des premiers contacts de fait, c'était froid, mais la façon dont il décrit son travail durant l'album Abbey Road, ses albums solos,pas vraiment. Il lui rend également justice en montrant bien que c'est le seul Beatle a s'etre interressé à la conception et avoir fait vivre les studio Apple. ça rattrape quand meme les premieres impressions.

Je sais pas si c'est pour se rattrapper, mais dans le dernier chapitre, il écrit carrément qu'il a beaucoup d'admiration pour lui, mais que son talent n'a pu s'épanouir qu'une fois la pression de John et Paul disparue.

Le seul a etre plus ou moins épargné, c'est Paul en fait.

A choisir, je pense que le plus de ressentiment concerne Ringo. Son image de boute en train placide en prends un coup. Comment il a du le hair quand il a détruit tout le complexe Apple pour des idées mégalos, non réalisées au final.

un autre truc qui m'a étonné, c'est comme Yoko reste épargnée, alors que pour moi, jusque là, c'était l'incarnation de la veuve noire.