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Sujet Le club des depressifs

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Sujet de la discussion Le club des depressifs
Ouai la vie est sacrément dure, on le sait tous...

Mais parfois on a marre de tout et surtout de se mentir à soi meme au sein de cette société de commercialisation du bonheur où le reveur n'a plus sa place...

Alors à tous ceux qui sont usés par leurs demons, checkez ici.
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2451
Bonjour ptit nouveau!!! ici petit chiffre!!! bienvenue dans ce monde de douce déprime!!!
2452

Citation : bienvenue dans ce monde de douce déprime!!!



:aime: un peu de douceur dans ce site de brutes...
2453
Tout de suite les grands mots...

Tiens, prends un verre :boire:
God's in his heaven. All's right with the world.
2454

Citation : Tiens, prends un verre



Vous etes fous, il est trop tot :8O:



Prend un ricard plutot :bravo:
2455
Du ricard, jamais... :non:



:aime: mmmh, la bignouze, la meilleure des compagnes pour une déprime sevère...
2456
Oui comme ça tu deviens un joli(?) poivrot au lieu d'etre seulement un musicien triste....
2457
Jsuis déja poivrot, jsuis pas joli, jsuis a peine musicien: c'est ca qui me rend triste...



Raaaaaaaah...
2458
Je l'ai toujours dit, c'est la lucidité qui tue... :roll:


:mrg:
2459

Citation : Je l'ai toujours dit, c'est la lucidité qui tue






trop tard...
2460
Hamataro, c'était pas de la provocation en soi et ça se voulait pas vraiment humouristique, au contraire !
Je procède souvent comme ça, pousser la logique de l'autre à l'extrême pour que les
limites aparaissent, pour que l'absurdité surgisse. Ca m'économise des discours.
Parfois c'est cinglant, et limite, mais c'est juste un miroir Loupe.


Bon, puis la démarche était de lapider en publique celui qui aurait pu penser
autrement, de présenter son avis comme un dogme.
Ca ne laissait pas le droit de parole, alors que c'est pas si stupide de penser l'inverse !


Si on part du principe que l'animal est comme un pantin entre les doigts de son instinct,
entre les doigts de la Nature, qu' en ce sens, il agit "pour elle", simplement...
manger, se reproduire, se défendre... Faire tourner la roue...
Tandis que l'homme lui c'est l'ubris, la démesure... il est déréglé, c'est un animal qui
bugue, capable de perversité, de sadisme... qui se place au dessus de tout et détruit tout.
Le noir et le blanc est vite distribué !

Si on continue dans cette optique, et qu'on regarde l'animal comme candide, entravé
dans ses actes par son instinct, soldat de la nature... tandis que l'homme
est plus libre, capable de mettre une distance entre lui et la nature, de la penser, et
donc coupable de ses actes...
Au total ça fait un blanc innocent et un noir coupable !
Donc on préfèrera qu'un salaud crève, plutot qu'une adorable petite boule de poils
blanche comme la neige ! C'est un classique !



J'aurais pu le dire comme ça, mais j'ai préféré faire remarquer que décider d'une
échelle de valeur, c'était gonflé, que c'était donc selon des critères, et que si on grossit grossit, grossit, c'est Hitler décidant que un tel a plus de valeur qu'un autre.
et donc si on place l'éléphant avant la fourmi, mais l'homme avant l'éléphant, ou est-ce qu'on place le juif quoi !
C'était pour rendre compte du truc, puisqu'aparemment ça marche avec les juifs mais
pas avec les éléphants.


C'est l'échelle de valeur qui m'a ennervé, donc je m'en suis servi sur les homme pour montrer ce que ça fait !