Roland Aflalou
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Anonyme
Roland Aflalou
Cest ce qu'ona appelé depuis ses débuts PSU (Mendès France),guerre d'Indochine.
Roland Aflalou
Anonyme
housetraxx
Citation : Le PSU était né en avril 1960 d'un double mouvement d'opposition : à la guerre d'Algérie et au soutien de la SFIO au « coup d'État » gaulliste de 1958. Il résultait de la fusion de trois formations politiques :
* du Parti socialiste autonome (PSA, dissidence SFIO), auquel appartenaient des leaders « historiques » de la SFIO, comme Daniel Mayer, ancien secrétaire général de la SFIO à la Libération, ou Édouard Depreux, ancien ministre de l'Intérieur en 1946-1947 ;
* de l'Union de la gauche socialiste (UGS), issue de la fusion en 1957 de la Nouvelle gauche, du Mouvement de libération du peuple (MLP) et de la Jeune République (JR)) ;
* d'un groupe de dissidents du PCF formé autour d'un journal (Tribune du communisme, dirigé par Jean Poperen).
Le bureau national constitué en avril 1960 respectait la parité des fondateurs :
* 5 anciens PSA : Édouard Depreux, le secrétaire général, Charles Hernu, Maurice Klein, trésorier national, Alain Savary, Robert Verdier.
* 5 anciens UGS : Jean Arthuys, Claude Bourdet, Henri Longeot, Gilles Martinet, Jean Verlhac.
* 1 ancien « tribune du communisme » : Jean Poperen.
Ce parti tenta tout d'abord d'occuper l'espace politique entre la SFIO et le PCF. Il était composé majoritairement de socialistes anti-colonialistes, qu'ils soient « révolutionnaires » ou « réformistes », partisans de l'Union de la gauche. Au fil des crises que le PSU traversait dès sa première année d'existence, il enregistrait le départ de nombre de ses fondateurs : Pierre Beregovoy, Charles Hernu, Alain Savary, Robert Verdier. Le PSU, qui comprenait dès son origine des minorités se revendiquant d'un marxisme révolutionnaire, du luxembourgisme ou du trotskisme évoluait en s'amoindrissant, surtout après mai 1968, vers un parti contestataire et auto gestionnaire, se situant hors du champ parlementaire.
Lors de son congrès de fondation, le PSU aurait rassemblé 30 000 adhérents : 20 000 issus du PSA, 10 000 de l'UGS. Quelques centaines de militants provenaient de Tribune du communisme. Mais selon Marc Heurgon, historien du parti après en avoir été un des dirigeants, il semblerait que le nombre de 20 000 membres au total, soit plus proche de la réalité. Le PSU se dotait d'une publication hebdomadaire :Tribune socialiste. Mais à cet organe officiel, s'ajoutait de fait durant quelques années, un autre hebdomadaire, France observateur, dont direction et rédaction comprenaient plusieurs membres du PSU, et non des moindres : Gilles Martinet, Claude Bourdet, etc..
Roland Aflalou
Puisque tu parles de la guerre d'Agérie, que j'ai faite,lis "les Mercenaires et "les Centurions" du Colonel de Lartéguy.
Roland Aflalou
NB: J'oublais! le journal du PSU depuis la guerre d'Algérie, c'est "le Nouvel Observateur"
AR
housetraxx
faut pas affirmer des conneries quand on en est pas sûr ...
Roland Aflalou
C'est à nouveau moi!
Ce n'est pas pour répondreà Housetraxx sur ses élucubrations géographiques.
Vous avez vu mes stats?
Tout monte, malgré le complot financier.
Roland Aflalou
Anonyme
housetraxx
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