humour Les images qui tordent (ou pas)

Pas taper, pas taper. J'ai fait un stage d'écriture théâtrale avec des représentants du théâtre contemporain français, et j'en suis sorti traumatisé... De la subvention publique et de potes à gogo, des melons pas possibles, Beckett est has-been, et plus le théâtre parle de sujets contemporains glauques, mieux c'est, si possible en mettant de la vidéo, du son, ou tout procédé qui fait que tu fais pas trop attention que c'est écrit avec les pieds, mis en scène à la hache et que l'auteur ne sait pas lui-même ce qu'il raconte. Du coup, la pièce suscitée me réveille ces vilains souvenirs. En plus, ça se passait dans un théâtre où ils n'ont rien trouvé de mieux que de nous faire bosser dans le hall non chauffé, en plein hiver, sans daigner nous ouvrir une salle décente, et où aucune technique d'écriture n'a en fait été abordée. Le bal des narcisses qui s’asticotent le poireau.