Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
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kravatorf
9928

Membre d’honneur
Membre depuis 22 ans
Sujet de la discussion Posté le 16/08/2004 à 23:02:11Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
Beh vouala ... moua je me choquerai pas tant que ça reste des blagues ;)
d'ailleurs ... une bien pourrite
quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????
beh si tu suces le spaghetti il bouge lui
allez à vous

Citation : on peut rire de tout mais pas avec tout le monde
d'ailleurs ... une bien pourrite
quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????
beh si tu suces le spaghetti il bouge lui

allez à vous



le reverend
33701

Vie après AF ?
Membre depuis 21 ans
18421 Posté le 30/06/2014 à 19:41:24
:de la réutilisation des vannes de cm2 par les dialoguistes de serie:
0
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)

light_mat
1039

AFicionado·a
Membre depuis 17 ans
18422 Posté le 01/07/2014 à 13:07:57
The broccoli says 'I look like a small tree',
the mushroom says 'I look like an umbrella',
the walnut says 'I look like a brain',
and the banana says 'Can we please change the subject?'
the mushroom says 'I look like an umbrella',
the walnut says 'I look like a brain',
and the banana says 'Can we please change the subject?'

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Fait gaffe au gaffa ! |

Anonyme
12318

18423 Posté le 01/07/2014 à 13:10:58
x
Hors sujet :Elle n'existe qu'en anglais, cette blague?
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8oris
5648

Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
18424 Posté le 01/07/2014 à 13:14:46
Surement que non, elle est tout à fait traduisible en Français et elle existe surtout en image:


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cyar
12259

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
18425 Posté le 02/07/2014 à 11:59:39
Dans un taxi, le passager avait quelque chose à demander au conducteur et lui donna une petite tape sur l'épaule. Le conducteur hurla, perdit le contrôle de son véhicule, faillit emboutir un bus, monta sur le trottoir et s'arrêta à quelques centimètres d'une grande vitrine.
Il y eut un instant de silence à l'intérieur du taxi. Puis le conducteur, qui tremblait encore, se retourna et dit : « Pardonnez-moi, mais vous m'avez fait une sacrée peur ».
Encore sous le choc, le passager s'excusa et dit qu'il ne s'était pas rendu compte qu'une petite tape sur l'épaule pouvait effrayer quelqu'un à ce point.
Le conducteur répondit : « Non, non, je suis désolé, c'est entièrement ma faute. Aujourd'hui, c'est mon premier jour de taxi. Pendant vingt-cinq ans, j'ai conduit un corbillard ».
Il y eut un instant de silence à l'intérieur du taxi. Puis le conducteur, qui tremblait encore, se retourna et dit : « Pardonnez-moi, mais vous m'avez fait une sacrée peur ».
Encore sous le choc, le passager s'excusa et dit qu'il ne s'était pas rendu compte qu'une petite tape sur l'épaule pouvait effrayer quelqu'un à ce point.
Le conducteur répondit : « Non, non, je suis désolé, c'est entièrement ma faute. Aujourd'hui, c'est mon premier jour de taxi. Pendant vingt-cinq ans, j'ai conduit un corbillard ».
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Anonyme
30851

18426 Posté le 02/07/2014 à 12:01:27

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Pictocube
36871

Ma vie est un thread...
Membre depuis 18 ans
18427 Posté le 02/07/2014 à 12:46:52

3 petits vieux qui discutent :
- Moi, pour ma retraite, je fais de la randonnée, c'est vivifiant, et puis j'ai le temps... Et toi.
- Moi je fais de la généalogie, c'est passionnant, je remonte le cours de l'histoire et tout...
Ils se tourne vers le dernier :
- et oit, tu fais quoi ?
- Je fais de la recherche.
- Ah bon ? Mais comment ça ?
- ben je cherche mes cachets, après je cherche mes lunettes, après je cherche mon journal, après je cherche mes clefs, après...
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Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

Pictocube
36871

Ma vie est un thread...
Membre depuis 18 ans
18428 Posté le 02/07/2014 à 12:56:36
José est espagnol.
Tous les jours, José passe la frontière sur sa mobylette, avec un gros sac de sable posé sur le porte bagage.
Maurice est douanier français.
Le premier jour, Maurice demande à José d'ouvrir le sac et le sonde avec un baton, rien.
Après plusieurs mois à ce rythme, Maurice reste soupçonneux, il fait décharger le sac et le pèse pour vérifier qu'il s'agit bien de sable comme José le prétend. La masse volumique ne ment jamais, c'est bien du sable.
Les aller et retours continuent, Maurice n'en démord pas, et chaque jour il demande à José de le laisser vérifier son chargement, et tous les jours josé répond la même chose : sé pou la mayon qué yé constroui...
Au bout de 5 ans, José passe la frontière dans une belle voiture neuve, cette fois pas de sable. Maurice l'arrête :
- alors José, c'est quoi cette voiture ?
- cé ma nouelle oiture, yé fini la mayon et la j'y vé
- ah ! Finit le sable alors ?
- Si. mé véné boire une verre cé soir après lé serviche, c'est là bas...
- Ah ben avec plaisir...
Le soir Maurice se rend à l'adresse indiquée, il arrive à une grande villa en bord de mer, dotée d'une magnifique plage artificielle du même sable qu'il a contrôlé si longtemps persuadé qu'il cachait une quelconque contrebande... Etonné, lorsque José l'accueille, il demande :
- ben ça alors, c'est avec ton salaire de maçon que tu t'es offert ça ?
- non, non...
- Je le savais, tu faisais bien de la contrebande avec tout ce sable !
- non, non, lé sable cé pou la playa
- mais alors, d'où vient l'argent ?
- ma, pondant 5 ans yé fé lé trafic des mobylettes.
Tous les jours, José passe la frontière sur sa mobylette, avec un gros sac de sable posé sur le porte bagage.
Maurice est douanier français.
Le premier jour, Maurice demande à José d'ouvrir le sac et le sonde avec un baton, rien.
Après plusieurs mois à ce rythme, Maurice reste soupçonneux, il fait décharger le sac et le pèse pour vérifier qu'il s'agit bien de sable comme José le prétend. La masse volumique ne ment jamais, c'est bien du sable.
Les aller et retours continuent, Maurice n'en démord pas, et chaque jour il demande à José de le laisser vérifier son chargement, et tous les jours josé répond la même chose : sé pou la mayon qué yé constroui...
Au bout de 5 ans, José passe la frontière dans une belle voiture neuve, cette fois pas de sable. Maurice l'arrête :
- alors José, c'est quoi cette voiture ?
- cé ma nouelle oiture, yé fini la mayon et la j'y vé
- ah ! Finit le sable alors ?
- Si. mé véné boire une verre cé soir après lé serviche, c'est là bas...
- Ah ben avec plaisir...
Le soir Maurice se rend à l'adresse indiquée, il arrive à une grande villa en bord de mer, dotée d'une magnifique plage artificielle du même sable qu'il a contrôlé si longtemps persuadé qu'il cachait une quelconque contrebande... Etonné, lorsque José l'accueille, il demande :
- ben ça alors, c'est avec ton salaire de maçon que tu t'es offert ça ?
- non, non...
- Je le savais, tu faisais bien de la contrebande avec tout ce sable !
- non, non, lé sable cé pou la playa
- mais alors, d'où vient l'argent ?
- ma, pondant 5 ans yé fé lé trafic des mobylettes.
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Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

Anonyme
10038

18429 Posté le 02/07/2014 à 13:10:18

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cyar
12259

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
18430 Posté le 02/07/2014 à 14:01:19

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