réactions au dossier Sondage sur votre participation à la fête de la musique 2024
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Gronoeil Vert

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Tamen pax et amor, oscula.

Anonyme

Pour moi argent/business et plaisir de la musique ne sont pas compatibles et devraient s'exclure mutuellement.
Je boycott donc ce genre d'"évènement".

Braillerie Prod.

Parce que dans la musique, il n'y a pas que des gens qui jouent pour la moula. Mais nous sommes une majorité à jouer pour le plaisir sans aucun objectif de gloire. Nous somme juste une bande de potes qui ont préféré acheter des instruments plutôt qu'un pack de kro.
Bien au contraire de tuer les artistes de scène ce sont les petits évènements qui permettent le développement de la scène locale. Cela permet tant aux artistes de se faire connaitre qu'au publique local de découvrir autre chose que la chiasse en barre d'NRJ. Assommer les gens avec de la paperasserie et des taxes, ce sont beaucoup de concerts qui ne peuvent pas se tenir par manque de moyen d'organisation et de rentabilité.

Jæckel

C'est la mode des Revival, 7 titres (ré) enregistrés avec mon ancien groupe d'il y a 15 ans Cosmic Trip Avengers

terry31


Braillerie Prod.

[ Dernière édition du message le 07/06/2024 à 11:09:46 ]

Anonyme

Bonjour à tous,
Non pas de 21 juin pourquoi !
La musique est un métier, pourquoi travailler gratuitement ce jour là ?
Je ne parle pas des jeunes de 15 ans qui ont un groupe et qui doivent se faire les dents avec ce genre de plans mais à tous ceux qui jouent gratuitement ou pour un verre de bière toute l'année et j'en connais, une grande mode en ce moment... le chapeau !
Jouer gratuitement c'est tuer notre métier !
A qui profite cela ? pas aux artistes en tout cas !
Musicalement
Justement, les vrais artistes ne sont pas des professionnels, c'est incompatible, c'est antinomique, c'est même très choquant de penser que cela puisse exister
 .
.Le problème ce sont les "alimentaires" qui dévoient l'art, qui s'obstinent à faire d'une activité artistique une source de revenu, une source d'argent, une source de profit

Ce statut de "pro" devrait être abrogé, interdit, afin de laisser de l'espace pour les artistes, les vrais, ceux qui font les choses par plaisir, ceux qui ont quelque chose à exprimer et non quelque chose à vendre.
(je parles bien entendu ici des artistes et non des professions techniques supportant l'art tel que les ingés sons, etc... )

grozeil


Plus sérieusement, ça fait une paye que je ne sors plus pour la fête de la musique, ni comme musicien, ni comme spectateur. Trop braillard, trop de bordel, trop de DJ's surtout. Je pense que c'est surtout le corollaire des grandes villes, j'ose imaginer que ce n'est pas le même délire dans les petits villages où je me verrai bien jouer pour le plaisir.

the bubble

Et désolé mais être artiste peut être un métier liable avec gagner de l'argent, mais c 'est justement le fait de gagner de l'argent mêlé à cette mentalité exécrable du milieu qui fait passer de la passion de ce domaine au fait d'en dégobiller (là ou j'en suis d'ailleurs).
[ Dernière édition du message le 07/06/2024 à 13:53:04 ]

Accord'Eure Pianos

Accordeur de pianos, amateur de synthés          http://www.accord-eure.fr

jimvag

J'en ai fait 4 ou 5, plus jamais, c'est devenu la fête du DJ.
Je ne sort même plus de chez moi tellement c'est devenu pathétique (oui, ok, j'exagère).
Beaucoup d'aigreur dans vos commentaires...
Oui tu as raison alors je me cite moi-même pour préciser un peu ma 1ère intervention un peu trop radicale.
J'ai joué à la fête de la musique dans les années début 2000, à 3 on faisait un rock expérimental, minimaliste et répétitif. Beaucoup de gens n'aimaient pas alors ils passaient leur chemin. D'autres par contre appréciaient qu'on fasse quelque chose de différent et on avait de bons retours.
Il y a aussi le problème du matos, on avait aussi environ 6000€ de matos sur le trottoir, alors on est pas serein, j'avais toujours une bombe lachrymo sur moi (je n'en ai jamais eu besoin).
Maintenant j'ai l'impression que c'est juste une occaz pour les bars de faire du chiffre avec des DJ ou des groupes qui reprennent les standards. Je n'aime pas mais jamais je ne les critiquerai, au moins ils ont bougé leurs culs pour venir faire du son. Si j'aime pas, je vais ailleurs. Et bien souvent ça se termine dans mon bar préféré où je retrouve mes potes, peu importe la zic qu'on y entend.
[ Dernière édition du message le 07/06/2024 à 16:00:16 ]

Anonyme

J'en ai fait 4 ou 5, plus jamais, c'est devenu la fête du DJ.
Je ne sort même plus de chez moi tellement c'est devenu pathétique (oui, ok, j'exagère).
Je ne trouve pas que tu exagères, non.
Plus les années passent et plus je trouve ce soir de l'année franchement pathétique. Pas pour la qualité de la musique mais pour les motivations des musiciens qui se produisent et pour les ambiences de m... dans le public qui les entoure. Il faut vraiment chercher les coins de la ville où l'activité est vraiment celle d'amateurs qui pour un unique soir dans l'année descendent de chez eux pour faire de la musique à leur niveau (qui vraiment très basique qui vraiment très bon, mais avec la seule idée pour tous de se faire plaisir et faire plaisir gratuitement) et sans devoir aller s'isoler en forêt pour jouer dehors.
La Fête de la Musique, désormais c'est quasiment partout un grand déballage de DJs, de rappeurs, de stands qui n'ont strictement rien à voir avec la musique, et surtout une occasion de plus pour les revendications politiques opportunistes vu la quantité de monde rassemblée à des endroits de la ville. On n'est plus du tout dans l'esprit de la Fête de la Musique des deux ou trois premières années. Partout où des rassemblements annuels sont organisés pour ou par des amateurs (braderie de Lille, Festival des Vieilles Charrues, Fête de la musique, comices agricoles, etc.), au bout de quelques brèves années le gros business a déjà fait son emprise définitive et a déjà totalement ruiné l'esprit d'origine. Et c'est ça qui est profondément pathétique.
Je n'ai participé qu'aux trois premières, dans ma ville d'origine à Tours. A la troisième c'était déjà le bordel avec les premières manifestations politiques opportunistes distribuant des tracts aux gens rassemblés autour des groupes de musiciens quand ce n'était pas carrément par des musiciens eux-mêmes ! Après deux heures à supporter ces importuns qui venaient là pour une toute autre chose que la musique et foutaient le bordel dans le public je suis rentré chez moi dégoûté. A la quatrième je me suis installé comme d'habitude sur la place Thiers (une grande place à Tours) et les distributions de tracts avaient déjà commencé. Et puis les dizaines de zonards du quartier du Sanitas tout proche étaient déjà là pour eux aussi faire leur beurre par les vols à la tire et les vols à la roulotte dans les bagnoles des gens venus se garer dans tout le grand quartier. Je n'ai déballé ni mon clavier ni mes flûtes et mes trois potes de notre petit groupe universitaire n'ont pas déballé leur guitare ni la basse ni la petite batterie portable à quatre éléments, on a décidé dès notre arrivée de rentrer immédiatement chez nous. C'était fini ! Plus jamais ! Et les quarante années qui ont suivi ont confirmé partout en France ce que je pressentais déjà : une bonne idée ruinée une fois de plus !
PS : depuis 1990 je suis à Nanterre. Cette année il y a déjà une rappeuse qui gueule depuis plusieurs jours en bas de chez moi pendant une demi-heure par jour sur un ampli d'une centaine de watts (avec 3 notes pour toute musique, sorties évidemment d'un simple lecteur de samples portable) pour s'entraîner, avec un déluge de phrases prônant la haine. Ben ça me donne vraiment pas envie, parce que ça va être ça l'ambiance cette année à Nanterre et dans une grande partie de la France.
[ Dernière édition du message le 07/06/2024 à 16:46:15 ]

Will Zégal

- la clôture d'une grosse FDM dans un petit bled de campagne, organisée depuis des lustres par des potes (ex ?) punk qui se bougent et font plein d'évènements sympa, avec mobilisation d'un paquet de bénévoles. D'abord gérée par un club de sport, c'est devenu une association autonome depuis pas mal d'années. Les bénévoles sont (vraiment) de toutes générations.
Là, je mixe de la techno minimal en clôture, après plein de groupe en live, aussi bien des amateurs pas payés (après-midi et début de soirée), dont les écoles de musique locales, mais aussi toute personne qui veut venir, puis des groupes pros ou semi-pros payés (comme moi).
- quelques jours plus tard, la FDM d'un centre de rééducation fonctionnelle où j'anime des ateliers d'improvisation musicale libre. Là, j'assure la technique son et le son de tout l'évènement et je ferai un passage sur scène avec mes participant·e·s à l'atelier. C'est aussi payé, évidemment.
Si je n'avais pas eu d'engagement, je serais allé profiter des concerts dans ma ville. La mairie installe plusieurs belles scènes et c'est réservé aux amateurs (c'est probablement un des rares trucs bien que fait cette municipalité de m*** : elle redonne sa place aux pratiques amateurs pour la FDM et les mets à l'honneur avec les meilleures scènes).
Ou je serais allé jouer avec mon collectif d'impro libre où on n'est pas payés (même pros et semi pros tiennent à garder l'aspect amateur pour ce truc), mais c'est chaud parce qu'on est généralement pratiquement tous pris pour la FDM.
Evidemment que c'est devenu un évènement commercial, comme le beaujolais nouveau, les JO, les grandes compétitions sportives, la plupart des fêtes locales et des festivals urbains.
Et alors ?
Qu'un bar gagne du fric ce soir là, il ne le vole pas : c'est que des gens sortent, boivent des coups, se rencontrent et vont écouter de la musique et découvrir des groupes.
Il y a des groupes pas payés ? Et alors ? Quand on débute, qu'on fait sa première scène ou presque (combien ont fait leur première scène à la FDM ?), on propose rarement une qualité qui justifie d'être payé.
Si on est pro et qu'on n'arrive pas à se faire payer, j'ai un peu envie de dire soit qu'il faut se poser des questions, soit qu'il faut laisser la place aux amateurs et profiter de sa soirée pour être, pour une fois, côté public, une bière (ou ce qu'on veut) à la main. Et savourer la tranquillité de ne pas avoir une presta à faire et le plaisir de pouvoir se balader d'endroits en endroits, de scène en scène en fonction de ses envies et de ses goûts.
A chaque fois que j'étais en groupe, depuis 25 ans, j'ai joué payé. Sans groupe, il y a eu des fois où j'avais des engagements et des fois pas (je me bouge pas trop pour la FDM) et dans ce cas, je profite. J'ai vu plein de choses plutôt sympathiques l'année dernière, même si c'était amateur. Et un ou deux trucs prometteurs.
Et sur l'ensemble, seules deux prestations avaient une qualité qui aurait éventuellement pu justifier une rémunération.
[ Dernière édition du message le 07/06/2024 à 17:32:52 ]

patrickmetz

[ Dernière édition du message le 07/06/2024 à 17:46:07 ]

Peaveycroquette

Justement, les vrais artistes ne sont pas des professionnels, c'est incompatible, c'est antinomique, c'est même très choquant de penser que cela puisse exister
ouaaaaaah
je tente une réponse....
Bon déjà, les "vrais" artistes, j'aimerais savoir ce que c'est.
passons.
Sur un autre forum, j'expliquais que pendant quelques années, j'ai eu l'opportunité de vivre de la musique.
J'ai fait à peu près deux cents concerts, durant cette période. Clavier, guitare, mandoline,.....
à assurer un show de deux heures. Mais alors, je n'étais pas un vrai artiste?
Les musiciens d'orchestre, par exemple ceux de l'Orchestre National de France, ne sont pas des artistes? Des gens qui ont consacré leur vie à l'apprentissage de leur instruments, pour faire partie des tout meilleurs au monde, à ensuite passer des concours d'un niveau stratosphérique...
Mais sans prendre des exemples aussi "extrêmes"... Beyoncé, ce n'est pas une artiste?
Alors, pour être artiste, il faut nécessairement vivre du RSA?
[ Dernière édition du message le 07/06/2024 à 21:57:25 ]

Anonyme

Je viens de jeter à la poubelle tous mes nombreux disques de Isaac Albéniz, Tomaso Albinoni, Jean-Sebastien Bach, Béla Bartok, Ludwig van Beethoven, Hector Berlioz, Georges Bizet, Johannes Brahms, Emmanuel Chabrier, Luigi Cherubini, Frédéric Chopin, François Couperin, Manuel De Falla, Guillaume de Machaut, Claude Debussy, Vincent d’Indy, John Dowland, Henri Dutilleux, Anton Dvorak, Ludovico Einaudi, Gabriel Fauré, César Franck, George Gershwin, Charles Gounod, Edvard Grieg, Georg Friedrich Haendel, Joseph Haydn, Franz Liszt, Jean-Baptiste Lully, Gustav Mahler, Felix Mendelssohn, Darius Milhaud, Claudio Monteverdi (même quand il est noir), Wolfgang Amadeus Mozart, Jacques Offenbach, Carl Orff, Johann Pachelbel, Niccolo Paganini, Francis Poulenc, Giacomo Puccini, Henry Purcell, Sergueï Rachmaninov, Jean-Philippe Rameau, Maurice Ravel, Gioacchino Rossini, Camille Saint-Saëns, Erik Satie, Domenico Scarlatti, Franz Schubert, Robert (et Clara) Schumann, Alexander Scriabine, Jean Sibelius, Johann Strauss, Richard Strauss, Igor Stravinski, Francisco Tarrega, Piotr Ilitch Tchaïkovski, Georg Philipp Telemann, Giuseppe Verdi (comme mon thé), Hector Villa-Lobos, et Antonio Vivaldi.
Et puis comme ils ne faisaient que du business purement commercial j'ai aussi viré toutes leurs partoches ! Des kilos de partoches ! Hop, tout ça au vide-ordures, c'était que de la m.rde vu qu'ils ont fait ça juste pour le pognon.
Ben oui quoi ! C'est pas des artistes ! Quand on vit de sa musique et qu'on gagne du pognon avec, il paraît qu'on n'est pas un artiste !
Pourquoi j'ai pas cité Richard Wagner ?
Parce que j'aime pas Wagner ! C'est pas un artiste !
Hein ? Quoi ? Qui c'est qu'a dit si !
Bon, j'aime pas Wagner, donc j'avais pas de Wagner, donc j'ai pas pu jeter mes Wagner. Tant pis pour Wagner !
Nan mais !

En tout cas, l'opération a fait vachement de bien à ma discothèque de classiques ! Maintenant elle est sacrément plus légère ! Ouf ! En classique je vais pouvoir enfin n'écouter que des artistes !

Ah ben mince !... j'ai plus rien à écouter en classique !

[ Dernière édition du message le 07/06/2024 à 23:36:41 ]

KrAsH

Grande ou moyenne ville = trop de boom boom, trop de gens, trop bourrés, insupportable.
Certains villages ou villes moyennes = scène à peu près potable avec les élèves de l'école de musique, le groupe de darons du quartier et la chorale des milf qui chante Les Rois du Monde, et des food trucks trop gras trop salés trop sucrés. À mon sens une évolution de l'esprit FdM du départ.
Plein d'autres endroits = une disco mobile pas ouf ou un très mauvais groupe de reprises payés trop cher...
Dans l'ensemble effectivement, la team "je me pose sur le trottoir avec ma flûte traversière ou ma scie musicale" n'est plus très représentée.
Die Cabine • Pelle, Hache & Rock n' Roll
CCQUEEN • Le son lourd et aérien

Will Zégal

Souvent, les scènes installées sont utilisées l'après-midi et en début de soirée par les amateurs et on termine avec un ou plusieurs groupes pro.
Je trouve que c'est assez équilibré. Même si (bien que professionnel), je trouve que les pros ont un peu trop envahi la FDM.
Autant sur des trucs 100% amateur, c'est quand même difficile d'y trouver complètement son compte quand on est amateur de bonne musique et c'est cool de terminer la soirée avec des groupes pro. Autant je trouve dommage quand les scènes sont 100% pro. (en tous cas s'il n'y a pas aussi des scènes amateurs à proximité)
Dans les villes qui ont la place et les moyens de mettre plusieurs scènes, il y a aussi un panachage entre les scènes amateurs et pro. C'est une solution.
Dans tous les cas, je trouve dommage qu'une FDM ne laisse pas assez de place aux amateurs. Dans ma ville (et à ma connaissance dans l'agglo), les amateurs ont toute liberté de s'installer un peu où ils veulent. Mais c'est pas la même chose que d'avoir une scène.
Mais même une FDM où il n'y aurait que des pros, c'est déjà ça. C'est un moment festif, de partage, d'accès pour tous à la culture, car plein de gens qui ne vont jamais aux concerts ni dans des festivals sortent ce jour-là en profiter. Et ça donne du boulot à plein de gens. Pas que les pros du spectacle : bars et restaurants font aussi le plein d'extras pour assurer face à l'affluence.
[ Dernière édition du message le 08/06/2024 à 11:17:31 ]

Nap4


YodeliOoo


JenSaisRienMoi

La vie est trop courte pour être petite.

yagalex

Depuis 1996 ou j'ai fais ma 1ere fête de la musique, ça a bien changé. A l'époque on se mettait où on voulait, on terminait à l'heure que l'on voulait, je me rappel avoir fini parfois à 4h du mat, il n'y avait plus grand monde à cette heure là, mais on n'arrêtait plus, on était trop content de jouer, et on jouait gratuitement et on consommait généreusement gratuitement aussi, faut pas déconner non plus !
Aujourd'hui soit on nous place, soit l'organisateur nous dédie un emplacement et un horaire bien défini, pour être conforme avec la directive préfectorale du département où l'on se produit, on prends un cachet et on consomme très peu. Faut garder à l'esprit que la fête de la musique c'est gratuit, oui, pour le public, mais les musiciens peuvent demander une compensation sous forme de cachet, c'est courant de nos jour. Cachet avec facture dans le meilleurs des cas si le groupe amateur a une structure associative comme nous, ou autrement demander un défraiement...
Enfin voilà plus qu'à croiser les doigts pour la météo...
[ Dernière édition du message le 08/06/2024 à 20:35:05 ]

Yann Viet


EKLYSS / Y.V.

Yann Viet




EKLYSS / Y.V.

Anonyme

Yeps, je ne cherche pas particulièrement à jouer à la fête de la musique mais cette année, je serai en duo dans le 94 avec une amie chanteuse (Nina Guetta) avec laquelle on a commis 1 album l'année dernière, que vous pouvez par exemple écouter ici :
Enivrez-vous - YouTube
Chouette !
Bel album !

J'ai écouté entièrement et je viens de m'abonner à ta chaîne.

Yann Viet

EKLYSS / Y.V.
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