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« « Gargantuesque » Alesis A6 Andromeda »
Publié le 28/01/10 à 18:48
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les utilisateurs avertis
Ça fait déjà un bail que je voulais laisser mon témoignage sur l'A6 Andromeda de Alesis. Le 1er mot qui me viens à la bouche, et même après des années de service, c'est tout simplement monstrueux.
Pour l’histoire, c’était vraiment une grande surprise, qu'une entreprise plutôt connue pour ses enregistreurs ADAT, ses magnétophones et ses boîtiers FX, sorte après plus de deux ans de recherche un synthétiseur analogique aussi gargantuesque.
Rien d’équivalent sur le marché à l’époque et une forte demande de synthétiseur analogique, à fait forcer le pas vers l’inconnu.
L'Andromeda est le plus complet et puissant Analog jamais construit, et il n'a toujours pas d'équivalent dans la production des synthétiseurs analogiques polyphoniques, c'est une machine de 21 kg pour le 21ème siècle.
Une très grande surface de contrôle ultra complet et le design final assez réussi en bleu je trouve. Même si il y a eu quelques critiques trop futuristes, à ce sujet. J’ai joins pour cela quelques dessins concept et des photos de la phase de design.
Le nom et numéro A6 viens des puces utiliser « ASIC « - « Application-Specific-Integrated-Circuits », spécifiquement créé pour cette machine et qui sonne vraiment le retour d’un grand analogique polyphonique avec des sonorités vivantes et ultra planants, mais avec un caractère bien à lui, plus mordant avec une agressivité beaucoup plus tranchants.
L’Andromeda est dessinée par Axel Hartmann et avec l'équipe Alesis, Erik Norlander et Rob Rampley, qui explorer à l’époque les nouvelles possibilités de la modélisation 3D pour finaliser aussi plusieurs maquettes en carton à l'échelle 1:1, pour vérifier la disposition des nombreux contrôleurs, potards et des boutons.
Développé par une bonne partie de l'équipe du Oberheim Matrix-12/Xpander et annoncé par Keith Barr le patron de Alesis en 2000, puis enfin disponible en magasin en avril 2001 pour un prix massif de 5500,00 €. Avec le rachat de la société Alesis par Numark plus tard, il à glissé dans des régions bien en dessous. Et tout l’équipe et aussi Dave Bryce, Mike Peake et Taiho Yamada sont gentiment remercié.
L’andromeda à dans le mode Programme ou le clavier déclenche un seul son sur toute son étendue, 3 banques de 128 programmes différents (1.User, Preset 1 et Preset 2) pour un total de 384 Programmes. En plus un mode 256 Mix (User et Preset) ou différents sons peuvent être déclenchés sur des zones différentes du clavier, sous forme d’un empilage de sons ou en combinaison de splits et d’empilage. Qui fait avec les modes Programmes et Mix un total de 640 Patches.
Et la surface de contrôle possède 144 boutons, 72 potards, un écran LCD, et un excellent contrôleur à ruban sensitif, c'est vraiment énorme pour un seule Synthétiseur.
L'A6 fournit multitimbralité et polyphonie de 16 voies individuelle, il utilise 32 VCO pour les sources sonores (deux par voix) avec synchronisation.
Les 2 oscillateurs proposant 5 formes d'ondes avec
sinus,
triangle,
carré à largeur d'impulsion variable,
dent de scie
et dent de scie inversée,
ainsi qu'un sub-oscillateur.
16 Modulateur en anneau (1 par voix),
1 Filtre 2 pôles 12db par octave, multi-mode (passe bas, passe bande, passe haut) sur le modèle du filtre SEM d'Oberheim,
1 Filtre 4 pôles résonnant, 24 db par octave sur le modèle du filtre Moog,
3 Oscillateurs basse fréquence, chacun avec six formes d'ondes et ils peuvent être synchronisés à l'horloge MIDI.
3 Générateurs d'enveloppes Multi segments ,
1 Générateur de signaux aléatoire (Sample & Hold),
1 Arpégiateur,
1 Générateur de bruit pour les bruits rose, blanc et rouge.
1 Séquenceur à 16 pas.
L'A6 fournit des entrée CV (tension de commande) qui permettent de rentré des instruments externes, claviers, synthétiseurs etc. et les acheminer vers les oscillateurs et les filtres.
Il possède également deux systèmes complets d'effets avec de la distorsions analogique comme overdrive, fuzz, etc. et également d'effets numériques comme par exemple echo, réverbes, delay, chorus, leslie, pitch shifting, etc.
UTILISATION
La surface de contrôle qui ressemble plus à celle d'un vaisseau spatiale,
avec ces possibilités herculéen, sont une invitation direct à une exploration sonores profonde.
C'est vraiment énorme, titanesque pour un Synthétiseur Analogique.
La matrice de l'A6 procure une grande liberté, les fonctions sont très créatives et ultra flexibles avec au centre un écran LCD rétro-éclairé de 640 x 240 pixels.
Le tout est construit le plus logiquement possible afin de simplifier l'utilisation. Si on comprends comment le fonctionnements est groupé, on gagne du temps lorsqu'on construit un son. Et il faut du temps pour maîtriser la bête.
L'A6 correspond à un Synthétiseur Modulaire de grande taille donc un mur géant de modules et de câbles mais sans en avoir les contraintes, car les connexions sont prés connecte alors plus facile à patcher.
Pour comparaison le matrice de modulation déjà très complète du grand Oberheim Matrix 12, offre 27 sources et 47 destinations, soit 1269 nouveaux chemins de modulation.
L'A6 Alesis Andromeda offre un éventail de modulation avec 79 sources et 175 destinations, c'est à dire 13'825 nouveaux chemins de modulation, c'est colossal.
Un clavier de bonne qualité Fatar TP9, semi-lesté de 5 Octaves (C à C), donc 61 touches sensibles à la dynamique et l'Aftertouch, excellent aussi comme clavier maître. C'est les mêmes touches comme sur le QuadraSynth (76 touches).
L'arrière de l'A6 ressemble à un cuirassé qui pointe tous les orifices de canons avec un ensemble de 20 sorties. En trouve également un format Slot pour carte mémoire PCMCIA, qui permet avec le rajout d'une SRam carte (PCMCIA) enregistré environ 1000 sons supplémentaires et des mélanges de programmes.
Le manuel est bien et très clair sur env. 300 pages.
Il existe également un manuel de complément de Tips & Tricks sur environ 104 pages.
SONORITÉS
Avec l'Andromeda, en trouve un très, très, large éventail de possibilités comme des belles nappes, des pads chauds, des leads déchirants, des bonne lignes de basse, et aussi les effets sonores à l'extrême, qui sont ultra réalistes. Mais bien plus encore...
Il ne faut pas le juger sur les presets (comme d’ailleurs, aucun synthétiseur), programmé en 2000 en plein d'explosion Tecno-Acid et profitons hélas, excessivement de tous les valeurs d'effets de l'A6. Ils donne vraiment qu'un tout petit aperçu des capacités de la bête. Certains néanmoins sont assez réussis, surtout ceux programmés par le très talentueux Kevin Lightner alias Synthfool (R.I.P.).
L'Andromeda à vraiment sont propre caractère, un timbre qui peut être soyeux et doux mais aussi métallique, agressif ou plus brutal mais également plus moderne aussi.
Celle ci est incontestablement généré par ça conception hors norme.
C'est est un synthétiseur avec des grands modèles comme Oberheim et Moog. Ses oscillateurs d'ailleurs sont imité ceux du modulaire Moog module 921 et Minimoog, les filtres du système Moog 904A, B et C et les modules Oberheim SEM donc les deux, quatre et huit voix.
Klaus Schulze (disparu le 26 avril 2022) nous a laissé un CD uniquement produit par l’Andromèda, et Keith Barr de Alesis (également disparu le 24/08/2010) nous a laissé une source d'inspiration inépuisable, si vous prenez le temps, vous programmer des sons que vous n'oublierez jamais.
AVIS GLOBAL
Pour la livraison en 2004 il est livré dans un carton doublement blindé, très protégé avec une pédale de sustain et un grand manuel multilingue.
L'Andromeda s'intègre parfaitement dans le studio avec la synchronisation et le contrôle MIDI total, avec les sorties individuelles pour chaque voix, + sorties stéréo et plusieurs entrées audio.
Une surface de contrôle extraordinaire, des sonorités planantes, une modulation très complexe,des effets à profusion et un clavier de grande qualités, ben je reste conquis.
C'est une machine colossal, incroyable, fiable, mais aussi très exigeante.
La seule façon de comprendre pleinement son ampleur est de passer du temps sur la programmation compte tenu de sa complexité.
Le prix aujourd'hui reste assez sous-évalué par rapport à ses capacités de modulations inégalées, alors une réel affaire.
Sinon la période de production de l’Andromeda qui a duré finalement de 2001 à 2008 et à noter qu’il existe également une éditions limitée en rouge, à seulement 250 exemplaires.
Cependant aucune machine n'est parfaite, et le talon d'Achille du monstre analogique reste ces potards trop sensibles, la poussière et la grasse accumulé, occasionne des sauts de valeurs d’où un entretien régulier est nécessaire.
Les effets numériques dans l’ensemble ne sont également pas à la hauteur du reste.
Un vrai manque aussi du Poly-Keyboard tracking en mode FM, mais qui fonctionne parfaitement en mode monophonique et aussi un bémol pour les 3 LFO's qui monte seulement à 25 Herz*, c’est vraiment lent.
*Cependant il existe une petite astuce, une arme secrète pour palier à ça, il suffit configurez une enveloppe pour qu'elle boucle entre Attack et Decay 1, dirigez-la ensuite vers la destination souhaitée et réglez leurs fréquences sur des valeurs très basses, prenez la plus basse et augmentez d'un cran.
Si vous souhaitez moduler la vitesse, modulez Attack et Decay. Vous pouvez aussi régler Attack ou Decay à 0 pour obtenir une dent de scie (haut/bas). Et si vous avez les deux, vous modulez la symétrie. Modifiez donc les deux pour obtenir un LFO à vitesse réglable qui peut être, bien plus rapide.
Cela marche bien sûr aussi dans l’autre sens, pour ceux qui veulent des LFO encore plus lents, réglez Attack et Decay sur des fréquences élevées !
Bon en conclusion, l'Andromeda est un instrument extrêmement polyvalent et ultra puissant qui peut produire une gamme énorme des textures.
Et l'avis global, il reste monstrueusement bon ...
Pour l’histoire, c’était vraiment une grande surprise, qu'une entreprise plutôt connue pour ses enregistreurs ADAT, ses magnétophones et ses boîtiers FX, sorte après plus de deux ans de recherche un synthétiseur analogique aussi gargantuesque.
Rien d’équivalent sur le marché à l’époque et une forte demande de synthétiseur analogique, à fait forcer le pas vers l’inconnu.
L'Andromeda est le plus complet et puissant Analog jamais construit, et il n'a toujours pas d'équivalent dans la production des synthétiseurs analogiques polyphoniques, c'est une machine de 21 kg pour le 21ème siècle.
Une très grande surface de contrôle ultra complet et le design final assez réussi en bleu je trouve. Même si il y a eu quelques critiques trop futuristes, à ce sujet. J’ai joins pour cela quelques dessins concept et des photos de la phase de design.
Le nom et numéro A6 viens des puces utiliser « ASIC « - « Application-Specific-Integrated-Circuits », spécifiquement créé pour cette machine et qui sonne vraiment le retour d’un grand analogique polyphonique avec des sonorités vivantes et ultra planants, mais avec un caractère bien à lui, plus mordant avec une agressivité beaucoup plus tranchants.
L’Andromeda est dessinée par Axel Hartmann et avec l'équipe Alesis, Erik Norlander et Rob Rampley, qui explorer à l’époque les nouvelles possibilités de la modélisation 3D pour finaliser aussi plusieurs maquettes en carton à l'échelle 1:1, pour vérifier la disposition des nombreux contrôleurs, potards et des boutons.
Développé par une bonne partie de l'équipe du Oberheim Matrix-12/Xpander et annoncé par Keith Barr le patron de Alesis en 2000, puis enfin disponible en magasin en avril 2001 pour un prix massif de 5500,00 €. Avec le rachat de la société Alesis par Numark plus tard, il à glissé dans des régions bien en dessous. Et tout l’équipe et aussi Dave Bryce, Mike Peake et Taiho Yamada sont gentiment remercié.
L’andromeda à dans le mode Programme ou le clavier déclenche un seul son sur toute son étendue, 3 banques de 128 programmes différents (1.User, Preset 1 et Preset 2) pour un total de 384 Programmes. En plus un mode 256 Mix (User et Preset) ou différents sons peuvent être déclenchés sur des zones différentes du clavier, sous forme d’un empilage de sons ou en combinaison de splits et d’empilage. Qui fait avec les modes Programmes et Mix un total de 640 Patches.
Et la surface de contrôle possède 144 boutons, 72 potards, un écran LCD, et un excellent contrôleur à ruban sensitif, c'est vraiment énorme pour un seule Synthétiseur.
L'A6 fournit multitimbralité et polyphonie de 16 voies individuelle, il utilise 32 VCO pour les sources sonores (deux par voix) avec synchronisation.
Les 2 oscillateurs proposant 5 formes d'ondes avec
sinus,
triangle,
carré à largeur d'impulsion variable,
dent de scie
et dent de scie inversée,
ainsi qu'un sub-oscillateur.
16 Modulateur en anneau (1 par voix),
1 Filtre 2 pôles 12db par octave, multi-mode (passe bas, passe bande, passe haut) sur le modèle du filtre SEM d'Oberheim,
1 Filtre 4 pôles résonnant, 24 db par octave sur le modèle du filtre Moog,
3 Oscillateurs basse fréquence, chacun avec six formes d'ondes et ils peuvent être synchronisés à l'horloge MIDI.
3 Générateurs d'enveloppes Multi segments ,
1 Générateur de signaux aléatoire (Sample & Hold),
1 Arpégiateur,
1 Générateur de bruit pour les bruits rose, blanc et rouge.
1 Séquenceur à 16 pas.
L'A6 fournit des entrée CV (tension de commande) qui permettent de rentré des instruments externes, claviers, synthétiseurs etc. et les acheminer vers les oscillateurs et les filtres.
Il possède également deux systèmes complets d'effets avec de la distorsions analogique comme overdrive, fuzz, etc. et également d'effets numériques comme par exemple echo, réverbes, delay, chorus, leslie, pitch shifting, etc.
UTILISATION
La surface de contrôle qui ressemble plus à celle d'un vaisseau spatiale,
avec ces possibilités herculéen, sont une invitation direct à une exploration sonores profonde.
C'est vraiment énorme, titanesque pour un Synthétiseur Analogique.
La matrice de l'A6 procure une grande liberté, les fonctions sont très créatives et ultra flexibles avec au centre un écran LCD rétro-éclairé de 640 x 240 pixels.
Le tout est construit le plus logiquement possible afin de simplifier l'utilisation. Si on comprends comment le fonctionnements est groupé, on gagne du temps lorsqu'on construit un son. Et il faut du temps pour maîtriser la bête.
L'A6 correspond à un Synthétiseur Modulaire de grande taille donc un mur géant de modules et de câbles mais sans en avoir les contraintes, car les connexions sont prés connecte alors plus facile à patcher.
Pour comparaison le matrice de modulation déjà très complète du grand Oberheim Matrix 12, offre 27 sources et 47 destinations, soit 1269 nouveaux chemins de modulation.
L'A6 Alesis Andromeda offre un éventail de modulation avec 79 sources et 175 destinations, c'est à dire 13'825 nouveaux chemins de modulation, c'est colossal.
Un clavier de bonne qualité Fatar TP9, semi-lesté de 5 Octaves (C à C), donc 61 touches sensibles à la dynamique et l'Aftertouch, excellent aussi comme clavier maître. C'est les mêmes touches comme sur le QuadraSynth (76 touches).
L'arrière de l'A6 ressemble à un cuirassé qui pointe tous les orifices de canons avec un ensemble de 20 sorties. En trouve également un format Slot pour carte mémoire PCMCIA, qui permet avec le rajout d'une SRam carte (PCMCIA) enregistré environ 1000 sons supplémentaires et des mélanges de programmes.
Le manuel est bien et très clair sur env. 300 pages.
Il existe également un manuel de complément de Tips & Tricks sur environ 104 pages.
SONORITÉS
Avec l'Andromeda, en trouve un très, très, large éventail de possibilités comme des belles nappes, des pads chauds, des leads déchirants, des bonne lignes de basse, et aussi les effets sonores à l'extrême, qui sont ultra réalistes. Mais bien plus encore...
Il ne faut pas le juger sur les presets (comme d’ailleurs, aucun synthétiseur), programmé en 2000 en plein d'explosion Tecno-Acid et profitons hélas, excessivement de tous les valeurs d'effets de l'A6. Ils donne vraiment qu'un tout petit aperçu des capacités de la bête. Certains néanmoins sont assez réussis, surtout ceux programmés par le très talentueux Kevin Lightner alias Synthfool (R.I.P.).
L'Andromeda à vraiment sont propre caractère, un timbre qui peut être soyeux et doux mais aussi métallique, agressif ou plus brutal mais également plus moderne aussi.
Celle ci est incontestablement généré par ça conception hors norme.
C'est est un synthétiseur avec des grands modèles comme Oberheim et Moog. Ses oscillateurs d'ailleurs sont imité ceux du modulaire Moog module 921 et Minimoog, les filtres du système Moog 904A, B et C et les modules Oberheim SEM donc les deux, quatre et huit voix.
Klaus Schulze (disparu le 26 avril 2022) nous a laissé un CD uniquement produit par l’Andromèda, et Keith Barr de Alesis (également disparu le 24/08/2010) nous a laissé une source d'inspiration inépuisable, si vous prenez le temps, vous programmer des sons que vous n'oublierez jamais.
AVIS GLOBAL
Pour la livraison en 2004 il est livré dans un carton doublement blindé, très protégé avec une pédale de sustain et un grand manuel multilingue.
L'Andromeda s'intègre parfaitement dans le studio avec la synchronisation et le contrôle MIDI total, avec les sorties individuelles pour chaque voix, + sorties stéréo et plusieurs entrées audio.
Une surface de contrôle extraordinaire, des sonorités planantes, une modulation très complexe,des effets à profusion et un clavier de grande qualités, ben je reste conquis.
C'est une machine colossal, incroyable, fiable, mais aussi très exigeante.
La seule façon de comprendre pleinement son ampleur est de passer du temps sur la programmation compte tenu de sa complexité.
Le prix aujourd'hui reste assez sous-évalué par rapport à ses capacités de modulations inégalées, alors une réel affaire.
Sinon la période de production de l’Andromeda qui a duré finalement de 2001 à 2008 et à noter qu’il existe également une éditions limitée en rouge, à seulement 250 exemplaires.
Cependant aucune machine n'est parfaite, et le talon d'Achille du monstre analogique reste ces potards trop sensibles, la poussière et la grasse accumulé, occasionne des sauts de valeurs d’où un entretien régulier est nécessaire.
Les effets numériques dans l’ensemble ne sont également pas à la hauteur du reste.
Un vrai manque aussi du Poly-Keyboard tracking en mode FM, mais qui fonctionne parfaitement en mode monophonique et aussi un bémol pour les 3 LFO's qui monte seulement à 25 Herz*, c’est vraiment lent.
*Cependant il existe une petite astuce, une arme secrète pour palier à ça, il suffit configurez une enveloppe pour qu'elle boucle entre Attack et Decay 1, dirigez-la ensuite vers la destination souhaitée et réglez leurs fréquences sur des valeurs très basses, prenez la plus basse et augmentez d'un cran.
Si vous souhaitez moduler la vitesse, modulez Attack et Decay. Vous pouvez aussi régler Attack ou Decay à 0 pour obtenir une dent de scie (haut/bas). Et si vous avez les deux, vous modulez la symétrie. Modifiez donc les deux pour obtenir un LFO à vitesse réglable qui peut être, bien plus rapide.
Cela marche bien sûr aussi dans l’autre sens, pour ceux qui veulent des LFO encore plus lents, réglez Attack et Decay sur des fréquences élevées !
Bon en conclusion, l'Andromeda est un instrument extrêmement polyvalent et ultra puissant qui peut produire une gamme énorme des textures.
Et l'avis global, il reste monstrueusement bon ...