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réactions au dossier Les coulisses de la relation entre une artiste et une ingé son

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Sujet de la discussion Les coulisses de la relation entre une artiste et une ingé son
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Découvrez l'alchimie entre l'ingénieure du son et l'artiste en live ! Dans cette interview croisée passionnante, plongez dans les coulisses de la collaboration entre une artiste et son ingé son avec l'objectif de proposer la meilleure performance possible.


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2
Assez révélatrice de ce que je connais et de mon expérience.

On ne dira jamais assez l'utilité de faire des résidences pour caler plein de choses, notamment le niveau des sources pour que l'ingé son n'ait pas à passer le live le doigt sur des faders pour corriger les écarts de volume d'une partie ou d'un morceau à l'autre. Et même d'une date à l'autre.
Quand tout est bien calé au départ, les balances sont autrement plus rapides, donc no stress même si des contretemps surviennent.
L'ingé son a alors du temps pour peaufiner en fonction de la salle et du système et peut travailler sur l'esthétique au lieu de corriger des problèmes.

On peaufine toujours des trucs au fil des dates, mais la résidence, c'est vraiment le truc qui permet de régler une foule de détails en conditions presque réelles (presque parce qu'il n'y a pas de public ce qui change l'acoustique) en prenant le temps nécessaire pour ça sans le moindre stress.

Le in-ear, j'ai longtemps été réticent à cause de la coupure avec le public (plus des risques auditifs en cas de couillonade de l'ingé son ou d'un problème technique). Mais depuis que j'y suis passé, c'est un vrai bonheur, surtout quand on joue avec des instruments acoustiques puissants sur scène.
3
Citation de Will Zégal :

[... ]L'ingé son a alors du temps pour peaufiner en fonction de la salle et du système et peut travailler sur l'esthétique au lieu de corriger des problèmes

+1000 ! on a si rarement le temps de se concentrer sur l'esthétique.

Citation de Will Zégal :
Le in-ear, j'ai longtemps été réticent à cause de la coupure avec le public (plus des risques auditifs en cas de couillonade de l'ingé son ou d'un problème technique). Mais depuis que j'y suis passé, c'est un vrai bonheur, surtout quand on joue avec des instruments acoustiques puissants sur scène.

Même avis, on risque sûr plus au niveau auditif si l'ingé retour fait une connerie, mais quel bonheur d'avoir un plateau clean. Et on s'emmerde plus à marquer/déplacer les retours à chaque changement de plateau (même si d'autre problématiques apparaissent au passage)

Autrement, cool interview, merci, hâte de la regarder en intégralité !

Underground House is my girlfriend 

4
Sympa comme reportage !

Eric

5
J'ajoute qu'au confort des in-ears s'ajoute celui des consoles contrôlées à distance qui permettent à chaque musicien de faire soi-même sa balance retours.
Y compris de la corriger en plein concert si besoin est.
Comme la plupart du temps, il n'y a rien à changer d'une date à l'autre puisque les in-ears ne pas impactés par l'acoustique de la salle, la balance retours est vite faite.

[ Dernière édition du message le 04/10/2023 à 10:12:07 ]

6
Je plussoie.
Avec un de mes.projets, on a une xair 18 avec un splitter en entrée. On n'a pas d'ampli, mais des pédales de modélisation.
Nos 16 lignes sources sont envoyées "dry" a la façade, et on gère nos retours avec la xair. Ça nous fait 4 retours in-ear stéréo et c'est franchement le pied.
Après quelques tâtonnements on a établi une routine d'installation qui s'avère très efficace, on est installés-patchés en 15 minutes max. Le plus long c'est de convaincre le tech son d'accueil qu'il n'a pas à se soucier de nos retours et qu'on lui envoie 16 lignes "propres" :bravo:

Die Cabine • Pelle, Hache & Rock n' Roll

CCQUEEN • Le son lourd et aérien

[ Dernière édition du message le 27/09/2023 à 19:46:30 ]