Sujet MIDEM : le préparer pour couper court à la dévaluation du CD

Citation :

Je vais acheter votre Corpus Christi

Bonjour

C'est en effet une bonne idée ... Vous ferez de l'humanitaire sans le savoir ...

Citation :

Absolument, l'authenticité me donne des ailes.

L'authenticité, c'est ça qui manque de nos jours . En plus je ne disais pas ça pour vous , apparemment vous êtes bien un des seuls (comme moi d'ailleurs à croire que le CD existera encore) . Après tout il n'y a pas que les djeunes aujourd'hui ....

La vente physique de disques pour les petits artistes est réellement morte. Et la vente de mp3 ne remplacera jamais le chiffre d'affaire que pouvait généré la vente physique. Bien sur énormément de métiers qui en découlent ont disparus.

Aujourd'hui les gros labels ne lancent plus qu'un  ou 2 artistes par ans sur lesquels ils vont tout miser ( lady gaga , cold play , etc ... ). Les directeurs artistiques ont été remplacés par des commerciaux.

C'est comme cela , il n' y a plus rien à faire. Il faut donc trouver des revenus alternatifs en tant qu'artiste et être très créatif.

Mais les années 80 ou 90 sont belles et bien terminées.

Le midem n'a d'ailleurs plus trop de sens non plus... il ne s'y passe plus grand chose...

Si, si, le MIDEM reste très happening : grâce à d'illustres inconnus des 70's (samplés à compter de la BO de Pulp fiction comme chacun sait), les Black Eyed Peas ramènent leur fourrure et bagues en or ;Hors sujet :

et puis c'est bon pour les hôtels maffieux du coin qui recyclent à distance les ''déglutitions'', si j'ose dire, de la fille de campagne russe capturée de force par les businessmen des pays qui bordent la Grèce et la Serbie.

Le midem est maintenant terminé , quelqu'un a t il des infos intéressantes ?

Citation de logos :

 Le midem est maintenant terminé , quelqu'un a t il des infos intéressantes ?

 Le midem ou le CD ? ;)

Disons en un mot que les stratégies digitales [Berger] sont les pistes de travail principales ;

du point de vue des acteurs de l'industrie musicale, les labels et producteurs seraient moins présents, tandis que les développeurs ont trouvé une vitrine intéressante pour nouer des contacts, faire leur promotion, ce qui fait depuis le début partie de la logique de l'événement.

Puisque nous parlons de labels, l'instamment recommandé magasin de disques Souffle continu d'assister à une jolie soirée du label Bruit clair, plus riches de leur musique que des subventions de l'Etat, et prémunissant le cénacle à coups de launchpads bien sentis.

Plus généralement, le maître d'oeuvre de la cold-wave française du moment avait souligné le concept dont bruissa le MIDEM 2011 : medium + finalité = musique.

A Paris, la soirée Bruit clair, pour qui en eût douté.