Sujet Ou faire un pressage vinyl white sans sdrm ni sacem ?
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Hello suis très interessé par des informations concernant les white vinyl.
Si quelqu'un a des plans : explication, prix , sites.
UNDERGROUND TEKNO
COREKTION-ODITIV...
Lebenn
7160
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
Ouais 
J'ai pas tout suivi, pourquoi ne vaut'il mieux pas être inscrit à la SACEM ???
J'ai pas tout suivi, pourquoi ne vaut'il mieux pas être inscrit à la SACEM ???
iXtlan23
543
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 20 ans
Anonyme
521410
Hello suis très interessé par des informations concernant les white vinyl.
Si quelqu'un a des plans : explication, prix , sites.
UNDERGROUND TEKNO
COREKTION-ODITIV...
iXtlan23
543
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 20 ans
magic_splice
3
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 21 ans
jeremy natas
1
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 18 ans
Merci pour ce plan , vraiment bien !! en plus tu peux payer a credit 
Morzini
1137
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
skorer
14
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 19 ans
Vinylium
6
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 17 ans
Jul Quarm
1
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 17 ans
Salut, je réponds à Lebenn plus haut qui demandait:
Voilà: le pressage d'un disque est un acte de production. Le producteur va produire les morceaux d'un auteur et/ou compositeur, eh bien des frais forfaitaires destinés à ce(s) dernier(s) sont prévus. En langage simple: Tu produis un disque avec les morceaux d'un créateur, eh bien tu paies un peu de sous pour ce mec-là.
Mais ceci marche pour les personnes qui sont membres de sociétés d'auteurs, compositeurs, ou de producteurs, qui gèrent leurs droits. Si personne n'est inscrit nulle part, aucune société ne va s'occupper de récolter de sous pour l'artiste ni pour le producteur, tout ça sera tout bonnement perdu.
Tout ceci sachant qu'en tant que producteur (si tout est déclaré à la SDRM, voire que tu es inscrit à une société de producteurs comme la SPPF ou la SCPP), tu es super-bien placé au niveau droits (normal, en un sens: c'est toi qui mets tes billes), et tu touches des sous sur les ventes de disques, la diffusion de ton disque, etc.
Enfin ça, c'est le beau principe à la base des choses
Le truc, c'est que pour une autoproduction, ou une petite production avec peu de moyens, ça fait mal au derrière de devoir payer 1000 €uros (pour un album) alors qu'il est si tentant de se dire que si l'artiste n'avait pas été inscrit à la SACEM, la note serait nulle!
En plus, l'inscription à une société de producteurs de disques constitue de sacrées démarches et paperasseries, quelque chose d'impressionnant!! Si c'est pour un vinyle peu distribué qui ne passera pas en radio "grand public" ni en boîte de nuit, il n'y aura pas beaucoup de sous de générés en droits d'auteurs ou droits voisins (production, ici)...
C'est un choix (s'inscrire) qui fait rentrer dans un système, avec cotisations, collecte, reversements... Il est certain que ce système est inadapté aux petites productions/autoproductions.
Voilà, je pense, l'explication que vous cherchiez?...
Citation : J'ai pas tout suivi, pourquoi ne vaut-il mieux pas être inscrit à la SACEM ???
Voilà: le pressage d'un disque est un acte de production. Le producteur va produire les morceaux d'un auteur et/ou compositeur, eh bien des frais forfaitaires destinés à ce(s) dernier(s) sont prévus. En langage simple: Tu produis un disque avec les morceaux d'un créateur, eh bien tu paies un peu de sous pour ce mec-là.
Mais ceci marche pour les personnes qui sont membres de sociétés d'auteurs, compositeurs, ou de producteurs, qui gèrent leurs droits. Si personne n'est inscrit nulle part, aucune société ne va s'occupper de récolter de sous pour l'artiste ni pour le producteur, tout ça sera tout bonnement perdu.
Tout ceci sachant qu'en tant que producteur (si tout est déclaré à la SDRM, voire que tu es inscrit à une société de producteurs comme la SPPF ou la SCPP), tu es super-bien placé au niveau droits (normal, en un sens: c'est toi qui mets tes billes), et tu touches des sous sur les ventes de disques, la diffusion de ton disque, etc.
Enfin ça, c'est le beau principe à la base des choses
Le truc, c'est que pour une autoproduction, ou une petite production avec peu de moyens, ça fait mal au derrière de devoir payer 1000 €uros (pour un album) alors qu'il est si tentant de se dire que si l'artiste n'avait pas été inscrit à la SACEM, la note serait nulle!
En plus, l'inscription à une société de producteurs de disques constitue de sacrées démarches et paperasseries, quelque chose d'impressionnant!! Si c'est pour un vinyle peu distribué qui ne passera pas en radio "grand public" ni en boîte de nuit, il n'y aura pas beaucoup de sous de générés en droits d'auteurs ou droits voisins (production, ici)...
C'est un choix (s'inscrire) qui fait rentrer dans un système, avec cotisations, collecte, reversements... Il est certain que ce système est inadapté aux petites productions/autoproductions.
Voilà, je pense, l'explication que vous cherchiez?...
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