Sujet Imprimerie et autoproduction : astuces et expériences.
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dawn666
21
Nouvel·le AFfilié·e
Premier post
dawn666
21
Nouvel·le AFfilié·e
Will Zégal
73374
Will Zégal
Bête copier coller de mon message dans un autre thread (mais je supprime l'original, hein 
)
On a demandé un pro ? Boum, j'arrive !
Non, je ne suis pas pro de l'imprimerie mais :
- J'ai équipé pendant des années le métiers de la chaîne graphique en informatique
- J'ai travaillé dans une agence de design industriel où l'on faisait notamment du packaging, donc impression !
Pour commencer, je dirais qu'il n'est pas tout à fait vrai que le flashage est un passage obligé.
En effet, il existe à présent des imprimeries tout numériques : ce sont des machines d'imprimerie directement (ou presque) au cul d'un ordinateur. S'il est vrai que la qualité n'égale pas encore celle de l'imprimerie tradi, surtout sur les photos, elle est amha largement suffisante pour une démo de qualité ou un autoproduit en petite diffusion.
Cette solution revient plus cher à l'unité, mais évite les coûts de flashage. Elle est donc intéressante pour des petites quantités (jusqu'à 100 ex).
Elle a en outre l'avantage de l'évolubilité : si par exemple vous rajoutez un ou deux titres à votre album 6 mois plus tard, vous n'êtes pas obligé de refaire tirer les films pour un nouveau dos : Il suffit d'envoyer le fichier modifié.
Pour juger de la qualité de l'imprimerie numérique, sachez qu'il est fréquent que des entreprises ou administrations fassent appel à cette méthode pour imprimer en petite quantité des documents ou plaquette commerciales destinés au public.
Autre chose : les prix avancés pour le flashage me semblent un peu exagérés. Ici, en Bretagne, je paye dans les 12 euros/film en A4. Maintenant, cela vaut pour un fichier bien qualibré auquel il n'y a rien à changer. Si l'imprimeur ou le flasheur doivent intervenir dessus, les prix explosent !
L'imprimerie numérique a un autre intérêt. Un des coûts fixes important pour l'imprimerie traditionnnelle est le calage des films sur la machine. Le papier et l'encre ne coûtent pas très cher. Ce qui fait que ça revient pratiquement au même de faire tirer 100, 500 ou 1000 exemplaires (j'exagère à peine ! )
En imprimerie numérique, vous n'avez plus de frais techniques (sauf une modeste "prise en charge du fichier" ) Donc vous pouvez faire tirer par petites quantités, au fur et à mesure de vos besoins.
Le plus important comme le spécifie Elessar, c'est de savoir avant quelle technique vous allez utiliser ! Eventuellement de choisir au préalable l'intervenant et de lui demander conseil.
Si vous voulez sortir en numérique une jaquette avec une photo pleine de couleurs pastel et de dégradés, ça ne sera pas top.
Impossible aussi de sortir ce qu'on appelle une "cinquième couleur" à savoir un argent ou un doré.
Par contre, si le graphisme est bien pensé en fonction de la technique d'impression, on peut avoir de bons résultats, y compris sur une "bête" imprimante laser couleur ou une imprimante à transfert thermique pour les toutes petites quantités (quelques dizaines).
Un autre truc : le graphisme, c'éest évidemment un boulot. Mais vous pouvez par exemple lancer un "concours" au niveau d'une école de graphisme. Les étudiants bossent sur votre truc, vous choisissez celui qui vous plaît le plus et vous filez quelques roros à celui (ou celle) qui l'a fait, qui sera de toutes façon ravi(e) d'avoir ça en référence dans son press book. Si en plus vous le faites en accord avec un prof dans le cadre du programme d'étude, ça peut ne rien vous coûter ! (Arpagon inside ! )
B.B.
)On a demandé un pro ? Boum, j'arrive !
Non, je ne suis pas pro de l'imprimerie mais :
- J'ai équipé pendant des années le métiers de la chaîne graphique en informatique
- J'ai travaillé dans une agence de design industriel où l'on faisait notamment du packaging, donc impression !
Pour commencer, je dirais qu'il n'est pas tout à fait vrai que le flashage est un passage obligé.
En effet, il existe à présent des imprimeries tout numériques : ce sont des machines d'imprimerie directement (ou presque) au cul d'un ordinateur. S'il est vrai que la qualité n'égale pas encore celle de l'imprimerie tradi, surtout sur les photos, elle est amha largement suffisante pour une démo de qualité ou un autoproduit en petite diffusion.
Cette solution revient plus cher à l'unité, mais évite les coûts de flashage. Elle est donc intéressante pour des petites quantités (jusqu'à 100 ex).
Elle a en outre l'avantage de l'évolubilité : si par exemple vous rajoutez un ou deux titres à votre album 6 mois plus tard, vous n'êtes pas obligé de refaire tirer les films pour un nouveau dos : Il suffit d'envoyer le fichier modifié.
Pour juger de la qualité de l'imprimerie numérique, sachez qu'il est fréquent que des entreprises ou administrations fassent appel à cette méthode pour imprimer en petite quantité des documents ou plaquette commerciales destinés au public.
Autre chose : les prix avancés pour le flashage me semblent un peu exagérés. Ici, en Bretagne, je paye dans les 12 euros/film en A4. Maintenant, cela vaut pour un fichier bien qualibré auquel il n'y a rien à changer. Si l'imprimeur ou le flasheur doivent intervenir dessus, les prix explosent !
L'imprimerie numérique a un autre intérêt. Un des coûts fixes important pour l'imprimerie traditionnnelle est le calage des films sur la machine. Le papier et l'encre ne coûtent pas très cher. Ce qui fait que ça revient pratiquement au même de faire tirer 100, 500 ou 1000 exemplaires (j'exagère à peine ! )
En imprimerie numérique, vous n'avez plus de frais techniques (sauf une modeste "prise en charge du fichier" ) Donc vous pouvez faire tirer par petites quantités, au fur et à mesure de vos besoins.
Le plus important comme le spécifie Elessar, c'est de savoir avant quelle technique vous allez utiliser ! Eventuellement de choisir au préalable l'intervenant et de lui demander conseil.
Si vous voulez sortir en numérique une jaquette avec une photo pleine de couleurs pastel et de dégradés, ça ne sera pas top.
Impossible aussi de sortir ce qu'on appelle une "cinquième couleur" à savoir un argent ou un doré.
Par contre, si le graphisme est bien pensé en fonction de la technique d'impression, on peut avoir de bons résultats, y compris sur une "bête" imprimante laser couleur ou une imprimante à transfert thermique pour les toutes petites quantités (quelques dizaines).
Un autre truc : le graphisme, c'éest évidemment un boulot. Mais vous pouvez par exemple lancer un "concours" au niveau d'une école de graphisme. Les étudiants bossent sur votre truc, vous choisissez celui qui vous plaît le plus et vous filez quelques roros à celui (ou celle) qui l'a fait, qui sera de toutes façon ravi(e) d'avoir ça en référence dans son press book. Si en plus vous le faites en accord avec un prof dans le cadre du programme d'étude, ça peut ne rien vous coûter ! (Arpagon inside ! )
B.B.
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