Sauf grande cause ou exposition médiatique, un avocat sous payé est sous motivé, comme tout le monde. En matière de dommages-intérêt, l'intéressement au résultat est toujours préférable, si le jeu en vaut la chandelle (au moins quelques dizaines de milliers d'euros). En cas de recours à l'aide juridictionnelle, il est largement préférable de pouvoir choisir son avocat, et éventuellement de le motiver avec un complément sous forme de pourcentage sur le résultat. Idem, s'il est payé (mais pas imposé) par la compagnie d'assurance.
L’inspiration est aussi banale que légitime. Plagier est une faute techniquement évitable (mais on peut choisir d'assumer le risque) et artistiquement déplorable. Autant faire une reprise !